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Mar 2 Mai - 16:52
Ren Tao
Pnj
Surprise
Yao se débrouillait bien au final et c’est donc en ayant vu cela que j’avais décider de changer mes plans. Ayabusa avait eu ses petites idées et l’une d’elles m’avait amusé. En effet, il m’avait rappeler qu’à l’époque, Rei avait conquit une île, cependant pour lui donner une certaine importance s’était elle la gérante et de plus, il y avait aussi une alliance avec Konan afin d’avoir un bon marché dessus. Cependant... Rei était morte non ? Et mes relations avec Konan s’étant détériorée, il me fallait reprendre la main non ? Avec mes associés capable de gérer un marché sans mal, détruire la concurrence et maintenir une main de fer sur ce dernier, c’est donc avec cette bête idée que je me dirigeais seul vers cette île. Accompagné de quelques compagnons seulement, je laissais mon navire de taille imposante s’approcher des côtes de l’Archipel. Paradise.
Comme son nom l’indique, elle était paradisiaque; l’atmosphère était véritablement plaisante, reposante, idéale pour faire un break. Un business qui roule n’est-ce pas ? Malheureusement, cet équilibre se devait d’être changé et j’allais faire cela en prenant le contrôle du business de cette île. Pour se faire, bien des méthodes s’offraient à moi, mais je ne comptais pas prendre mon temps. C’est donc de façon méthodique mais brutale que j’allais m’y prendre.
Laissant le navire caché à l’oeil de tous pour éviter que n’importe qui ait l’idée d’essayer de le couler - sachant que si les poissons combattants étaient lâchés dans la nature ce serais un vrai bordel - comme ça c’est produit la dernière fois que j’ai croisé des enculés de Konan. Terminant le reste du voyage à pied, je laissais mes hommes à distance prêt à intervenir en cas de pépin.
Pour commencer ma conquête, je rendis donc visite à une certaine personne. Celle-ci n’était pas la plus connue, mais elle avait son mot à dire lors de conseils du Club Paradise. Première étape, m’occuper de la face visible de l’Iceberg et c’est donc de façon claire que je me fis comprendre à ce dernier. Le menaçant de mes propres mains, je lui faisais clairement comprendre qu’il allait fermer les yeux sur ma présence ici et le fait que j’allais tirer les ficelles dans l’ombre. Si par malheur il essayait lui ou ses copains de me mettre des bâtons dans les roues, alors ce serais un carnage sans précédent qui suivrait sa trahison. Le laissant méditer sur ce deal que je lui imposais, je me dirigeais vers ce qui était censé être un endroit où les deals moins légaux que la normale se déroulaient.
Konan hein ? Terminé le paradis fiscal... Ou bien il allait accepter mes conditions ici, ou se faire botter le cul, telle était ma loi désormais. Arrivant dans le bâtiment sur l’archipel C, je vins à entrer et laisser l’homme faire comme si j’étais un client normal. Plissant les yeux, je l’attrapais par le col pour alors lui faire directement cracher le morceau.
“ J’ai cru comprendre qu’il y a des transactions de temps à autre dans un sous sol. Et les principaux dirigeants de ce glorieux commerces sont ici hm ? On est cet endroit ? “
Reconnaissant enfin qui j’étais, l’homme blêmit quelque peu. Pourquoi diable étais-je là, alors que Rei s’occupait déjà de ce genre de business d’une main douce et bienveillante ? Certes elle était absente, mais heureusement, son compagnon Lawrence Holf faisait office de second. Ainsi donc, me laissant avouer où était le sous-sol où avait lieu les principales négociations avec justement une réunion ce soir, je le reposais tranquillement au sol en lui faisant comprendre que déclencher une quelconque alerte n’était pas dans son intérêt. Descendant les escaliers qui menaient à une véritable pièce digne d’accueillir un meeting de président, je fis carrément exploser la porte, mettant fin à la petite négociation en cours. Pas le temps d’agir, la porte n’était déjà plus qu’un mauvais souvenir et moi, je traversais doucement la fumée, dévoilant mon identité aux gens présents ici. Et heureusement, un con eu l’idée de dire “ que diable se passe-t-il “. Haha...
“ ... Il y a un changement de programmes. “
Avançant jusqu’à la table, je ne me fis pas prier pour me saisir d’une petite boisson et en prendre un peu avant de jeter un regard bref aux gens présents dans la pièce, ignorant les possibles gardes qui n’étaient que de pseudos emmerdeurs à mes yeux.
“ Ce petit paradis est un lieu qui favorise des échanges entre la plupart des hors-la-lois. Notamment grâce à Rei, qui a conquis pour les Shadow-Ghost cette île, cependant... Cette dernière est morte, alors je viens reprendre le business en main propre. “
Essayant de voir qui était présent ou non, me foutant des réactions possibles face à l’annonce de la mort de Rei, je repris alors la parole.
“ Je viens fixer de nouvelles règles quant aux commerces, leurs taxes et nos petits arrangements, mais suite à un petit désagrément avec Konan... Je viens aussi préciser que je lui laisse une semaine pour me verser une petite somme rondelette pour me rembourser une petite... Casse. Ou alors, je détruirais un à un ces commerces et prendrais la tête de ses dirigeants. Suis-je clair ? Et tout ceux qui voudraient aider, quitte à mettre l’Archipel à feu et à sang, suis-je clair ? “
Le business avec moi est clair et net. C’est ma loi et non celle de l’autre. Restais à savoir ce qui allait se passer. Je les laissaient contacter d’éventuel compagnons pour négocier, mais je ne faisais pas le sourd. Le moindre gars suspect se prendrait une belle droite dans la tronche.
Surprise Mother Fucker. Ren débarque pour régler des histoires. Il s'arrange avec un mec du Club Paradise histoire que ces types ne gênent pes les futurs affaires de Ren, suite à quoi, il débarque dans une réunion privée de base pour poser ses balls sur la table et faire comprendre que les temps vont changer. Les principaux menacés sont ceux qui ne voudraient pas deal avec lui, et les hommes de Konan, clairement appelés à s'écraser ou faire entendre leur mécontentement now.
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Dita | Epicode
Ren Tao
Rei Mitsuyori
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Mer 3 Mai - 22:29
On est dans la merde !
feat Ren
Via Lawrence Holf - Chef Sécurité de Paradise
MAUVAISE NOUVELLE EN VUE
Alors que tout était paisible sur Paradise, moi Lawrence, je continuais à m’occuper de tout ce petit monde, des règles économiques préétablies avec Konan tout particulièrement. Rei était venue faire un petit tour sur l’île pour nous dire qu’elle allait rentrer dans la révolution et que surtout, elle voulait qu’on ne dise pas qu’elle est toujours vivante. La miss voulait passer pour morte au monde entier. Ce qui est tout de même compliqué avec ses cheveux et son visage si reconnaissables. Enfin, n’ayant rien dit à ce moment là, je lui ai seulement souhaité bonne chance et je suis retourné à mes petites affaires.
Ce soir, il devait y avoir une importante transaction pour la suite du business qu’il y a ici sur Paradise. Etant donné que c’est un marché noir qu’il y a entre Konan et nous, nous sommes un peu obligés de recevoir dans un sous sol d’une taverne, bien à l’abri des regards. Ce soir, avec un de mes sous fifres, je devais recevoir un des gars de chez Konan ainsi qu’une autre personne assez importante qui pourrait renforcer ce petit business et ainsi continuer à faire prospérer l’archipel. De plus, Rei quand elle était ici, avait appelé Konan pour savoir où les affaires en étaient et ainsi savoir ce qu’il y avait à améliorer ou pas. Seulement, un pressentiment me prit au ventre toute la journée. Elle n’avait déjà pas très bien commencé du fait que ce matin, je me suis levé en retard et que j’ai du ramasser à la petite cuillère un villageois qui avait un peu trop bu et qui s’était retrouvé devant ma porte au petit matin…
Même si l’archipel Paradise est resplendissant, que c’est l’endroit idéal pour un break, bah forcément, je constate quelques petits problèmes. Ho pas tous les jours bien heureusement. Mais enfin, cette journée n’avait pas réellement bien commencé que je sentais un mauvais pressentiment. J’en parlais à mes deux camarades pour leur demander d’ouvrir les yeux sur la moindre chose étrange qu’ils verraient.
Donc la journée a continué toujours avec ce mauvais pressentiment au ventre mais qui n’a en rien fait baisser la qualité de mon travail. Puis la réunion importante allait avoir lieu. Demandant au tavernier du Club Paradise de ne laisser entrer personne, je ne m’attendais absolument pas… à voir débarquer le gêneur de première, j’ai nommé Ren Tao. ET MERDE !
- Putain… fallait que d’entre tous les hors la loi qui en veulent à cet archipel, ce soit lui ! Attends un peu… tu dis qu’elle est morte ? T’es sur que t’a vérifié l’information ? Non parce qu’elle est venue ici il y a moins de trois semaines et on a re-négocié les règles du marché avec Konan en personne. - Law ! Personne ne devait être au courant qu’elle était toujours vivante ! - Oups… - Ren Tao hein… Il me semble que tu es en mauvaise posture avec Konan non ? Alors qu’est-ce que tu fous là ? On peut très bien l’appeler, je suis certain qu’il sera ravi de t’écraser.
Ça commençait à aller loin… Et en plus de ça, je venais de vendre notre miss. Quand je disais que j’avais un très mauvais pressentiment, bah là on ne pouvait pas faire plus pire… Ca va être très compliqué… Nous ne sommes pas du tout en état de faire quoi que ce soit contre lui. Même si nous sommes plus nombreux, nous ne faisons clairement pas le poids face à lui. Si au moins Rei était là, mais c’est impossible… La dernière fois que je l’ai eu à l’escargophone, elle était sur Kaiten-Su. Elle est trop loin pour pouvoir revenir ici en urgence et nous aider à résonner ce connard de première.
- Donc maintenant mon cher qui a l’air un peu trop hostile à cette île, tu prends tes clics et tes clacs et que tu te casses !
La grosse tête ? Oui sans aucun doute mais je n’allais tout de même pas laisser ce mécréant avoir cette île et refaire les lois du marché. C’est hors de question ! Avec lui au pouvoir, les habitants seront pires que taxés et l’île ne deviendra plus un îlot de paix.
- Je te rappelle donc Ren Tao des Shadow Ghost que Rei, en récupérant cette île, n’était pas vraiment avec toi à ce moment là. De plus, ce n’est pas grâce à toi que l’on a eu ce marché avec Konan. Donc, tu n’a aucun droit sur cette île.
Un coup de poker mais qui est en même temps la stricte vérité. Je me rappelle que Rei m’avait dit qu’elle avait repris cette île avec une combattante affiliée à Konan et donc pas avec les Shadow Ghost. Même si elle a été avec ce groupuscule qui devient un peu trop important, Ren n’a pas à venir réclamer un dû qui n’est pas le sien.
