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Roger & Albert [PV Jim Dagon]
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Ven 10 Mai - 22:27






Diego Monday était l’un des pires détenus du niveau 2. Lorsque Erika Orato, dangereuse pirate du Nouveau Monde et l’un des Quatre Empereurs, avait décidé d’attaquer Impel Down, sans raison apparente, les hautes instances du Gouvernement avaient craints le pire. Le bilan suite à son passage dans le pénitencier fut particulièrement grave, certains osaient même en parler comme d’une « catastrophe sans précédent ». Bref, très rapidement après l’incident, les équipes du Cipher Pol dressèrent les profils psychologiques des ex-prisonniers les plus dangereux. Et malgré son faible niveau d’enfermement, Diego Monday en faisait partie. L’homme était un Révolutionnaire aux pulsions destructrices particulièrement violente. Virulent militant de son actif, il pouvait se montrer très brutal et ne reculait devant rien, tant que ses actes pouvaient nuire d’une quelconque manière au Gouvernement Mondial, cela incluait la prise en otage ou l’exécution de civils. Donc, lorsqu’un informateur signala sa présence près de Madness Island, malgré la réputation malfamée de l’île, soldats de la Marine et gardiens d’Impel Down affluèrent sur les lieux.

Une coopération des deux corps armés permit la neutralisation du dangereux détenu ainsi que l’arrêt d’une dizaine d’individu, coopérants avec lui. Gros problème, ils n’avaient pas calculé que l’opération puisse leur prendre tant de temps et la nuit tomba avant qu’ils n’aient pu repartir, les forçant à dormir sur place en attendant le jour suivan. A cela s’ajouta à l’aube une inquiétante brume, qui englobait entièrement l’île. Dans le doute, les gradés responsables décidèrent d’attendre que la situation progresse favorablement avant de prendre le large. Ainsi, l’unique village de Madness fut, l’espace de plusieurs heures, rempli de soldats et de gardiens.

Joseph n’avait personnellement pas participé à l’arrestation de Monday et ses acolytes, mais il avait observé le combat de loin. Il était heureux que cette traque prenne fin. La pression n’avait eu de cesse de croître au cours de cette semaine. Moralement, il était à bout. Comme à son habitude lorsqu’il se rendait dans un lieu qu’il n’avait jamais visité auparavant, il s’était hissé sur les hauteurs du village afin de saisir et de s’imprégner de l’ambiance, pour pouvoir mieux la retranscrire sur la toile qu’il peindrait. Ainsi, lorsqu’il regarderait son œuvre plusieurs années plus tard, il s’en souviendrait comme s’il y était. Peindre ce qu’il visitait l’aidait à le fixer dans sa mémoire. Et peut-être qu’un jour, lorsque sa femme et ses jumeaux verraient tout ce qu’il a réussi à faire en leur absence, ils prendraient alors conscience du père, ou du mari formidable qu’il pouvait être.

Depuis la cheminée sur laquelle il s’était posé, Joseph pouvait clairement voir la dense et sombre forêt qui entourait le village. De loin, elle paraissait lugubre et inquiétante. En fait, elle donnait au village et à l’île l’allure d’une histoire d’horreur. Notre peintre était lui-même amusé par la manière dont ce simple décor parvenait à jouer avec ses émotions. Il finit par descendre de son perchoir de la même manière qu’il était monté : à dos d’Albert, lapin des neiges, également gardien à Impel Down et surtout ami du quadragénaire. L’incroyable capacité de saut de l’animal lui permettait de se déplacer facilement un peu partout. C’est ainsi qu’après une série de bonds, le tandem se trouva dans une ruelle, uniquement éclairée par les lumières provenant de l’intérieur des maisons. Il n’y avait presque personne dans les rues à cette heure matinale, mais en tendant l’oreille, on reconnaissait facilement l’agitation caractéristique du marché.

Désireux de mordre dans un fruit, l’artiste décida de s’y diriger. A sa droite, adossé à un mur, un homme, qui semblait avoir passé la nuit là, tentait tant bien que mal de lutter contre la fraîcheur du matin. Dans un geste plein de compassion, Joseph laissa trois billets en dessous de lui, en espérant qu’il les remarque à son réveil. Ainsi, il pourrait aller s’acheter de quoi manger. C’est en s’engageant dans la rue de droite qu’il remaraqua ces deux enfants qui semblaient courir vers sa direction.







