Kururu se réveilla au aurore se matin. A vrai dire, elle n’avait pas vraiment dormi cette nuit. Elle était trop impatiente. Hier, elle avait rencontré Kilik, le petit garçon qui lui avait donnée sa pince à cheveux, et aujourd’hui celui qui était devenu son capitaine. La jeune fille allait enfin pouvoir repartir en mer, voyagé à travers le monde, découvrir plein d’endroits et de personnes différentes. Elle avait vraiment hâte. La jeune fille s’apprêta rapidement à quitter sa maison. Elle fit un gros câlin à Perle.

Tu garde la maison d’accords ? Je reviendrais vite, je dois aller faire quelque course et saluer tout le monde. Si notre capitaine arrive, donne-lui ça.

Elle remit à la petite tigresse un mot pour le garçon. Dessus, il était simplement marqué qu’elle devait acheter des affaires avant de partir et qu’elle reviendrait avant midi. Et donc c’est ce qu’elle fit. La jeune fille alla dans le centre ville. Elle avait son petit rituel lorsqu’elle faisait des achats. Elle faisait d’abords tout le tour de la place pour regarder les différents produits. Elle pouvait comparer de cette manière la différence entre la qualité et le prix dans chaque échoppe. Et évidement, elle achetait uniquement ce qui lui semblait le mieux. Aujourd’hui, elle cherchait après de la nourriture pour son nouvel équipage. Elle n’avait été recrutée que la veille. Du coup, elle était certaine qu’il n’avait pas assez pour tout le monde. Surtout que la cuisinière tenait son rôle très à cœur. En plus aujourd’hui, c’était le marché sur la grande place.

Il va faire tout noir ! Il va faire tout noir !

Un homme criait dans la foule. Mais Kururu ne s’en préoccupa pas. Il y avait toujours des marchants qui criaient pour attirer la foule. Alors, elle profitait de ses derniers instants sur la grande place. C’était son dernier marché sur Kawaii Shima Island…En quelque sorte c’était un peu triste. Elle s’était habituée à ce mode de vie, aux autres habitants. Tout cela risquait de beaucoup lui manqué. Mais elle l’avait choisi. Et s’est de très bonne humeur qu’elle annonçait son départ à tout le monde ; Elle venait chaque semaine au marché, du coup les vendeurs faisaient presque partie de sa famille. Elle en connaissait certain depuis quelle était toute petite.

Il va faire tout noir ! Il va faire tout noir !

Ce type commençait sérieusement à énerver Kururu. Il n’arrêtait pas de répéter en boucle cette phrase. Cela faisait environ une bonne heure maintenant. Elle avait même eux le temps de dire au revoir à tout le monde. Elle ne le connaissait pas mais il avait du souffle, c’était certain. L’homme avait juste fait une pause de dix minutes, il y a peu. Justement, elle arriva à son niveau. Que pouvait-il bien vendre pour qu’il face tout noir ? Euh…Kururu n’aperçut aucune échoppe. L’homme parcourait la foule en répétant sa phrase. Intriguée, elle alla le voir.

Excusez-moi ? Mais pourquoi va-t-il faire noir ?

L’homme se retourna en l’entendant parler. Il lui fit un énorme sourire.

Tout noir, mademoiselle. Il va vraiment faire tout noir !

Sans que Kururu n’ai eu le temps de le réaliser, l’inconnu lui avait attrapé la main. Et il l’entrainait déjà parmi la foule. Elle essaya de se dégager. Mais il avait beaucoup de force dans les mains. Personne autour ne fit attention à ce qui se passait. Les passants étaient trop absorbés par leurs propres affaires. Finalement, l’homme s’arrêta dans la nouvelle annexe du musée du nounours. Normalement, ce bâtiment n’était pas encore accessible au publique. Il n’était pas encore tout à fait terminer. À l’intérieur. Mais l’accès à la cours d’entrée n’était pas bloqué. C’était le passage pour les ouvriers. Sauf que pour l’instant, il n’y avait personne. L’homme lâcha enfin la main de Kururu en la tirant vers l’avant. La jeune fille fut forcée d’avancer avant l’homme. Elle voulu se retourner. Elle aurait aimé entendre des explications. Mais elle n’en eu pas le temps. Soudain, comme pour réaliser les parole de l’inconnu, le paysage s’assombrit. Tout devient noir. La jeune fille venait de perdre connaissance.