[HRP : Tu fais chier, surtout que tu n'a aucun droit sur cette île ! >< T'aurais pu attendre que je finisse mon anim ; Rei serait venue en personne tiens]
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Rei Mitsuyori
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Jeu 4 Mai - 18:28
Napoléon, primé à 150 berrys.
-Vous, les vulgaires humains, avez tendance à vous énerver bien trop promptement. N'est-ce pas ? J'espérais que je trouverais sur South Blue des divertissements plus à la hauteur de la réputation d'Harishigawa. N'est-ce pas ?
La voix grave et gutturale qui avait prononcé ces mots était en total contraste avec la silhouette minuscule, rachitique et couverte d'un pelage blanchâtre à laquelle elle semblait appartenir. Napoléon était un savant mélange de Tontatta et d'homme-bête lapin, et, à ce titre, il possédait une carrure qui avoisinait au grand maximum les soixante-dix centimètres de haut. Son visage particulièrement inexpressif avait tendance à décontenancer, à désarçonner voire à effrayer ses interlocuteurs, mais la plupart des personnes qui le croisaient ne se méfiaient guère de lui. En témoignait d'ailleurs sa mise-à-prix, particulièrement basse malgré son affiliation envers le baron de la pègre Konan pleinement reconnue. Il faisait partie des criminels et des mercenaires qui avaient été engagés et envoyés par le tristement célèbre hors-la-loi pour s'occuper de ses multitudes de marchés en expansion sur South Blue. Après avoir implanté fermement son commerce sur Grand Line, aussi bien sur Paradise que sur le Nouveau Monde, Konan nourrissait effectivement l'idée de s'emparer des Seas Blues, où les innombrables conflits pouvaient lui permettre de s'immiscer et de faire fortune sans trop de soucis. Cela étant, les pointures qui s'y tenaient d'ores et déjà ne facilitaient pas franchement le travail... La Révolution d'West Blue était en total désaccord avec la politique des mafieux, tout autant ou presque que le Gouvernement Mondial lui-même. East Blue semblait trop paisible pour s'implanter de manière durable, et North Blue jouissait de la montée en puissance de la Révolution juvénile d'Erwin Dog et de celle, plus mature, d'Oulanov, et South Blue restait donc l'unique option fiable pour l'heure... Si l'on omettait, bien entendu, cette saleté de Guilde Marchande. Du coup, le job de Napoléon et des siens était simplissime : poursuivre la tâche engagée par Awazi Izanami à travers la conquête de Paradise affiliée à Rei Mitsuyori et gangrener progressivement les îles environnantes. Lorsque cela serait fait, il ne resterait plus que Trader, fief ultime des Marchands... Qui ne tarderait guère à tomber, avec ou sans la protection de Mozero.
Mais pour l'heure, la situation était bien assez tendue, dans ce tripot de l'Archipel C, le Club Paradise, pour que Napoléon ne se désintéresse totalement des véritables raisons de sa venue. Il décida de bondir de son tabouret avec une certaine agilité, malgré le fait que ce siège était en vérité plus grand que lui, puis trottina jusqu'à arriver face au chef des Shadow Ghosts, le toisant d'un regard neutre et presque stupide. Après une ou deux secondes d'un mutisme profond, il lâcha finalement quelques palabres supplémentaires d'un ton blasé.
-Je m'attendais à ce que vous soyez plus grand. N'est-ce pas ? Et puis, quelle prime ridicule... N'est-ce pas ?
Ippo "Doktiçimo" Kondriak, 123.456.000 berrys, et Jen Hissère, 200.000.000.
-Atchoum ! Oh putain de merde... -Tu vas pas recommencer... -PUTAIN DE MERDE J'AI ÉTERNUÉ ! JE DOIS AVOIR LA GRIPPE ! CHERCHEZ UN MÉDECIN, VITE ! JE ME SENS FAIBLE, PUTAIN ! J'AI OUBLIÉ MES LODIPRANES ! FILE MOI MES CACHETONS, JEN !
Jen leva les yeux au ciel, exaspéré. Il n'avait vraiment pas l'habitude de partir en mission avec Ippo et, à vrai dire, il n'avait jamais eu à s'en plaindre : il n'appréciait que très modérément cet adolescent hyperactif et irrationnel, qui avait en outre un penchant marqué pour l'exagération outrancière. Ils faisaient partie de la fine équipe envoyée par Konan pour régler les différents problèmes que leur patron rencontrait en ce moment même sur South Blue, vis-à-vis, plus particulièrement, de la politique expansionniste de la Guilde Marchande. Ils n'en étaient par ailleurs que deux des innombrables têtes d'affiche : la plupart des leurs écumaient pour l'instant l'océan tout entier, à la recherche de leurs alliés les plus fidèles, mais une petite part de leurs effectifs étaient ici, à Paradise, en stand by. Eux deux en faisaient évidemment partie, et tentaient tant bien que mal de trouver un tant soit peu de repos et de satisfaction dans une auberge de l'archipel, sans y parvenir véritablement à cause des excès constants du jeune Kondriak. Ce dernier, avec affolement et empressement, se redressa précipitamment en remarquant qu'il avait terminé sa boîte de mouchoirs, manquant de peu de renverser le whisky de son acolyte qui grommela quelques insultes. Après avoir tapoté la moitié des multiples poches qui ornaient ses vêtements pour découvrir de nouveaux mouchoirs dans lesquels il se moucha sans plus attendre, le garnement réajusta ses bandages sur son visage et se replaça tranquillement sur sa chaise, apparemment apaisé. Cela ne dura qu'un temps, puisqu'il ne tarda pas à remarquer une étrange éraflure sur son pouce droit...
-PUTAIN DE MERDE ! J'AI FAIT CA COMMENT ? J'VAIS CREVER DU TÉTANOS ! -Fais donc, mais loin de moi. -T'AS AUCUN PUTAIN DE CŒUR, JEN ! C'EST POUR CA QUE T'ES ENCORE PUTAIN DE PUCEAU ! -De... TU VAS LA FERMER, OUI ?
Jen, qui essuyait les œillades moqueuses d'un groupe de frêles jouvencelles qu'il avait remarqué en entrant dans le bar, se mit à rougir puissamment tout en attrapant son fusil par le canon. Il se redressa brutalement et fit un geste horizontal violent, balaya les airs et menaçant de fracasser le crâne d'Ippo d'un instant à l'autre. Celui-ci se balança furieusement sur sa chaise et retomba lourdement en arrière tandis que son compagnon terminait son geste furibond. Résultat des courses ? Le mur qui se trouvait derrière Ippo explosa partiellement et le gamin en question, qui venait de tomber de son tabouret, s'était tordu le doigt pendant l'opération. Tandis que les civils s'enfuyaient sans plus attendre, le Doktiçimo se redressa précipitamment, tenant son index endolori, les larmes aux yeux.
-PUTAIN ! A CAUSE DE TOI J'SUIS SÛR QUE LE SANG CIRCULE PLUS ! CA VA POURRIR, J'VAIS CHOPER UNE GANGRÈNE ET DEVOIR COUPER ! HARISHIGAWA VA ÊTRE FURAX ! -SI TU SURVIS, SAC A FOUTRE !
Göz, 85.585.000 berrys, et Mede, 58.858.000.
Contrairement à Napoléon et à d'autres, Göz et Mede ne faisaient pas véritablement partie des troupes de Konan : ils avaient été grassement payé pour mener une mission à bien, à savoir combattre ses opposants locaux et pousser son commerce à gagner progressivement en influence. Une quête complexe et longue, mais qui valait concrètement le coup : il leur avait promis une somme d'argent colossale pour ce faire. L'appât du gain était un formidable moteur pour ces deux frères mercenaires qui, pour l'heure, se baladaient placidement dans l'une des ruelles de l'archipel. Le premier, mains dans les poches, semblait particulièrement penseur tandis que le second, une côtelette grillée bien en bouche, se contentait d'humer les odeurs que le vent portait jusqu'à ses navires. South Blue avait ce quelque chose d'enjôleur, de revigorant, dont la plupart des océans se trouvaient inexplicablement dépossédé... Ici, l'air se saturait comme par enchantement, tantôt de bonnes effluves parfumées ou de senteurs alimentaires, tantôt d'horribles exhalaisons putréfiées, synonymes de combats macabres et de morts en cascade. Dans tous les cas, eux n'étaient pas ici pour jouer leur vie, mais uniquement un pan de leur carrière... Après un moment de marche silencieuse, Göz murmura finalement quelques paroles tout juste audibles, que Mede capta avec une attention soignée.
-Je vois... Napoléon est en colère... Il est face à un roux... Ren Tao, je crois... -Hm ? C'est bizarre, ça.
Quelles conclusions devaient-ils en tirer ? Aucune, pour l'heure. Ils allaient se contenter de suivre leur rôle, et de rester à la disposition des troupes de Konan sans se rendre particulièrement utiles pour autant : on leur avait demandé de demeurer en stand by, gentiment et calmement, et c'est ce qu'ils comptaient faire... A condition qu'on ne leur donne pas d'ordre supplémentaire, bien entendu.
Petit tour d'horizon des mafieux importants actuellement sur l'île. Napoléon est avec vous, les autres sont dispatchés sur l'archipel tout entier !
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Ren Tao
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Mar 9 Mai - 16:28
Ren Tao
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Surprise
Mon objectif en venant ici était claire et simple : prendre les choses en main, cependant, je savais très bien à quoi m’attendre : une nuée d’imprévus ou de pseudos emmerdeurs qui ne verraient pas ma venue d’un même engouement que le mien. Soit, autant soient-ils, je me ferais une joie de les écarter de ma route. Telle était ma philosophie depuis un certain temps. Trop longtemps j’avais subis ces conneries du hasard et du destin. Désormais, je me prenais en main et quelque soit l’avis d’autrui, je forcerais les choses peu important ce que cela me coûtera. N’est pas un homme celui qui ne porte pas ses convictions jusqu’au bout du combat. À moins qu’une situation ou un arrangement alléchant ne se montre, il était hors de question que je reparte bredouille de cette visite sur Paradise, quitte à devoir raser l’archipel...
Ainsi donc, j’avais pénétré dans cette réunion à la con. Ni une ni deux, j’avais posé mes couilles sur la table et que cela plaise ou non, j’allais les faire gober à coup de pompe s’il le faut. À peine arrivé, je remarquais alors le visage de l’homme censé gérer les affaires. Lui et son air d’abruti terminé - et d’incompétent - se permit de parler en faisant clairement comprendre que je n’avais pas de droit ici. Oh ? Alors que j’allais lui faire fermer sa gueule, ce dernier laissa filer une information des plus déroutante. Rei ? Vivante ? Se rendait-il compte de ce qu’il venais de dire ? Dans ma tête, un long silence se fit et extérieurement s’était pareil. La femme que j’avais aimer était vivante et non morte ? Elle ne me le signalait pas et faisait des coups dans le dos ? Sérieusement ? Se rendait-elle compte de ses actes ? Est-ce que ses compagnons avaient conscience des conséquences de leurs actes à mon égard ? Visiblement, oui, vu ce que disait ce con de Law’... Ils assumaient leurs conneries ? Tandis que le jeune homme m’invitait à clairement partir, quelque chose grandissait en moi. De tout ceux présents, seul le petit mi-tontatta, mi-homme lapin pouvait ressentir cette hostilité augmenter au point de frôler une explosion royale. Mon “ aura “ meurtrière pourrait faire trembler plus d’un combattant qui savaient reconnaitre ces “ attitudes “, mais pour ce qui est des hommes de Konan, c’est sans doute une autre histoire. Dans la pièce, quelque chose flottait et s’annonçait : la mort.