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Sarab
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Sam 11 Mai - 18:47

"T''est un mendiant ou quoi ?"

Cela faisait assez longtemps que Jim dormait, effectivement, il avait fait un long voyage, durant plusieurs heures, le jeune avait dû faire le guet en haut du bateau... Quelle tâche ingrate pour un Commandant... Cependant, personnes ne le prenait au sérieux, son côté humoriste le rendait peu crédible, mais surtout enfantin. Laisseriez vous un gamin diriger un bateau ? Il n'y a pas très longtemps, Jim n'était encore qu'un mousse à la recherche d'un équipage et d'un but précis, aujourd'hui, exécutant les ordres de ses supérieurs avec talent et arrêtant les malfrats avec rapidité, il avait grimpé les échelons à pleine vitesse. Tel un guépard chassant une gazelle, le jeune garçon avait sauté sur l'occasion, une fois encore, de prouver sa volonté. Il s'était porté volontaire pour diriger un petit groupe d'environ cinq personnes et de naviguer jusqu'à Madness Island, où, dernièrement, un appel provenant du quartier général et du gouvernement réquisitionnait tous les hommes motivés. Un lieu bien étrange, mais plutôt touristique, rien n'effrayez le jeune marin, en même temps, il venait de sortir d'un enfer sur Meka Island.

Une fois arrivé sur l'île, Jim n'avait rien fait d'exceptionnel, quelques rondes, des tours de gardes, mais aussi des interviews avec divers citoyens du seul village présent sur le petit morceau de terre. Observant leurs attitudes et leurs réflexes psychologiques, il pouvait déterminer si une personne parlait de bonne foi ou mentait. Bien sur il n'était pas encore expert du subconscient humain, mais cela était un de ses futurs objectifs. Pouvoir appréhender un humain et directement avoir accès à des informations personnelles était le fantasme de beaucoup d'hommes. Certain pervers, d'autre scientifique, tous au final avaient le même but, être capable d'espionner et de tout savoir sur l'Homme. Un vilain défaut plus que présent dans les esprits de chacun d'entre nous, nous sommes tous espiègles au final, cachant nos secret dans les ténèbres, valorisant nos capacités aux rayons jaunes. Jim adorait parcourir les rues seul, silencieux, identifiant les problèmes de chacun, testant le comportement de l'être.

Bizarrement, le marin s'était endormi sur la terre encore humide dût à la brume opaque qui tasser l'air des alentours. Il faisait un peu froid, mais son pouvoir lui permettait d’amoindrir tous les effets physiques sur son corps. Allongeait sur le sol, un homme mystérieux et originale venait de déposer trois billets devant le jeune garçon. Ne comprenant pas directement ce geste, Jim les ramassa de sa main droite pour regarder l’objet d'un peu plus près. Palpant les extrémités comme un aveugle, reniflant la puanteur de la monnaie, ses mains parcouraient de long en large les trois bouts de papiers. On aurait dit un enfant découvrant pour la première fois un billet. D'un sursaut inattendu, Jim se précipita hors de sa position confortable et se mit à courir en direction de l'homme à la moustache. Puis les bruits et l'odorat provenant d'une petite place au bout de son chemin attirât les sens du garçon. Le marché du village venait d’ouvrir et les senteurs chaudes du pain ainsi que les sons charmant des cris des commerçants tentaient le jeune marin du plus profond de son âme. Regardant les sous qu'il détenait dans ses mains, il leva la tête pour finalement marcher, guidé par ses sens.



Sarab
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Jeu 16 Mai - 17:48





D’une certaine manière, la peinture est une fenêtre ouverte sur le monde, qui donne à voir la réalité. En tant que peinture impressionniste de formation, Joseph ne partageait pas spécialement cette manière de concevoir son art. Expressionniste à la base, il considérait le ressentit et les émotions véhiculées par l’observation d’une toile plus puissants et plus importants que le message qu’elle pouvait vouloir faire passer. Il avait découvert la peinture avec l’expressionnisme, mais avait étudié l’impressionnisme. Le fait d’avoir ainsi conscience des deux faces de la pièce lui permettait de prendre du recul. Il reprenait dans ses habitudes, dans son style, du bon et du moins bon chez les deux mouvements. De toute manière, Impression et Expression n’étaient que les deux faces d’une même pièce.