► Miraï D. Kilik

Kururu se réveilla péniblement. Doucement, la jeune fille commençait à reprendre ses esprits. Elle avait une horrible sensation derrière la tête. Qu’est ce qui avait bien pu se passé ? Depuis combien de temps était-elle évanouie ? Une voix déclara quelque chose pendant qu’elle se redressait doucement. Ses sens étaient écore un peu embrouillé. A cause de ça, elle ne compris pas les paroles qui venait d’être prononcée. Elle regarda en face d’elle. Et la une réalité la stupéfia. Où était-elle? Kururu ne reconnaissait pas du tout les environs ! Et ce n’était pas l’endroit où l’inconnu du marché l’avait conduite. En plus des yeux brillaient légèrement à cause de la faible lumière qui régnait dans la pièce. Qu’est ce que c’était que ce truc… Elle n’arrivait pas bien à savoir à qui appartenait ces yeux dénués de vie.

Soudain, quelqu’un poussa un cri de désespoir à coté d’elle. Elle tourna sa tête et vit un homme courir vers elle avec une sorte de couteau. Elle essaya d’esquiver. Mais elle n’en eu pas le temps de le faire, elle avait réagit trop tard. Et le couteau s’enfonça dans son bras. Elle lâcha un cri de douleur. L’attaquant surpris recula plus loin. Son couteau toujours dans les mains, il tremblait de peur à cause de ce qu’il avait fait. Ce coup eu pour effet de réveillé complètement Kururu. C’est dans ce genre de situation qu’on se sent vivre. Même si elle n’aurait jamais voulu que cela arrive. Cela faisait vraiment très mal. Elle toisa l’homme d’un regard interrogateur. Pourquoi avait-il fait cela ? Surtout qu’elle ne lui avait rien fait. C’était même la première fois qu’elle le voyait. En plus il avait complètement l’air d’un animal traqué. Alors que c’était lui qui venait d’essayer de la tuer. Une voie agacée annonça.

Allez les petits combattants. Battez-vous, entre-tuez-vous. Je veux me distraire. Amusez-moi !

La voix venait de derrière son agresseur. En faisant un pas sur le coté, elle pu le voir. C’était l’homme qui l’avait kidnappée et emmenée ici. Enfin il était beaucoup plus effrayant qu’en pleine lumière. Pour ne pas attirer l’attention, la pièce n’était éclairée que par de minuscules lampes. L’endroit où se trouvait Kururu était parfaitement éclair. Mais la majorité de la pièce restait plongée dans la pénombre. Comme si elle était sur une scène. La jeune fille détestait cet endroit. Elle voulait partir.

Que-voulez vous ? Pourquoi m’avoir emmenée ? Laissez-moi partir !

Elle ne se laissa pas démonter. Elle voulait des réponses. Et elle les voulait maintenant. Mais cet élan de courage ne fit aucun effet à l’homme. Ce n’est même pas lui qui répondit.


Mon frère vient de te le dire. Tu es sourde ou quoi ? Diverti nous aussi bien que tu le peu petite boule rose. Et si tu tue cet homme, nous te laisserons partir.

Un autre homme apparut derrière le premier. C’était étrange. Les deux étaient exactement pareils. Ils avaient la même taille, les mêmes cheveux et le même regard de psychopathe. L’annonce de liberté déclarée par le nouvel arrivant éclaira le visage de son adversaire. Tous ses doutes semblaient s’être dissipés. L’envie de liberté lui fit pousser des ailes et il chargea à nouveau. Kururu n’était pas une experte en combat réelle avec un vrai adversaire, mais il ne fallait pas la prendre pour une fille stupide. Elle esquiva facilement l’attaque de l’homme. Elle n’allait pas se faire avoir de suite par la même attaque. Surtout qu’elle était repérable à des kilomètres à la ronde. Mais cela se voyait que son adversaire était encore plus inexpérimenté qu’elle. Il n’avait surement jamais tenu un couteau de sa vie. Pas dans ce but en tout cas.