Ignorant les provocations, que ce soit un idiot qui “ menaçait “ d’appeler papa Konan ou son envoyé direct qui jouait la carte de la provocation, je me tournais directement vers le pseudo protecteur de l’île et gérant des relations Rei-Konan et donc indirectement Shadow Ghost - Konan. Si personne ici n’avait l’intention d’intervenir d’une quelconque façon que ce soit, alors ce serais le premier à tomber et mes mots ne laissaient aucun doute à ce sujet. Directs, froids, perçant, il n’était plus question d’être humain, il s’agissait là des paroles d’un tueur né, entraîné, clairement prêt à faire le boulot qu’il sait faire le mieux.
“ Rei n’est pas morte ? ... Toi en revanche. “
Lueur démoniaque, lubrique, injectés de sang, mon corps partit sans prévenir. D’un bond maîtrisé, poing serré, bras bandé vers l’arrière, il était bien trop tard pour le jeune homme d’agir. Que ce soit saisir sa faux, se reculer, s’abaisser, il était seul face à son destin et encore une fois, sans aide extérieur, très peu de chance qu’il s’échappe de cette mauvaise passe. S’il y avait une leçon à retenir de cette entrevue, s’était qu’en présence de personnes comme moi, les actes sont importants, cependant, les mots aussi sont à manier délicatement. Que ce soit en combat ou dans la vie de tout les jours, les mots peuvent être une arme redoutable, mais aussi des déclencheurs de guerres sans précédents. Clairement dans le cas présent, le jeune Law’ avait ouvert sa gueule pour la dernière fois. Autant Rei était la femme pour qui je me serais battu jusqu’à la mort, que j’avais aimer, donc ses insolences passaient, autant lui... Il n’était qu’un morveux du genre que j’écrase en marchant dans la rue tout les matins.
Mon poing se dirigea vers son ventre et dès que ce dernier entrerait en contact, quelque chose d’étonnant aurait lieu. Autrefois, il aurait été propulsé contre le mur, voir encastré, mais là, il allait être le premier à goûter au résultat de mes nombreux entraînements, le fruit de mes heures à tester, ramasser pour arriver à un tel résultat. Une explosion digne d’une bombe meurtrière aurait lieu contre son corps et seul un miracle pourrait l’empêcher de mourir sur le coup ou d’avoir un trou dans le corps. Quand bien même il “ parait “ l’explosion, il lui restait la puissance du coup physique à encaisser. Dans tout les cas, échec et mat pour ce pion sans importance dans l’histoire. Restais à savoir ce qu’en penseraient les autres, cependant, eux aussi étaient en danger, car clairement hors de moi, je menaçais de faire effondrer l’endroit si aucune précautions n’étaient prises ou si le lieu n’était pas si solide qu’on le croirais. Quelle idée d’exploser - au sens propre - de rage dans une pièce close ?
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Sur le navire, les hommes attendaient. Sous-fifres, main d’oeuvre et réels commandants de ma petite flotte, ces derniers avaient bien eu pour ordre de n’intervenir que si les choses se corsaient que je ne pourrais plus gérer seul la situation. Ils n’étaient qu’un joker, un égaliseur si l’équation devenait déséquilibré et pour le moment, peu de chance que ça soit le cas, car mon objectif dernièrement était d’être une armée à moi seul, à l’instar de certaines têtes connues comme Nakata ou Erwin, à différence que moi je ne me repose sur aucun fruit ou aucune chance. Je supportais le poids des victoires et défaites arrachées par ma conviction.
Cependant, sur ce navire, il y avait des éléments très obéissants, mais d’autres - tout aussi dévoués que les autres - étaient du genre à avoir un coeur et ne pas vouloir me laisser gérer seul mes affaires, prêt à se lancer dans la bataille s’ils sentaient que ça pourrais m’être utile. Restez à savoir ce qui allait se passer. Mes plans allaient ils se dérouler sans accroches ? Quelle question que voilà.
Surprise Mother Fucker. Ren n'est pas de bonne humeur ( ça change de d'ordinaire ? ) Du coup... Les grandes gueules comme Law' ça lui suffit. Paf, il lui saute dessus pour carrément l'exploser. Vu la diff de level, même si de base ça devrais " tuer ", si rien n'est paré de façon logique et avec force, à défaut de tuer, il peut être considéré K.O.
Au mj de décider pour ce détail, mais l'explosion est dangereuse pour Law' ( merci captain obvious ) mais le lieu n'est pas mega solide donc... Les autres peuvent être mise en danger par l'onde de choc, à voir si la pièce menace de s'écrouler sur elle-même.
techniques utilisées:
• Sentouryoku bakuhatsubutsu Style de combat développé depuis peu. Cette aptitude permet à son utilisateur ( combattant pur CàC ) de créer un corps à corps explosif. Il peut donc utiliser uniquement ses pieds et poings pour donner lieu à des explosions plus ou moins massive selon la préparation. Bien entendu, plus la préparation est présente, plus l'effet est dévastateur.
• Hurricane destruction : Concentrant ses forces dans un coup, l'homme créer une explosion massive, qui additionnée à sa force rend le coup dévastateur. > 42
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Rei Mitsuyori
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Mar 9 Mai - 20:48
On est dans la merde !
feat Ren
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Tch… la situation ne me plait pas du tout et je viens de me mettre à dos le plus grand meurtrier de toute la planète, bien joué… Le voyant quelque peu déstabilisé face à la révélation que oui Rei était en effet toujours vivante, j’en profitais pour sortir mes deux guns. Ma faux était un peu trop loin pour avoir le temps de la prendre, surtout qu’il venait de me faire une menace de mort. Ça ne me plaisait absolument pas et je pouvais distinguer un changement soudain de comportement émanant de lui. Quelque chose me dit que ce n’est vraiment pas bon pour moi.
Il me faudrait arriver à sortir de là afin de prévenir Rei. Je pense qu’il n’y a qu’elle qui pourrait éventuellement le faire changer d’avis… et encore… Ce fichu mec a l’air d’être déterminé comme jamais. Même si armé de mes revolvers et bien concentré, je ne vis absolument pas ce qu’il se passa sous mes yeux et l’attaque dont j’allais être l’ennemi. Du moins, jusqu’à ce que je vois passer devant mes yeux, le tontatta. La puissance du coup de l’ennemi nous fit exploser contre le mur. Même si je ne pris pas le coup direct puisque le petit personnage s'interposa entre lui et moi, j’ai tout de même ressenti le contrecoup, assommé sur le moment. Et merde, ce n’est pas le moment !
Le seul truc c’est que le bâtiment menaçait de s’effondrer et ça n’allait pas plaire au patron et ça n’allait pas le faire tout simplement. Ce connard va me le payer. Il voulait me tuer, et bien ce n’est pas encore pour tout de suite apparemment. Toujours mes revolvers à la main, je me mis à tirer en sa direction. Il me semble que Rei m’a dit qu’il avait le haki de l’observation mais tirer sert juste à détourner son attention, à le retenir et faire en sorte que Rei puisse non seulement être au courant mais si possible qu’elle puisse venir. Ou alors Konan en personne, enfin quelqu’un qui puisse nous sauver quoi. Parce que moi tout seul… je ne pourrais jamais lui tenir tête sans risquer ma peau. Je suis déjà à deux doigts de mourir, surtout si le bâtiment décide de s'effondrer dans peu de temps... Adieu Rei, adieu tout le monde...
[HRP : Law est sauvé in-extremis par Napoléon mais il risque quand même de mourir]
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Rei Mitsuyori
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Ven 12 Mai - 23:00
Napoléon, primé à 150 berrys.
S'il n'était pas foncièrement du genre à se mettre de manière tapageuse et outrancière sur le devant de la scène, force était de reconnaître toutefois que Napoléon ne souffrait pas nécessairement d'une modestie exacerbée : tout au contraire, il appréciait qu'on puisse le prendre au sérieux, et ce malgré son apparence ridicule, appuyée avec une assiduité incontestable par la très légère prime que le Gouvernement Mondial offrait en l'échange de son arrestation. De facto, lorsque son haki de l'observation balaya les intentions hostiles de Ren Tao et parvint à le renseigner quant à ses velléités agressives et offensives à l'égard du jeune Lawrence, l'envoyé d'Harishigawa ne prit pas la peine de réfléchir davantage. Faisant complètement fi du reste des personnages présents dans la salle, se fichant finalement pas mal de leur hypothétique survie, l'homme-bête-tontatta focalisa tout au contraire son attention sur Lawrence qui, clairement trop faible et trop lent, n'avait pas la moindre chance de s'en tirer dans l'état des choses. Fort heureusement, le très bas primé put quant à lui réagir à temps : ses poils s'animèrent soudain et sa fourrure toute entière se mit à s'allonger, ne tardant guère à attraper les jambes du protecteur de Paradise pour le balancer à terre sans trop de ménagement. L'objectif ? Lui épargner l'assaut frontal que lui destinait Tao, pour éviter de le voir mourir dans la seconde : Konan n'avait aucun intérêt à voir l'un de ses partenaires directs réduits en bouilli par un gamin prétentieux et effervescent. Cela n'empêcha toutefois pas Ren de faire du zèle : l'explosion eut lieu, et la bâtisse, trop vétuste et trop fragile pour encaisser un assaut de cette envergure, s'effondra d'un coup d'un seul. Sans relâcher le chef de la sécurité et, à vrai dire, l'entraînant même à sa suite, Napoléon défonça sans difficulté les plafonds et le toit qui le menaçait pour ressortir vaillamment des décombres, vivant et en parfaite santé. Si Lawrence était certainement encore en vie, nulle doute qu'il aurait été violemment secoué par l'opération... Sans perdre de temps et sachant pertinemment que le rouquin s'en était sorti, l'homme-bête prit la parole, avec la voix gutturale qu'on lui connaissait.
-Ce sont des présentations qui ne manquent pas d'animation, n'est-ce pas ? Vous pensiez que j'allais laisser mourir notre interlocuteur privilégié de Paradise sans opposer résistance ? N'est-ce pas ?