- Monsieur !

- Monsieur !

Deux voix enfantines le tirèrent de ses pensées. Face à lui, arrivant depuis le marché, deux jeunes garçons courraient dans sa direction, visiblement paniqués. Joseph eut alors un bref moment d’hésitation, ou plutôt un flash. L’espace d’un instant, l’image de ces deux enfants, courrant vers lui pour demander de l’aide se substitua à la vision de ses deux jumeaux. Lorsqu’ils avaient cet âge là, il se souvenait à quel point rien d’autre ne comptait pour lui. Il pouvait passer des heures à simplement les regarder. Dans son entourage, on l’avait souvent taquiné en disant qu’il était « gaga » avec eux. Toujours a vouloir les porter, les chouchouter, les embrasser… peut-être même trop. Mais aujourd’hui, tout ça était bien loin. Ils avaient vingt ans, ce n’était plus des enfants qui s’amusaient à inventer des aventures, mais des pirates en quête de sensations, à la poursuite de leur rêve.

Les deux enfants s’arrêtèrent à sa hauteur, mais l’un des deux semblait porter son attention sur une autre personne. Joseph regarda rapidement derrière lui et reconnu le jeune homme affalé auquel il avait glissé quelques billets, seulement cinq minutes auparavant. Il leva les sourcils, d’abord étonné puis gêné, en reconnaissant sur la tenue de celui-ci la fameuse mouette. L’homme qu’il avait à tord pris pour un sans-abri était en fait un soldat.

- Monsieur s’il vous plait ...

- Il faut nous aider !

- Du calme, du calme. Racontez-moi ce qui ne va pas.

Il s’était accroupi pour se mettre à leur hauteur. Par contre, à la vue des enfants humains, Albert, le lapin des neiges, avait pris ses distances. Il se terrait dans un coin de la rue, attendant patiemment que le moment passe, tout en gardant un œil sur le jeune homme qui arrivait depuis l’autre bout de la rue.



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Lun 20 Mai - 15:30

"T''est un mendiant ou quoi ?"

Jim tourna la tête en direction d'une petite ruelle, cependant un "mur" blanc bloquait le passage. S'approchant discrètement de cet obstacle, le garçon leva la main pour le toucher, dès son contact, sa première réaction fut étrange. étonnait par la sensation douce et soyeuse de ce "mur", Jim avait les yeux grands ouverts, selon lui c’était un mur avec un pelage blanc... Mais de plus, derrière cette "chose", Jim pouvait entendre des sons, plus comme des gens en train de parler. Alors positionnant ses deux mains sur le "mur" blanc, il poussait de toutes ses forces, mais ses petites jambes ne faisaient que glisser sur le sol. Prit de colère par son incapacité à franchir cette ruelle, il déplaça sa main vers le fourreau attaché à sa ceinture. Laissant un léger filet d'encre dégouliner sur la lame, Jim s’écriât :

♦Rain Drop !

Dégainant son katana à vive allure, l'encre se trouvant sur son plat fit projetée avec puissance sur le "mur". Regardant avec ses petits yeux bleus, la larme d'encre volait en direction de l'obstacle, qui était en réalité un lapin. Fier de son attaque, Jim n'attendait plus que le moment propice pour crier : "YATA !", tenant toujours le manche de son épée dans la main gauche. Préparant ses deux mains et ses minuscules jambes, il prévoyait de faire un bond sur place pour accompagner son cri de satisfaction. Un énorme sourire sur ses deux lèvres se dessinait petit à petit, ses yeux ronds et les plissures de son front témoignaient de son bonheur, de son court bonheur... Puis une vois résonna juste derrière ce mur :

♣Du calme, du calme. Racontez-moi ce qui ne va pas.