La ressemblance entre son regard et celui d’une proie qui essaye de survivre était de plus en plus frappante. Kururu n’avait pas envie de combattre contre lui. Il était un simple civil, une victime de ces hommes comme elle. Il s’était lui aussi trouvé au mauvais endroit au mauvais moment avec une curiosité un peu trop présente. Tout en évitant les attaques, la jeune fille réussit à sortir sa clé. Aucun des coups d couteaux n’avaient réussit à la touché une seconde fois. Enfin si…Sauf qu’aucun n’était important, juste quelque petite égratignures. Le combattant forcé n’était pas ordonné. I répétait sans cesse le même mouvement. Mais la peur de mourir lui donnait la force nécessaire pour porté des coups rapides pour un simple marchant ou voyageur de passage. Dés que l’occasion se présenta, la jeune fille donna un coup dans le dos de son adversaire. Ce dernier se retrouva projeté un peu plus loin. Surpris par la riposte de Kururu, il n’avait pas paré le coup et se retrouva sur le sol. Elle en profita pour l’assommé avec un second coup derrière la tête. L’homme s’évanoui son le choc, exactement comme Kururu plus tôt dans la journée.

J’ai fait ce que vous attendiez de moi. Je m’en vais !

Elle avait battu son adversaire car se dernier n’était plus en état de se battre. Donc, elle avait remplit les conditions des deux hommes. Avec le combattant dans les pommes, elle allait enfin pouvoir quitter cet endroit comme ils l’avaient annoncé plus tôt. Elle venait juste de se retourner pour quitter l’endroit où elle était, qu’elle entendit un gros boum. Elle regarda à nouveau vers l’homme inconscient. Un de ses ravisseurs était apparut dans la zone éclairée. Il avait du sauté pour apparaitre avec un bruit d’éléphant qui atterrit. C’était presque pareil. Petit détail qu’elle n’avait pas vu à cause de la pénombre, il avait une énorme hache à double tranchant. I Il ricana.

Minute petite. Nous n’avions jamais dit que tu pouvais partir…Reste jouez un peu avec moi. Je vais te montrer comme on tue vraiment quelqu’un.

Sur ces mots, l’homme abaissa son arme comme si elle ne pesait rien. En retombant, la lame coupa la pauvre victime inconsciente en deux. Le tueur avait un large sourire. Tuer avait l’air de beaucoup lui plaire. Soudain, son frère poussa un gémissement plaintif.

Nooooon… Ce n’est pas juste. Moi aussi je voulais jouer avec la fille. Pour un fois qu’une de nos prises est plus ou moins potable.

Tu n’as quand eu trouvé d’autres. Je grade celle-ci.

Pendant que les deux frères discutaient pour déterminer qui pourrait essayer de la tuer, Kururu se dirigeait discrètement vers la sortie. Elle n’allait tout de même pas attendre comme ça de se faire découper en morceau. Le frère sans la hache bougea et se dirigea vers la sortie. Il s’arrêta une fraction de seconde avant d’ouvrir la porte. Il venait de repéré la manœuvre de la jeune fille.

Attention, elle…

Il n’eu pas le temps de finir sa phrase, il se prit violement la porte de sortie en pleine figure. Surprit, l’homme n’avait rien pu faire. Il recula en titubant et en se tenant le nez. Le mur lui évita de se retrouvé par terre. Une lumière éblouissante entra dans la pièce. Grâce à elle, Kuru pouvait enfin voir où elle était exactement. Elle était sur une espèce de ring. Pour ce qui est de l’endroit même…Non, elle n’en revenait pas…Les kidnappeur n’avait pas osé s’installé dans le musé du nounours. Ils débarquaient d’où ? C’était l’endroit parfait pour ce faire repéré en moins d’une semaine. Surtout que les peluches étaient déjà en partie exposées. S’ils étaient aussi futés que ce choix laissait penser, elle avait toute ses chances pour survivre. Quelqu’un apparut dans l’entrée qui venait d’être crée. Mais ses yeux ne s’étaient pas encore réhabitués à la lumière. Du coup, elle ne le reconnu pas tout de suite.
† Kuuuuuuuuuuuuuuuuuuuururu! Je suis venu te sauver! †

Kilik ?!