Pour Napoléon, l'objectif était simple : en savoir davantage quant aux objectifs de Ren Tao sur cette île et quant à ses desseins vis-à-vis de l'Empire d'Harishigawa Konan. Si le rouquin n'avait pas voulu lui répondre dans un premier temps, il allait cette fois-ci être forcé de se faire violence, car l'homme-bête ne comptait pas le moins du monde le laisser agir librement sans répliquer. Lawrence, toujours maintenu fermement par la fourrure blanche et immaculée du criminel, en était d'ailleurs la preuve vivante... Konan n'avait pas de temps à perdre en conquêtes stériles et puériles quand il prévoyait de déclarer la guerre à la Guilde Marchande pour récupérer tout un pan de leur commerce. Paradise était sous son joug, et il fallait simplement qu'elle le reste, avec l'aide de Rei Mitsuyori si possible. Les locaux n'auraient eu après tout pas la moindre raison d'accepter la suprématie d'un mafieux de Grand Line, à moins d'imposer la présence systématique de lieutenants compétents sur place... Ce qui revenait concrètement à affaiblir leur main mise sur les îles où leur présence était nécessaire. Sans perdre de temps, l'homme-bête-tontatta prit une nouvelle fois la parole mais, contre toute attente, ses dires ne semblèrent pas directement destinés à l'un ou l'autre de ses auditeurs présents.
-Göz, tu vois ça, n'est-ce pas ? Tiens toi prêt à appeler Harishigawa si nécessaire, n'est-ce pas ?
Ippo "Doktiçimo" Kondriak, 123.456.000 berrys, et Jen Hissère, 200.000.000.
-Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? -Ben... Une explosion ?
Devant l'incompréhension de Jen, Ippo n'avait pu opposer qu'une bête simplicité. Les deux criminels, toutefois, conservaient leurs regards strictement et fermement rivés sur le point qui, à quelques centaines de mètres de là, avait semblé promptement disparaître en fumée. Reprenant manifestement son calme face à cette menace intangible, Jen replaça son fusil dans son dos, en bandoulière, tandis que son comparse se massait précieusement et précautionneusement le doigt afin d'y faire à nouveau circuler le sang. Il leur fallut une bonne paire de minutes supplémentaires avant de se mettre d'accord d'un simple hochement de la tête : ils allaient jeter un coup d'oeil sur cette étrangeté afin de savoir ce dont il en retournait. Toutefois, ils n'étaient pas encore sortis de la taverne qu'ils venaient tout juste de retourner que leurs chamailleries reprirent de plus belle...
-Ah... Je me disais, tu dois t'y connaître... Y a pas longtemps, j'ai eu un petit bouton sur mon... Enfin, ma... Tu vois quoi... Et comme personne veut jamais toucher ton... Ta... Je me disais que... -REVIENS-LA FILS DE PUTE !
Alors alors. J'ai décidé de poster tout de même mais la quasi totalité de ton poste, Rei, est ne respecte pas les règles (en fait, tout à partir des interventions de Galeo et de Kora). Je rappelle que les PNJs niveau 0 ne peuvent pas avoir de rôle crucial dans un RP, et encore moins en combat ! Vu l'écart de lvl, même Lawrence ne peut pas bouger un petit doigt avant que Ren ne porte son coup donc je vois mal comment Kora qui techniquement se ferait massacrer même par un lvl 10 aurait une chance de s'interposer. Je considère que tous les PNJs (sauf Lawrence, que Napoléon embarque) sont morts dans l'effondrement de la baraque.
Bref, Napoléon sauve Lawrence et s'adresse à Ren pendant qu'à l'autre bout de l'île, les deux rigolos s'engueulent à nouveau.
Napoléon est lvl 35+ (difficile d'estimer sur une action de ce genre).
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Ven 12 Mai - 23:20
Un gros nuage noir semblait bouger à l'horizon, surmontant une flotte de navires de guerre qui commençait à se discerner. On aurait dit qu'ils s'apprêtaient à prendre d'assaut l'île. Un frisson d'effroi parcourait les habitants de l'île : une guerre totale semblait proche.
T-2.
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Ren Tao
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Sam 13 Mai - 1:26
Ren Tao
Pnj
Surprise
Autrefois, je me serais justifié. Avant, j’aurais laisser couler une telle insolence, mais là, compte tenu de la situation, je ne pouvais pas laisser de petites grandes gueules l’ouvrirent. Ne savaient-ils donc pas qui je suis ? Quand bien même je ne suis pas le réel responsable de la destruction d’île, je n’en reste pas moins dangereux et ce n’est guère mes dernières aptitudes qui diraient le contraire. Qu’est-ce qui me décrirais à la perfection ? Je suis égocentrique, parfois paresseux, très ambitieux, très capricieux si on peut dire et surtout... Destructeur. Ce monde m’a bien apprit une chose, c’est qu’il ne faut rien attendre de ce dernier. Quand on est un honnête civil, il faut se battre pour espérer gagner quelque chose en sachant qu’on a toujours quelque chose au final, mais dans mon cas, c’est loin d’être ça. La société underground est tout simplement régit par la loi de la jungle, la loi du plus fort. Seul les “ rois “ dominent et essaient de le faire sans partage. Une guerre totale non avouée que je comptais bien mettre à jour en marchant les pieds dans le plat. Pendant ce temps, Elina aurait les mains libres et la voie claire pour agir et accomplir nos plus noirs desseins. Le cerveau et le muscle, l’ombre et sa lumière, il serait trop tard quand le monde le comprendrait. Même certains de mes hommes ne comprenaient pas les enjeux qui sont présents dans l’histoire. On nous tourne en ridicule ? On a sur notre tableau plus de défaites qu’on ne devrais accepter ? S’ils savaient le pactole qu’il y a au bout du trajet, alors ils changeraient d’avis et tendraient leurs fesses à Konan sans hésiter...
Ainsi donc, face à un comportement purement enfantin, je me décidais à mettre à mort toute cette bande d’incapables. Law et ses “potes” ou collègues allaient y laisser la peau et pour cause, Rei n’est plus. Qu’on me dise le contraire, je m’en foutais totalement car m’ayant donc trahit en ne me contactant pas au plus vite, je me ferais une joie de rayer de la carte ses projets aussi grotesques soient-ils. Qui qu’elle ait rejoint, elle ne sera qu’une poussière que je soufflerais sans difficulté et pour cause, ça a toujours été ainsi. Avec du recul, mon amour avait laisser place à l’amertume. Est-ce à cause de sa mort ? Ou sa pseudo mort ? Quoi qu’il en soit, je reniais désormais ce sentiment et assumais pleinement le fait qu’elle n’ait été tout ce temps qu’un passe-temps, un substitut de relation sociale correct, et surtout un boulet.
Tandis que l’explosion eu lieu, je vis clairement que le bâtiment ne tiendrait pas, mais voilà que quelqu’un se barrait de là vers le haut. Oh ? Suivant ce petit bonhomme, je sortais de cette quasi tombe pour ceux qui n’avaient pas échappés à l’attaque et ses conséquences. Un nuage de poussière se soulevait, devant sans doute alerter les chiens de guerre de Konan un peu partout sur cette île. Ma silhouette sortait de cette fumée et d’un revers de main, j’époussetais cette poussière qui s’accumulait sur mes habits. Lors de ma fuite, quelques mouvements avaient été maladroit et un de mes bras avait râpé contre une pierre, me faisant une très légère écorchure. Quand on y regarde de plus près, on se rends vite compte que même sans fruit du démon, je ne suis pas à sous estimer, mais aussi que cette “ puissance “ pourrait être la raison de ma perte un de ces jours. Mais pour réussir cet exploit, encore faut-il s’en rendre compte...
Toujours d’humeur massacrante - et ce n’est pas les possibles hakis actifs aux alentours qui signaleraient le contraire - je regardais alors la personne ayant sauvée le fameux Law’. Hm ? Cette chose s’interposait ? Le laissant parler, son tic “ n’est-ce-pas “ me tapait déjà sur le système. Des fois cela sonnait faux, mais parfois s’était énervant à un point... Arquant un sourcil, je remarquais qu’il avait une certaine maîtrise de sa fourrure. Un retour à la vie ? Immédiatement je pensais à Yao et m’amusais de voir ça en face de moi. Ce genre de technique peut-être très utile et sournoise, mais ce n’est pas ça qui allait me déranger très longtemps.
“ Et encore, ce n’est que l’échauffement. “
Pas de bluff, ma voix froide démontrait bien que je pouvais faire pire car je le disais. Je me demandais si ces personnes pouvaient encaisser mon meilleur coup s’ils se laissaient faire. Non bien entendu... Oubliant presque Law’ qui devait être dans un état digne de lui - pitoyable - je fixais l’interlocuteur qui semblait parler à un autre. Hm ? Jetant un coup d’oeil aux horizons, j’activais mon haki de l’observation afin de chercher les voix aux alentours et repérer toutes celles qui s’approchaient. Ainsi, je saurais vite fait combien ils seraient contre moi en supposant qu’un clash éclate immédiatement. Fronçant les sourcils, je vins alors à répondre à la drôle de bestiole.
“ Quel intérêt de garder un incapable de la sorte ? “
Je me foutais de leurs arrangements actuels aussi fructueux soient-ils. J’avais deux mots à dire à certains et une idée farfelue naquit dans mon esprit. Quand bien même s’était clair que j’avais une dent contre Konan depuis l’incident des navires sur mes îles, il n’est pas impossible qu’un homme comme moi veuille faire affaire. Et cela reste logique que cette “ attaque “ quand on connait mes méthodes. Discuter autour d’une table et demander avec un “ s’il-vous-plait “ à la fin, c’est tout sauf mon genre... Un poing dans la gueule, un massacre et des réclamations ça passe toujours mieux, surtout quand on veut être respecté et surtout craint tel Konan. Il pensait faire peur avec ses tortures et sa pseudo cruauté ? Il allait vite tomber sur un os.
“ Appeler votre chef ? Faites donc, cela me fera gagner du temps ayant depuis un petit moment le besoin de l’appeler. Suite à quoi, selon comment les choses se déroulent... Je me raviserais, remettrais à plus tard cette affaire ou foutrais simplement à feu et à sang cet endroit. “
Flou, pas décidé, impossible de deviner qu’au fond, tout ce que je voulais s’était me créer une opportunité d’approcher de près ou de loin l’Harishihawa pour mieux le tuer par la suite et devenir khalife à la place du khalife. Telle était la routine chez les hors la lois, sauf quand on a des deal juteux comme j’ai avec Elina par exemple. Ce genre de lien reste durable, jusqu’à la bavure de trop... Je laissais l’homme juger de ma proposition. Me faire entrer en contact avec son chef et parler d’homme à homme, ou plutôt vérifier si ma réputation est surfaite ou non. “N’est-ce pas ?”