Intriguait par ce qu'il venait d'entendre, mais aussi par les voix de deux enfants, Jim se décala vers la gauche, en faisant deux pas, puis deux autres très lentement. Il ne bougeait plus, regardant à sa droite, puis en face, puis de nouveau à sa droite, pour finalement fixait la chose. Ses lobes oculaires commençaient à s'agrandir, sa bouche s'ouvrait, pour finalement ne laisser qu'un : "Oups..." , sortir. Il venait d'attaquer un lapin géant qu'il avait confondu avec un mur recouvert d'un pelage doux et d'après la situation, cela allait mal finir... Dans un combat à la loyale, Jim avait toutes ses chances de gagner, mais là ! La bête devait mesurer 5 mètres ! Et pesait 500 kilos ! Enfin, c'est ce que Jim racontait à tous les gens qu'il avait rencontré lors de son aventure.


♦Désolé...


Légendes :
♦Jim
♣Joseph
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Dim 30 Juin - 17:30





Les enfants voyaient le monde différemment des adultes. Ils ne l’observaient pas avec les mêmes lunettes. Ainsi, en voyant leur yeux pétiller d’admiration devant le lapin qui avait pourtant clairement pas une tête de peluche, Joseph comprit que c’était Al’ qui leur avait donné envie de venir le trouver, lui. Du coup, lorsque le Lapin se mit subitement à grogner en agitant ses bras, dévoilant ses dents pointues, les enfants prirent peur et détalèrent en pleurant. Furieux, le mammifère fit volte-face pour se trouver nez à nez avec un jeune humain et s’empressa de lui donner un puissant coup de patte. Joseph ne se retourna qu’à ce moment là et s’éloigna de quelques pas, inquiet de recevoir lui aussi un coup de son partenaire. Albert était furieux et le peintre s’empressa de réprimer son agressivité en appliquant sur sa fourrure un symbole circulaire verdâtre. Ce Vert de la détente le calma avant qu’il n’ait le temps de tuer qui que ce soit.

- Navré pour ça. Al’ est irascible et très susceptible, mais il n’est pas belliqueux. En gros, j’ai de bonnes raisons de croire que vous avez attaqué en premier, n’est-ce pas ?

Le quadragénaire avait parlé d’un ton interrogateur alors qu’il se savait pertinemment dans le vrai. La mine désolée du jeune homme ne trompait pas. Un cri d’enfant détourna toutefois son attention du Soldat agresseur de lapin. Au loin, l’un des deux enfants à avoir précédement pris la fuite venait de faire une mauvaise chute et pleurait sur son genou légèrement écorché, tandis que l’autre s’efforçait de le consoler. Mand observa la scène en souriant et médita un instant sur la situation en passant machinalement ses doigts dans sa moustache, avant de finalement se tourner vers le sabreur de la Marine, les yeux emplis de malice.

- Avant que vous ne les fassiez fuir, ces enfants semblaient avoir quelque chose d’important à demander. Si vous m’aidez à résoudre leur problème, alors je ne tiendrai pas rigueur de votre attaque envers mon ami.

Il s’empressa de tourner talon pour ce diriger vers les deux garçons. La réponse du jeune homme lui parviendrait de toute manière, même s’il était dans son dos. En attrapant ses lunettes crasseuses pour les essuyer, il remarqua les nombreuses tâches de peinture sur ses doigts et se dit qu’un lavabo serait le bienvenu.

- Désolé si Albert vous a fait peur, quelqu’un lui a fait... une mauvaise blague. Enfin bref, de quoi vous vouliez me parler tout à l’heure ?

Les jeunes hommes hésitèrent un instant, puis finirent par déballer l’histoire.

- Voilà… en fait… On se promenait et puis.
- On pensait qu’ils étaient avec nous, mais en fait il n’y avait personne derrière. Papy Roger et Papy et Albert ont disparus !

Ainsi débuta la nouvelle BA du jour, Roger et Albert.. deux Octogénaires perdus quelque part sur cette île lugubre. Amusante coïncidence, l’un des deux grand-père avait le même nom que le lapin, peut-être que cette rencontre n’était pas le fruit du hasard. En tout cas, pour ce genre de mission de recherche, avoir un partenaire de plus ne pouvait être que bénéfique. Ils allaient pouvoir se répartir les tâches et être plus efficace.

« Titre : La chasse aux Pépés est ouverte »



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