Qu’est ce qu’il faisait ici ? Enfin non elle était très contente de le voir surtout en ce moment. Mais plutôt comment était-il arrivé jusque dans l’annexe ? Elle était en plein centre ville, c’est vrai ; Sauf que même Kururu ne savait pas où elle avait atterrit. Alors comment l’avait-il retrouvé ? Tant de question sans réponse. Elles en auraient surement un jour, mais pas tout de suite. Le frère qui s’était prit la porte chercha quelque chose contre le mur. Il saisit à son tour une énorme hache à double tranchant. Il avait l’air furieux. Son visage était presque tout rouge de colère. A moins que ce ne soit à cause du sang qui coulait de son nez après l’impacte.

Tu vas le payer sale morveux.

► Miraï D. Kilik

Kilik allait avoir de gros problème. Il avait énervé le jumeau. La jeune fille l’aurait bien aidé. Mais immédiatement, elle avait d’autre chose plus pressente à faire. Son adversaire en avait mare d’attendre. Et il essaya de la découper en deux. Ce qu’il aurait parfaitement réussit si Kururu avait été de face. Hors, c’était dans le dos qu’il venait de frappé. Il était trop impatient d’en faire des petits morceaux, qu’il n’avait pas remarqué sa croix. Kururu eu a peine le temps de voir Kilik sortir. Il s’était rappeler que cet endroit était très important et qu’il ne devait pas l’abimé. Un coup la projeta au sol. Elle ne s’y attendait pas. Mais le métal de la croix l’avait protégée. Heureusement d’ailleurs. Elle essaya de se relevé.

Tss.

L’homme sembla énervé à cause de ça. Il avait été trop vite. Mais il ne s’en préoccupa pas plus que ça. Ce n’était qu’un obstacle en plus à tranché. Il continua alors à taper dessus. Entre deux coups, la jeune fille réussi à roulé sur le côté. La lame passa juste à coté delle en lui éraflant le bras. C’était le même qui s’était prit le couteau un peu avant. Ses adversaires devaient beaucoup en vouloir à celui là. Pourquoi ? Kururu n’en avait aucune idée. C’était peu être juste une coïncidence. Profitant du mouvement, elle se releva. Mais l’homme voulait vraiment la tuer, cela se lisait sur son visage. Il attaqua une nouvelle fois. Pour changer, il fit un mouvement horizontal et visa sa tête. Kururu n’avait pas le temps de se baisser, alors, elle parait avec sa clé à la manière d’un bretteur. Sauf que son adversaire avait beaucoup de force et il l’envoya au loin. La jeune fille percuta un des piquets du ring. Ca faisait mal. D’un autre côté, elle avait eu de la chance de ne pas se retrouvé dans les peluches. Cela aurait été encore pire pour son avenir.

Elle se remit debout le kidnappeur, s’avança doucement vers elle. Il avait un sourire victorieux très agaçant sur le visage. C’était comme s’il l’avait déjà tuée et enterrée. Sauf que Kururu ne l’entendait pas de cette façon. Elle venait juste de trouver un équipage qui voulait bien d’elle. Elle allait pouvoir voyager et découvrir le monde avec le garçon qui l’avait sauvée à Water Seven. Avec Kilik, elle allait rencontrée beaucoup de monde et vivre une multitude d’aventure. Son chemin ne pouvait tout simplement pas s’arrêter ici.

Elle faisait face à son adversaire. Ce-dernier en profita pour faire une nouvelle tentative. Il réessaya de la coupe en deux moitiés symétriques. Kururu interposa sa clé. Elle était retenue grâce au piquet du ring. Elle tourna sa clé de manière à ce dégagé de la hache. L’homme surprit avança un peu en même temps que son arme trancha le piquet. Les vitrines étaient trop loin pour être touchée. Les bandits avaient eu la bonne idée de mettre le ring en plein milieu de la pièce. Ce qui faisait de cet endroit la seule zone de combat qui ne touchait pas les précieuses peluches. Kururu lança ça clé en l’air. C’était le bon moment pour elle de lancer une attaque qui viserait directement le haut de la tête de son adversaire. Normalement, elle aurait du sauté, rattraper son arme et frapper. C’était une de ses techniques les plus puissantes aidées par la gravité terrestre.