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Ayabusa, primé 45M, Second des S.G et informateur
Observant l’horizon, le nuage étrange n’échappa pas à ce dernier. Des silhouettes inquiétantes se firent voir au loin et les points noirs que ça représentait n’annonçait rien de bon. Qui ? Pourquoi ? Comment ? Les coïncidences étaient de très mauvais goût, mais d’un autre côté, déployer une telle force avait quelque chose de flatteur. Certes, ce n’était pas pour les S.G que la marine (?) devait se déplacer, mais en les sachant ici, pour sûr qu’ils ajouteraient à la liste des potentielles prises les hommes de la fameuse organisation. Pas le temps de réfléchir, l’homme remit ses lunettes en place et ordonna à certains de ses hommes d’agir. Son ton ferme et sa droiture prouvait qu’il était un ancien marine et pour cause, ses capacités à diriger n’étaient plus à prouver. Sournois et imprévisibles, telles étaient ses deux principaux atouts.
“ Krake, prends avec toi quelques copains à nous et va faire une ronde, fait moi un rapport au plus vite... Vous autres, mettez les voiles, on fait le tour de l’île pour s’apprêter à partir en urgence s’il le faut. Quant à toi.... Va rejoindre Ren. “
L’homme requin ne se fit pas prier et plongea sous l’eau en libérant quelques poissons-combattant dressés à souhait. Accompagné par un poisson combattant d’élite et trois autres normaux, le primé à 55M allait approcher via les profondeurs pour essayer de discerner combien d’ennemis se présentaient et qui ils étaient éventuellement. Stratégique et conscient de certaines choses, il resta bien en profondeur, essayant de se faire le plus discret possible et éviter de se faire repérer par des hakis de l’observation pouvant être gênants, cependant, cette “ sûreté “ avait un coup qui était la précision. Ses estimations ne pourraient pas être parfaites.
Sur le navire, alors que ce dernier mis les voiles pour bouger, une silhouette féminine là uniquement en soutient vint à tournoyer avec une silhouette qui subissait son manège. Propulsé dans les airs, la forme blanche atterrit au niveau du port. Son manteau retombant doucement au niveau de son corps, celui-ci se remettait de ce petit tour. Alors que plus loin, la demoiselle arrivait à la nage de façon furieuse. Elle ne pouvait pas à aller à une vitesse folle malgré sa force, cependant, s’était toujours impressionnant à voir la force qu’elle mettait dans sa nage. Une fois sur le port, le petit duo se laissait éclairer par la lumière de la lune qui brillait très fébrilement entre deux nuages sombres.
Senshi & Klyde, membres des S.G
Sur le pont du navire, l’ex-marine avait prit son appareil pour prévenir le chef et tandis que j’attendais toujours une réponse de l’homme-bête tontatta, je répondais sans réellement me faire de soucis, gardant un oeil sur l’autre gars et les possibles approches qu’il pouvait y avoir.
“ Hm ?” “ Des imprévus... “
Soupirant de lassitude, je laissais l’autre homme clairement entendre ma conversation sans que cela soit une comédie. Il n’y avait aucun bluff dans l’histoire.
“ Quelque chose approche de l’île et ... Ça semble gros. Krake est aller faire un saut pour analyser, je te tiens au courant dès que possible. “
Ne raccrochant pas et attendant des nouvelles fraiches, je grognais légèrement. Avaient-ils droit à déjà des renforts ? Ou est-ce réellement un imprévus de mauvais goût allant encore une fois changer mes plans pour aller dans le camps des gagnants, quitte à blesser mon égo ?
“ Est-ce de vos renforts ? Auquel cas je considère nos négociations... Terminées avant d’avoir commencées ? “
Serrant mon poing libre, son haki allait pouvoir le confirmer, j’étais prêt à attaquer s’il affirmait que oui. Et cette fois, je tuerais ma cible et cet homme en guise de bonus, ainsi que tout ses possibles copains.
Comme supposé, Ren s'en sort. Pour guise de détail, il c'est fait une légère éraflure, mais ça, c'est dans la précipitation. Bref, il parle donc avec la petite chose, proposant de justement faire appel à son boss pour " discuter ".
En mer, Aya remarque au loin l'étrange approche et envoie Krake en patrouille. Ce dernier plonge sous l'eau et prends avec lui un poisson combattant d'élite et trois normaux. Ensemble, l'assemblée va sous l'eau, le plus profondément pour échapper à de potentiels hakis ou autres truc pouvant faire sonar ( bien que rien n'est infaillible ) et il observe prêt à faire un rapport. Au MJ de voir ce qu'il peut voir et rapporter, si rien ne se passe. Ayabusa entame une manoeuvre navale pour contourner l'île et approche de cette dernière. Senshi propulse Klyde vers la terre ferme et Senshi arrive à la nage pour rejoindre Ren. S'il n'y a aucun imprévu, on peut considérer qu'ils se mettent en route vers le lieu de l'explosion. Le navire compte contourner l'île de l'archipel et accessoirement à voir si Aya peut voir au loin si l'étrange arrivée est pas uniquement que d'un côté ?
Niveau des protagonistes:
Krake > 37.5 Ayabusa > 35 Klyde > 36 Senshi > 34
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Il n'y a qu'une seule vérité...
Ce monde m'appartient.
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Ren Tao
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Sam 13 Mai - 20:49
On est dans la merde !
feat Ren
Via Lawrence Holf - Chef Sécurité de Paradise
Whooooo ! L’homme mi homme mi bête tontatta me permit de vivre encore un peu grâce à ses facultés. Je ne sais pas trop comment il a fait ça mais grâce à sa fourrure, il m’attrapa et nous traversâmes le plafond du bar qui s’effondrait sous mes yeux. Putain, ça va en coûter de l’argent pour tout réparer… J’en pleure déjà de devoir demander au patron combien il a besoin pour tout reconstruire. Ce n’est tout de même pas possible que cet idiot, crétin de Ren Tao vienne ici pour faire une guerre qui ne sert strictement à rien !
Tout le monde était tranquille jusqu’à maintenant. Enfin bref, profitant du fait que nous étions à l’extérieur, que je ne risquais pour l’instant plus grand-chose, je cherchais à droite à gauche quelqu’un qui pourrait me fournir un den-den. Il faut que je prévienne Rei à tout prix avant de rendre mon dernier souffle. Puis je vis un passant qui n’avait vraiment rien à foutre ici, qui avait l'air grave paniqué par l'explosion et lui sautais dessus.
- Ton den-den mushi ! Allez on se dépêche !!
Je crois que je lui ai tellement fait peur qu'il en a fait une syncope par la suite... Qu'est-ce qu'il foutait aussi, ici celui là ?? Enfin bref, pas le temps. Je n’avais pas mon escargophone puisqu'il est resté au QG et que je ne pensais pas en avoir besoin. Et bah j’aurais du le prendre oui… Je me dépêchais de composer le numéro de den-den de Rei. Qui ce dernier était entre les pattes du loup de celle-ci puisqu’elle était en plein test et qu’elle ne voulait pas être dérangée.
- Dis à Rei de ramener son cul sur Paradise, dès que possible ! Très grosse crise ; urgence. Ren Tao entrain de foutre la merde.
On va dire que maintenant tout se joue en secondes et minutes. Le rouquin semblant prêt à attaquer n'importe quand. Okay, je suis hors la loi mais il y a quand même des limites à la connerie...
[HRP : j'ai édité l'autre post et je suis coincée donc on considère juste que Law arrive tant bien que mal à joindre Rei, du moins son loup pour le prévenir de la situation]
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Rei Mitsuyori
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Lun 15 Mai - 17:55
Joseph Bonanno, primé à 44.000.000 berrys, et John Dillinger, primé à 71.000.000 berrys.
-Et pan. Quinte flush. -Bordel de merde... -Putain de cocu.
Joseph abattit son jeu de cartes avec un air satisfait et attira à lui la liasse de berrys qu'avaient parié John et un autre de leurs acolytes, Midel. Cette petite passe lui rapportait la bagatelle d'un bon million de berrys, mais ça n'était pas là son plus grand coup de maître : il avait l'habitude de déplumer ses adversaires lorsqu'ils étaient assez sots pour jouer contre lui avec de l'argent. C'était d'ailleurs pour cela qu'il avait été recruté par Harishigawa, à l'origine, sans parler des dizaines de joueurs qu'il avait personnellement formé et qui écumaient le monde afin de lui rapporter la moitié de leurs gains de temps à autres. Sa fortune personnelle, colossale, était donc principalement constituée d'argent sale, ce qui expliquait sa mise-à-prix malgré son passé relativement respectable et sans véritable vague. John Dillinger n'était pas aussi bon garçon. Il était l'un des plus célèbres braqueurs de South Blue des dernières années, n'ayant reculé devant strictement aucun défi pour asseoir un peu plus sa réputation. En tout et pour tout, et en comptant ses méfaits sur les autres Seas ainsi que sur Paradise, c'étaient une soixantaine de banques, de commerces et même de bases militaires qui avaient eu affaire à ses talents de crocheteur et d'usurpateur. On estimait sa fortune personnelle à plus d'un milliard de berrys, et il accompagnait ces indubitables talents d'un savoir martial indéniable, lequel lui avait permis de mettre un colonel trop pugnace hors-jeu assez aisément. En revanche, il n'avait jamais tué personne, et avait par conséquent réfléchi un long moment avant de se joindre aux troupes du mafieux le plus célèbre du Monde. Midel, quant à lui, n'était qu'un navigateur lambda : il avait toujours écumé les océans, d'aussi loin qu'il était susceptible de s'en souvenir, et s'était simplement tourné vers Harishigawa car il le payait mieux que nul autre pour ses talents de climatologue.
Le petit trio faisait partie de la quarantaine de brigands embarqués à bord du Millésime, un ancien navire de commerce réquisitionné par Napoléon, six mois auparavant. Le formidable bâtiment naval, en plus d'être résistant et relativement rapide lorsqu'il était à vide, possédait l'avantage indéniable de n'aborder aucun signe distinctif des navires criminels ou pirates. Tant et si bien qu'ils apparaissaient, une fois en pleine mer, comme un équipage de quidam marchands, honnêtes et francs. Une apparence qui avait poussé un certain nombre de pseudos-forbans à tenter de les aborder... Aucun d'entre eux n'en avait jamais réchappé entier. Une apparence qui, par conséquent, allait peut-être leur sauver la mise d'ici quelques instants... Car lorsque le vigie, perché en haut du mât, détecta la menace croissante de la flotte gouvernementale qui s'approchait, les hors-la-loi eurent tôt fait de se mettre en branle : il fallait se presser à préparer le départ, s'ils comptaient s'en tirer sans faire d'émules, conformément aux ordres d'Harishigawa. Toutefois incapables de quantifier le nombre de navires qui s'approchaient, pas plus que d'estimer la puissance de leurs gradés, les criminels durent promptement réfléchir quant à la suite des événements. John entama la discussion, empressé, tandis que Joseph, en arrière-plan, réfléchissait aux options qu'il évoquait.
-C'est quoi ce bordel ? Faut appeler Napoléon, là ! -Pas moyen. Il a pas pris son Den Den. -Fuck. Et Jen ? Jen devrait pouvoir nous aider ! -Il est avec Ippo, gros malin. Aucune chance qu'il décroche. -Shit. Oh... J'y pense... GÖZ ! TU M'ENTENDS ? HÉ ! -Putain, arrête de gueuler ! Bien sûr qu'il t'entend ! -Ah... Göz, appelle Harishigawa, pour lui demander ce qu'on fait ! Vous, vous préparez le navire ! Moi, j'vais les chercher !
Sans plus attendre, John se précipita jusqu'à la rambarde et l'enjamba vivement, se mettant à courir comme un dératé en direction de l'endroit où l'explosion s'était manifestée plusieurs instants auparavant, potentiellement un signe de la présence conflictuelle d'Ippo et de Jen. Joseph, quant à lui, qui n'était pas vraiment un combattant et qui avait de surcroît la malchance d'être mise-à-prix, se contenta de se réfugier à l'intérieur du navire. Les autres pouvaient s'en tirer en plein affrontement, mais pas lui... Et puisqu'il était la dernière tête mise-à-prix sur le navire, il valait mieux se cacher pour éviter d'attirer l'attention. Avec un peu de chance, même si les autres n'étaient pas revenus à temps, les mouettes passeraient à côté de leur embarcation sans se méfier, et sans soupçonner sa présence...
Napoléon, primé à 150 berrys.
Une fois qu'ils furent sortis des ruines et des décombres de cette ancienne modeste bâtisse, Napoléon laissa l'autre jeune homme recouvrer sa liberté en se focalisant plus sérieusement sur Ren Tao. Rei Mitsuyori pouvait bien être avertie si le garant de la sécurité de l'île le souhaitait, cela ne changeait dans l'immédiat rien à rien : il fallait que les troupes de Konan s'occupent de lutter au nom de leurs intérêts, et si cela signifiait vaincre le rouquin trop prétentieux, alors l'homme-bête était d'ores et déjà prêt à mettre les main à la pâte... Ce dernier, d'ailleurs, ricana intérieurement tandis que Ren lui proposait d'appeler Harishigawa directement, demeurant toutefois de marbre extérieurement. Il était présomptueux s'il pensait pouvoir adresser la parole directement au plus grand hors-la-loi que le Monde ait jamais porté... On n'atteignait pas le maître d'Himitsu Shima aussi facilement que cela. Prêtant tout juste attention à ses multiples interrogations, le demi-tontatta se focalisa davantage sur la nouvelle apportée de navires aperçus à l'horizon par les troupes de son interlocuteur. Des alliés ? Non, impossible. Les criminels au service de Konan étaient assez nombreux sur South Blue, certes, et une bonne partie d'entre eux naviguaient dorénavant sans s'appuyer directement sur Napoléon, mais ils s'étaient donnés rendez-vous plus tard, et relativement loin de Paradise... Même si Göz avait décidé d'appeler Dolan, ou d'autres, ils auraient eu besoin d'un certain laps de temps afin de parvenir jusqu'ici pour leur filer un coup de main. Autrement dit, cette soi-disant flotte qui s'approchait devait nécessairement être affiliée à d'autres groupuscules. Quant à savoir lesquels, c'était pour l'heure bien trop tôt pour l'affirmer... Sans se démonter toutefois, le très bas primé décida d'enfin répondre à son homologue criminel, qu'il trouvait un brin trop hyperactif.
-Tu penses avoir une chance, n'est-ce pas ? Nous n'avons pas besoin de renforts, je suffirais bien pour te mettre au tapis, et tu le sais. N'est-ce pas ? Peu importe. N'est-ce pas ?
La fourrure de Napoléon sembla s'étendre davantage encore et s'animer à l'instar de tentacules, remuant dangereusement tout autour de lui, sur une surface d'une bonne quinzaine de mètres. Une bonne partie de ces fouets se couvrir immédiatement d'une plaque noirâtre du haki de l'armement, comme une annonce simple destinée à mettre les choses au clair : il n'était pas dénué d'atouts, et était même parfaitement prêt à mener la bataille si la chose était nécessaire. N'entamant toutefois pas encore les hostilités, l'homme-bête tontatta usa de son haki de l'observation et entendit les deux voix reconnaissables de Jen et d'Ippo s'approcher inexorablement, non sans causer un certain grabuge en s'approchant. Ils finiraient par être là, à force de traverser les murs qui s'offraient à eux aussi avidement... Sachant pertinemment que Göz et Mede étaient au courant, puis que Joseph et John étaient restés sur la navire, l'envoyé d'Harishigawa comprit bien vite qu'il ne restait qu'un autre lieutenant et un mercenaire en vadrouille sur l'île et qu'il leur fallait encore récupérer tout en se renseignant quant à la puissance de la prétendue flotte qui s'approchait et à la véritable raison de sa venue ici, sur Paradise. Estimant raisonnablement ces données, il se contenta donc de demeurer sur la défensive, gardant également un œil sur Lawrence pour éviter de le laisser mourir bêtement. S'ils se tiraient de là en abandonnant l'Archipel, il était le seul lien que Napoléon possédait avec Rei Mitsuyori. Mieux valait donc le conserver à portée de mains.
Kaïler, primé à 111.000.000 berrys.
-Humpf ? Tu viens d'où, toi ?
Kaïler, légèrement à l'écart du port, venait de faire face à l'apparition à demi-angélique d'un être venu d'ailleurs. Ses paupières basses et son regard las semblait pourtant trahir un certain intérêt tandis qu'il dévisageait posément Klyde, incapable de mettre un nom sur cette personne. Il alluma la cigarette qu'il avait coincé entre ses dents au préalable et se redressa un peu, laissant à son interlocuteur la chance d'observer son costard taché d'un sang frais, et ayant manifestement coulé très récemment. S'il y prêtait un peu plus d'attention, le subordonné de Ren Tao pourrait alors rapidement se rendre compte que son homologue criminel était assis sur un tonneau de bois... Et que de celui-ci semblait s'étendre une flaque carmine, d'une matière visqueuse et franchement similaire à du sang. Sans accorder la moindre importance à cet écoulement nauséabond, Kaïler demeura stoïque et continua à dévisager le type blanchâtre, silencieux.
Joseph est à bord du Millésime, un navire de commerce "emprunté" par Napoléon. Il se planque à l'intérieur pour éviter d'être grillé trop rapidement par les gouv'. Techniquement, le Millésime n'a donc, dans un premier temps, aucune raison d'attirer l'attention. John court en direction de la position de Ren et de Napoléon, pour les informer de l'arrivée imminente de troupes de la marine.
Napoléon fait face à Ren et agite son pelage soyeux en le recouvrant partiellement de haki de l'armement. Y a une vingtaine de tentacules, au bas mot, et le bout d'environ la moitié sont couverts de haki. Il reste sur la défensive.
Kaïler fait face à Klyde qui vient de tomber du ciel. Il est couvert de sang et assis sur un tonneau duquel s'écoule aussi une certaine quantité de sang. Il a un air flegmatique et fume une clope, mais c'est à peu près tout !
Napoléon est lvl 35+ (difficile d'estimer sur une action de ce genre). Les niveaux d'Ippo, de Jen, de Göz, de Mede, de Joseph, de John et de Kaïler sont inconnus !
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Lun 15 Mai - 20:51
Richard Bordelieu
- Vice-Amiraux, nous sommes bientôt arrivés à destination. - Ne tirez pas à vue, vous pourriez blesser les civils, lâcha sèchement le maître South Blue, la tête haute et le regard franc, posé vers l'île qu'il ciblait.
Cela faisait deux jours qu'ils étaient partis en mer avec toute la flotte qu'il avait constitué ces deux derniers mois. Deux jours qu'ils écumaient des lieux et des lieux pour s'approcher de Paradise, l'île la plus infestée de hors-la-lois de cette mer, après la Guilde Marchande bien entendu. Et pour cette opération, Marineford avait accepté de lui prêter quelques-uns de ses meilleurs éléments, preuve que la base principale de la marine mettait en cet homme une confiance aveugle. Stratège de renom, chef de guerre envié, il avait orchestré des centaines de prises d'îles par la marine, et les conquêtes n'avaient pour lui pas plus de secret que la cuisson du pain. Aurait-on pu imaginer que quarante ans auparavant cet homme était destiné par ses parents à devenir boulanger, sur une île miteuse et avec peu d'idéaux dans la tête ? Et la suite de son histoire ressemblait à un conte de fée : il fut tiré de sa torpeur par Mohero en personne, qui le rencontra lors d'une intervention. Le gamin qu'il était avait intéressé grandement l'actuel chef des armées... et la suite l'avait mené ici.
Il avait de ce fait à la fois le respect de ses hommes pour ses faits d'armes, et l'autorité sur ses camarades vice-amiraux de par ses relations. Chacun était d'ailleurs amené à dire qu'il n'avait pas gravi les échelons plus vite car il considérait qu'un poste à responsabilité l'empêcherait d'être en première ligne, ce qu'il exécrait particulièrement.
À ses côtés, deux des plus grandes vice-amirales du moment semblaient concentrées quant aux actions à venir. La table installée sur le pont portait une carte d'une certaine splendeur : en cuir, elle représentait exactement les traits de Paradise Island, les moindres reliefs et les moindres recoins. Fruit d'une recherche du Cipher Pol, discret et efficace, il s'agissait d'un outil indispensable pour le Bordelieu.
- Où est le Vice-Amiral Carlton ? - Dans ton... Ah, il est là, regardez !
Les deux marines qui venaient de parler avaient attiré l'attention de tout un chacun : une bête tonitruante naviguait sur l'eau tel un scooter des mers, prenant une avance démentielle sur les navires. Il serait arrivé d'ici peu de temps sur le rivage, ce qui était tout sauf engageant.
Malia Hijima, Kisa Mojini
Malia Hijima soupirait avec agacement, tandis que Kisa Mojini s'était déjà décidé à ne pas retenir l'impétuosité de cet homme dans son rapport : il allait déjà assez être décrié comme ça.
- Vice-Amiral Bordelieu..., commença Malia avec un certain manque d'estime pour son collègue près de Paradise. - Qu'importe, continuez à progresser.
Les douze navires, dont quatre étaient des bâtiments de guerre spécialement détachés par chaque Vice-Amiral, montraient les crocs à quelques lieux de l'île. La menace qu'ils imposaient permettrait de faire fuir ces couards de criminels, ou du moins c'est ce qu'ils allaient tenté de faire.
Vice-Amiral Carlton
- I WANNA BE A HERO ! Just A HERO ! Pam, pam, pam ! Oh yeah, Babe ! Carlton est dans la place ! Lança le Vice-Amiral en retirant ses lunettes de soleil sur la plage.