Sauf que son adversaire réagit plus vite que ce qu’elle n’aurait cru. Et il cassa complètement son timing de saut. Elle réussit quand même à prendre sa croix et à la mettre entre elle et la hache. Ce combat était mauvais pour ses nerfs. Un seul faux pas, et elle serait découpée en morceaux. Surtout que ses parades étaient très justes à chaque fois. Ici aussi, il s’en était fallut de peu. Tout ce qui monte doit redescendre un jour. Sa clé ne faisait pas exception à la règle. Elle décrivit un arc de cercle et retomba sur la tête de l’homme. Mais sans la force de Kururu, il eu à peine une bosse. Ce qui provoqua chez lui un fou rire incontrôlable.

Très amusant petite. Cette vaine résistance est amusante. Mais je commence à en avoir marre. Finit de rire. Maintenant laisse toi gentiment tuer.

Il pouvait toujours rêver. Elle allait survivre et retourner près de son capitaine. La clé atterrit plus loin sur le sol. Elle voulu aller la récupérer. Sauf que ça énerva encore plus son adversaire.

Bouge plus !

Il en avait mare de la voir aller d’un bout à l’autre du ring pour évité de se faire découper. Il voulait juste s’amuser un peu lui. Pourquoi cette petite devrait-elle l’en empêcher. En attaquant horizontalement, il visa les pieds de Kururu pour qu’elle ne sache plus bouger. Mais en criant, il avait attiré l’attention de la jeune fille. Elle sauta pour éviter la lame. Cette fois, elle ne le fit pas au dernier moment mais beaucoup trop tôt. Elle n’eu même pas la possibilité de ramasser sa clé avant. Elle atterrit sur l’arme. Celle-ci, était assez large avec ses doubles lames pour qu’elle reste stable. Mais ne lui demander pas comment elle à fait. C’était purement du hasard. Elle ne se croyait pas capable de le refaire.

En tout cas, elle n’allait pas rater l’occasion qui venait de se créer. N’ayant que sa croix, elle l’utilisa comme arme offensive. Elle fit comme ça clé ou presque. Comme, elle était sur la lame, elle était un peu plus haute. Donc plus proche d son adversaire. Dans un même mouvement, elle leva son arme et tenta de faire comme si c’était ça clé. Elle tenta de faire une attaque sautée. Elle alla moins loin à cause de poid de sa coix. Mais elle pu quand même atteindre la tête de son adversaire. Celui-ci s’attendait à et n’importe quoi sauf à ça. Il perdit connaissance à cause du choc. La croix était beaucoup plus lourde que là clé. En plus cette fois, la jeune fille avait abaissé son arme improvisée de toutes ses forces. Comme l’homme ne posait aucun équipement qui protégeait sa tête, l’effet était garanti.

Kururu ne le remarqua pas immédiatement. Elle eu quelque petit problème à l’atterrissage. Une hache possède toujours ou presque un manche pour la manier. Et elle avait complètement oublié de prendre se détail en compte. Du coup, en atterrissant, elle se prit les pieds dedans. La jeune fille tomba lamentablement sur le sol et à moitié sur sa croix. Elle sentit quelque chose de lourd tomber après elle ainsi que quelque chose sur son dos. Elle se remit sur pied. Et elle observa autour d’elle. Son adversaire venait de tomber sur le sol et une énorme bosse commençait à apparaitre sur son front. Il était inconscient.

Mais pour combien de temps ? Kururu n’en avait aucune idée. À ses pieds, il y avait la hache double tranchant. L’homme l’avait lâché en perdant connaissance. Kururu la ramassa pour évité un attaque surprise. Son temps avant le réveil de l’homme était sans aucun doute compté. Elle alla récupérer sa clé et la rangea dans sa croix avant de la remettre sur son dos. L’opération prit quelques minutes. Dans le calme ambiant, elle entendit du bruit provenant de l’escalier par ou était partit Kilik. Et aussi un autre venant de l’intérieur du musé. Ce n’état vraiment pas bon. En hâte, elle sortit du ring et se dirigea vers l’escalier avant que son capitaine si c’était bien lui n’en ressorte.

Vite nous devons partir. Quelqu’un arrive !

► Miraï D. Kilik