Il était passé totalement inaperçu de là où se trouvait Kraehe : et pour cause, le Haki de l'Observation avait un rayon standard bien trop important pour qu'il puisse distinguer des navires à cette profondeur, et encore moins un objet non identifié. Se faufilant jusqu'aux plages, il affichait un air radieux. La plage ! Putain, la plage ! Oh, putain, il aimait ça. Le soleil chaud, le sable fin. Il aurait presque enlevé ses chaussures, mais il fallait un peu de sérieux tout de même. Se retournant vers le Cy-Wolf qui lui avait servi de scooter des mers, il regarda le câble de commande télescopique se rétracter. Un nouveau sourire s'érigea sur son visage :
- Marine is in the place, Babe !
Il fit glisser sa guitare et claqua un coup sur celle-ci. Le boucan qui en sortit aurait pu passer inaperçu s'il n'avait pas au préalable brancher son instrument au Cy-Wolf qui servait d'amplificateur. Ainsi fut-il directement identifié par tous ceux qui l'avaient déjà rencontré : les hommes de Konan devaient déjà avoir eu affaire à lui, puisque les organisations criminelles lui avaient donné une rondelette renommée de 400.000.000 Berrys. Rien que ça !
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Mar 16 Mai - 0:37
Ren Tao
Pnj
Surprise
En venant ici, je n’avais pas du tout imaginé qu’un tel cortège pourrait arriver et pour cause, pour avoir traverser la mer pour arriver jusque là, aucun de mes informateur ne m’avait dit un tel déplacement. Pourtant, une telle chose se remarque non ? Note à moi-même, employer des “ sentinelles “ plus efficaces. Quoi qu’il en soit, qu’importe les visite ça n’allait pas m’arrêter de si tôt. Revenant à mes moutons, je fixais donc ce petit être qui semblait vouloir me gêner alors que mon objectif était simple de base. Gardant un oeil sur l’idiot visiblement plus en bon état que je ne l’aurais imaginer - vu comment il est apte à marcher et chercher du monde - quand ce dernier commence à trouver un drôle de passant, mon agressivité ne fait qu’un tour. Oubliant le pourquoi du comment d’un tel passant - car il faut noter qu’il est rare pour ne pas dire étrange de voir des passants sur le lieu d’une explosion - je m’apprêtais à l’empêcher de terminer ses phrases à la con quand finalement quelque chose l’alerta. L’autre petite bête se mit à parler et visiblement vouloir faire une sorte d’avertissement indirect ? Des tentacules de poils ? Le haki de l’armement ? Un retour à la vie ? Pour avoir un de mes hommes qui possède un tel don, je ne pouvais qu’être au courant d’une gêne que ça peut occasionner. Soupirant de lassitude, je vins alors à grogner alors qu’il me provoquait presque. Gagner du temps ? Semblant hésiter alors que le fameux “ Lawrence “ commençait à avoir quelqu’un au bout du fil, je du agir rapidement en pesant le pour et le contre d’une telle utilité. Que faire ? Si ce fameux Lawrence arrivait à prévenir ses comparses que se passerait-il ? Loin d’imaginer que Rei était bien loin, en soit je me faisais du souci pour rien, mais et si des gens avaient le moyen d’être là rapidement ? Taraudé entre deux choix à faire, finalement, j’étais convaincu qu’au pire, s’il arrivait à prévenir des gens, ça ne ferais que mettre un nom sur le responsable de cette attaque, rien de plus. En aucun cas des gens pourraient venir ici en temps et en heure, physiquement impossible me disais-je. Ainsi donc, dans un élan de sécurité et désirant surprendre mon véritable adversaire, je me concentrais pour taire ma voix. Sauf s’il avait une maîtrise plus grande et une force que je ne soupçonnais pas, il pourrait bien voir que ma voix s’éteignait comme si je mourrais. Pourtant, j’étais bel et bien vivant et toujours aussi actif comme il le soulignait dans sa tête. Espérant que mon tour de passe-passe allait fonctionner, sans prévenir, je me propulsais alors vers ce gêneur alors qu’il commençait à dire “ dis à Rei de ramener “.
Espérant prendre de cours le fameux Napoléon ET être hors de portée de ses fameuses tentacules, je tentais de couper court à l’appel malheureux du petit Lawrence. Primant la rapidité contre la destruction cette fois-ci, tel un coup de foudre, mon bras tenta de percuter le corps du protecteur de l’île afin de le mettre mal en point. Le tuer allait pas être certain, mais j’optais plutôt cette fois pour une brisure de quelques os pour que la douleur soit insupportable pour parler. Ainsi, je pourrais mieux me concentrer sur le reste. Ceci fait, en supposant que rien ne m’ait arrêté entre-temps, je lançais un bref regard vers le fameux Napoléon, prêt à en découdre vu qu’être raisonnable n’était pas dans ses cordes à ce que je voyais. S’il pensait juste m’impressionner avec sa maîtrise de l’armement ET l’observation, il se mettait le doigt dans l’oeil jusqu’au coude. En revanche, s’il me montrait une utilisation du haki des rois, là les choses seraient sans doutes plus amusantes.
Serrant les poings, même s’il ne pouvait peut-être plus voir clairement mes prochains mouvements, je m’apprêtais à lui sauter dessus, prêt à lui montrer qu’avec ou sans haki... Je pouvais très bien lui faire mal, à lui, ou ses copains ou même... Son patron.
Krake, primé 55M, Combattant des S.G et informateur
Observant depuis les profondeurs, celui-ci se rendit compte que les choses n’étaient pas claires. Trop profond. Que faire ? Remonter pour voir ? La prudence est mère de sûreté, mais à jouer trop défensif, on n’y gagne rien. Incapable de savoir quel était le périmètre d’un haki standard - celui ci étant variable selon la personne et son taux de maîtrise - il prit alors le risque et remonta rapidement de quelques mètres jusqu’à enfin voir des silhouette. Loupant le petit objet non identifié qui se détâchait du groupe, il pu voir alors des silhouettes imposantes. Malheureusement, incapable de savoir quel genre de navires, seulement 4 qui semblaient plus gros. Reprenant de la profondeur en se fichant d’être ou non repéré, il prit son appareil et informa donc Ayabusa.
“ Douze navires... Quatre imposants, les autres... Bref... “ “ Reviens. “
Sans plus attendre, l’homme poisson raccrocha et fit signe à ses compagnons servant d’escorte de le suivre. Sous l’eau, l’homme retournait au navire pour assurer les manoeuvre navales. Si une chose n’était plus à prouver - et la marine devrait en prendre de la graine - c’est qu’un homme poisson lors d’une bataille navale, c’est un peu comme une bombe lors d’un jeu pour éclater les ballons, c’est l’arme la plus utile qui soit. Ainsi, si l’homme n’était pas stoppé, celui-ci serait rapidement sur le point avec Ayabusa.
Ayabusa, primé 45M, Second des S.G et informateur
Inquiet, l’ex-mouette le savait, une telle armada n’était pas là pour bluffer. Loin de s’imaginer les têtes d’affiche présentes bien décidées à faire un nettoyage en profondeur de l’île, celui-ci prit la décision d’informer son patron pour lui éviter bien des ennuis.
“ Ren ! Il faut partir. “ “ Non.. “ “ Une flotte de douze navires arrive. Et visi... “
Pas le temps de termine sa phrase, un son musical se fit entendre, tel une présentation lors d’un concert. Fronçant les sourcils, l’ex-mouette n’était pas un encyclopédie 100% fiable et ne reconnaissait pas la marque de fabrique du fameux Carlton, en revanche, ça ne serait pas la même chose pour les gens de Konan. N’aimant guère cela, ou bien il s’agissait d’une force de Konan, ou bien une force de cette flotte. Seul Ren aurait une réponse immédiate en voyant le possible regard de Napoléon s’il reconnaissait ce son.
“ ... Il faut partir.” “ Tsss... J’arrive. “
Abandonner ? Tsss... Un changement de plan imprévu, mais entre réussir un coup et se faire capturer, le choix est vite fait. Mais la question était... Est-ce que ce fameux Napoléon allait me laisser faire ? Après tout, dans ce genre de cas, entre hors-la-lois c’est chacun pour soit, mais si les forces ennemies étaient plus rapide, moi-même je serais le premier à handicaper mon tiers compagnon pour le laisser se faire capturer et me permettre de fuir. Restais à savoir si les choses allaient tourner ainsi et si oui, qui aurait la main pour une telle manoeuvre. Combat tant physique que mental, qui a dit que les rencontre entre organisation criminelles étaient toujours ennuyantes ? Il est temps de briser les préjugés.
Senshi & Klyde, membres des S.G
Arrivé un peu plus tôt que sa collègue, l’homme remettait correctement son habit avant de voir un drôle de personnage. Qui est-il hein ? Ne répondant pas à sa question, notant juste quelques détails inquiétant, l’homme resta zen. Avaient-ils réellement le temps de faire des présentations à un moment pareil ? Alors que l’homme allait parler, voilà qu’une silhouette sortit de l’eau comme une furie et une demoiselle à l’allure garçon s’exclama à voix haute. De ce qu’elle disait, elle incitait son compagnon à prendre la route, ne captant pas le sang et les détails que son comparse avait noté plus tôt. Stoppée dans son élan donc, celle-ci grogna, menaçant de le frapper et l’envoyer carrément valser vers les étoiles. Ne répondant rien, l’instable sortit doucement son objet fétiche, à savoir un rasoir avant de le déplier en douceur. L’hostilité du duo voyait le jour et qui sait si le fameux primé aurait réellement besoin d’agir pour essayer de s’en prendre à eux de façon hostile. Que ce soit un assassin qui avait mit un corps il y a peu dans un tonneau, ou possesseur de logia ou une simple blague pour impressionner, Klyde et Senshi étaient sur le point de s’entre-tuer, mais entre deux salves d’insultes sans queue ni tête, c’est Senshi qui demanda à l’homme qui il était. Klyde quant à lui se contenta de répondre à la question du jeune homme un peu plus tôt posée. Se présentant comme quelqu’un venu de la mer, au final, il ne répondait pas à sa question et fut interrompu par un den den mushi d’où la voix d’Ayabusa émanait. Comme Ren, ils avaient la confirmation de l’approche d’une flotte et donc l’objectif était de rejoindre Ren et revenir. Pas plus, pas moins... Pas de destruction d’île, pas d’emmerdes pour Konan, aucun détails sur ces options. Et de ce fait, Senshi grogna, s’apprêtant à agir. Si l’homme en face avait un haki de l’observation, celui-ci pourrait sentir que le futur geste de la miss n’avait rien d’hostile à son égard, mais celle-ci allait bien répéter son ex-mouvement. Elle allait propulser approximativement Klyde en supposant qu’il se laisse faire. Suite à quoi seulement, une fois seule elle demanderait au primé qui il est et ce qu’il veut et accessoirement... S’il pourrait lui dépanner une clope.
Niveau des protagonistes:
Krake > 37.5 Ayabusa > 35 Klyde > 36 Senshi > 34
Résumé:
Beaucoup de choses. De son côté donc, Ren utilise son haki avancé pour essayer de surprendre et agir vite. Là, si le haki marche donc, c'est clairement une histoire de vitesse et réflexe. Il tente de mettre K.O Law une bonne fois pour toute alors qu'il commençait son petit S.O.S. Suite à quoi il regarde vers Napo', prêt à lui sauter dessus, mais tout est subjectif, car je ne sais pas si entre temps les autres peuvent pop ou pas, stopper son action etcetc.
Du côté de Krake, il remonte un peu pour voir un maximum, redescend immédiatement et préviens Aya. Ce dernier fait donc la transmission avec Ren et ordonne à Krake de revenir. S'il n'est pas stoppé, on peut le considérer à bord du navire ou en route.
Ren est donc convaincu de partir vu la merde supposée qui approche. Ainsi, Napoléon est aussi prévenu de la menace qui vient de la mer et de plus, le son c'est fait entendre entre-temps. Ren et Aya ou les S.G ne connaissent pas Calrton et donc ne savent pas si c'est un gars de Konan ou pas, mais à voir si Napoléon réagit ( via le regard ou autre ) ce qui peut alerter Ren.
Ayabusa de son côté continu la manoeuvre de contourner l'île, prêt à partir.
Klyde et Senshi arrivent. Klyde n'a pas le temps de repondre au primé, il s'y apprête mais Senshi arrive et c'est... Aussi animé que le duo Ippo/Jen. Mais finalement, Klyde répond sans répondre et Senshi va s'apprêter à l'élancer dans la direction de Ren. Si rien n'est arrêté, elle se contente de taper la discussion avec l'autre.
Tech utilisées:
Ren : * Seishuku
Spoiler:
Description : C’est une aptitude de Haki Avancé pour l'observation Cette dernière consiste à manipuler sa voix afin de l'amoindrir à la limite de la disparition totale. De ce fait, la personne ne peut pas être repéré en soit, sa voix étant devenue " invisible ".
Particularité : Quand l'utilisateur se rends ' invisible ' , il ne peut pas utiliser le reste des capacités de son haki de l'observation " repérage de cibles, jauger les forces ennemies, prédire des mouvements . Il se doit de rester concentré. De plus, cette aptitude a beau donner un certain avantage pour un personnage assez concentré CAC, si une personne me voit en face d'elle, la personne ressens pas la présence à proprement parlé, cependant, il prépourra dire les mouvements avec un léger retard ( doit garder un contact visuel ). Lors de l'utilisation, les membres avec un haki avancé supérieur ( ou technique haki avancé qui permet de repérer les gens ), cette technique est inefficace.
• Red Spark hit : Consiste à user de vitesse pour agir et profiter d'une rotation du buste et de l'épaule lors du coup pour donner une puissance optimale au coup. La vitesse est tellement rapide que l'adversaire à l'impression qu'un éclair rouge suis le coup. V3 ( Level 40 ) > Le coup produit un véritable pseudo éclair rouge. Capable de briser de l'acier.
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Ren Tao
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Ven 19 Mai - 17:29
Napoléon, primé à 150 berrys.
Lorsque la voix de Ren Tao s'atténua puis s'effaça brutalement, ne laissant plus la moindre intention du hors-la-loi filtrer à travers son subconscient, Napoléon fut légèrement pris de court et désarçonné mais pas assez, tout du moins, pour laisser la situation lui filer entre les doigts. Il comprit que son adversaire possédait une extrême aisance dans le domaine du haki et qu'il avait été en mesure de le rendre encore plus redoutable et utile qu'à l'accoutumée... Cela ne le rendait pour autant pas tout-à-fait imprévisible, compte tenu de la situation dans laquelle ils se trouvaient et compte tenu de la fixette qui semblait avoir pris possession du rouquin les derniers instants durant. Ce type allait à nouveau s'en prendre au larbin de Rei Mitsuyori : cette certitude frappa l'homme-bête avant même que Ren ne se mette en mouvement, dès lors que sa voix fut totalement évanouie. Et s'il était incapable de savoir comment, l'envoyé d'Harishigawa pouvait au moins, par défaut, imaginer que cela serait fait de manière frontale : après tout, son adversaire avait fait montre d'une brutalité certaine lors de son premier assaut, et semblait même avoir basé son style de combat sur son jeu de poings destructeur. La décision du demi-tontatta fut donc claire et limpide : il lui fallait tenter de protéger Lawrence aussi intelligemment que possible, avec tout le discernement dont il était capable. Malheureusement, tenter de se déplacer pour barrer la route du Tao semblait voué à l'échec : sans son observation, il aurait de toute manière eut beaucoup de mal à anticiper sa trajectoire exacte et puis, dans tous les cas, sa petite taille lui interdisait ce genre de mouvements, trop peu efficaces. Sa fourrure s'anima donc, dernier recours, et la vingtaine de piques qu'il avait formées s'envolèrent droit en direction de Lawrence, en prenant bien entendu le soin de ne pas l'écharper au passage.
L'objectif était simple : balancer ces piques aussi résistantes que de l'acier, dont certaines étaient de surcroît recouvertes d'une plaque du haki de l'armement, pour transpercer Ren s'il tentait de s'approcher trop imprudemment. Son retour à la vie lui permettant d'agrandir la taille de sa fourrure de manière disproportionnée, il pouvait tout-à-fait se permettre une telle manœuvre et enfermer le gérant de l'île dans une espèce de cage poilue, mettant ainsi en danger le moindre des mouvements que tenterait de réaliser le rouquin trop impétueux. Pour Napoléon, la priorité absolue se trouvait dans la préservation du poulain de Rei afin de conserver un certain contrôle sur l'Archipel Paradise. Ippo et Jen, qui ne tarderaient guère à le rejoindre, pourraient par la suite lui fournir un appui considérable pour défaire le Tao tout en protégeant la cible, et ce sans trop de difficultés. Malheureusement, avant que ce ne soit le cas, un son distinct, criard et reconnaissable se fit ouïr, en provenance de ce qui semblait être plus ou moins approximativement la plage. Si ces sonorités ne parvinrent pas à tirer la moindre expression faciale à l'envoyé de Konan qui demeura de marbre, ce dernier comprit néanmoins l'urgence de la situation. Pour y avoir été confronté plusieurs fois, il savait pertinemment quel espèce d'olibrius était en mesure d'user d'un instrument de manière aussi tapageuse, sans jamais prendre la moindre précaution pour assurer sa prudence... Imaginer que la marine puisse jeter de telles forces sur un archipel aussi isolé n'était pas forcément de bonne augure : cela voulait dire que le nouveau régent de l'océan avait décidé de prendre les choses en main et d'appliquer une répréhension bien plus terrible que celle, molle et paresseuse, de son prédécesseur. Une bien mauvaise nouvelle pour le commerce noir, donc...
Ippo "Doktiçimo" Kondriak, 123.456.000 berrys, et Jen Hissère, 200.000.000.
Mais Napoléon n'était pas le seul à avoir déjà entendu parler du vice-amiral Carlton : de manière générale, tous les grands pontes de l'Empire de Konan ici présents sur Paradise avaient déjà eu l'occasion de s'y frotter plus ou moins frontalement, et tous comprirent immédiatement l'urgence de la situation. Ainsi, Ippo et Jen, qui n'avaient jusque-là eu de cesse de se chamailler, semblèrent enfin parvenir à retrouver leur calme et leur sérieux. Ils filèrent avec d'autant plus d'application et d'ardeur jusqu'à la position de leur chef, se rendant alors compte qu'il semblait être aux prises avec un intrus plus ou moins célèbre. S'ils décidèrent de rester légèrement en retrait dans un premier temps, ni l'un ni l'autre des mafieux ne firent toutefois montre d'imprudence : Jen conserva son fusil bien en main, tenu par le canon, prêt à en user comme d'un gourdin à en croire sa posture, et Ippo commençait d'ores et déjà à sortir des seringues des poches intérieures de sa chemise, l’œil aux aguets et le visage toujours plus émacié et maladif. Restait à savoir comment l'adversaire de leur patron allait réagir à une telle apparition...
Kaïler, primé à 111.000.000 berrys.
-J'suis Kaïler... Et nan, désolé, j'fume pas.
Clope au bec et regard las, le tueur n'avait pas trouvé de meilleure excuse pour camoufler sa pingrerie. Il n'avait pas bougé d'un chouïa durant la dispute de la demoiselle et de son ancien acolyte, qu'elle avait fini par catapulter. A vrai dire, il se moquait parfaitement de ces types maintenant que ses tympans l'avaient averti de la présence du vice-amiral Carlton, raclure parmi les souillons. Imaginant qu'il n'allait pas tarder à se pointer par ici pour les emmerder à sa manière, Kaïler décida de mettre à profit toute son intelligence pour gagner quelques précieuses secondes. Il se redressa, pivota, puis attrapa le couvercle du tonneau sur lequel il était assis pour en dévoiler le contenu. Un type au visage tuméfié et au buste couvert de bleus et de blessures encore ouvertes en émergea, l’œil craintif et inquiet, avant de se rendre compte du fait que c'était manifestement son bourreau qui venait d'ouvrir sa prison provisoire. Effrayé, il sembla vouloir y retourner avant que le haut-primé ne l'attrape par le col afin de le tirer du tonneau : il le balança alors au sol sans ménagement, dévoilant la main gauche de son ex-prisonnier dont tous les doigts étaient parfaitement retournés. Le type se mit alors à larmoyer, non sans ajouter à ses plaintes laconiques et secouées quelques excuses pitoyables.
-Désolé... j'savais pas qu'cette weed était à Konan... Si j'avais su, putain... -T'inquiètes, bonhomme. T'es libre. J'ai juste un p'tit service à te demander. -Tout ce que vous voudrez... -Tu vas rester ici. Tiens, prends mon gun. Dès qu'une mouette se pointe, tu lui tires dessus en gueulant "Pour Arias". Ça devrait l'occuper. -Je... oui, promis... -Oh. Et si tu bouges, j'te pète les deux jambes.
L'étincelle de folie qui semblait naître dans le regard du type sanguinolent sembla s'éteindre aussi brutalement qu'elle n'avait pu apparaître tandis qu'il attrapait le pistolet que lui tendait Kaïler. Ce dernier, machinalement, avala une nouvelle bouffée de tabac avant de jeter un bref regard à la demoiselle. Puis, sans un mot, il tourna les talons et s'éloigna de la petite scène, bien décidé à l'idée de regagner le Millésime dans les plus brefs délais. L'homme qu'il avait soumis et laissé derrière lui n'était en vérité pas vraiment inconnu des services de l'ordre : il s'agissait de Ray Fish, un pirate de bas étage de South Blue, primé à 7.500.000 berrys et qui avait eu l'audace de croire que sa petite renommée lui donnait le droit de piétiner le business local fleurissant d'Harishigawa. Il s'en était mordu les doigts, littéralement, jusqu'à les retourner. Désormais, tout soumis qu'il était aux ordres du compagnon de Napoléon, il entendait bien appliquer ses ordres à la lettre...
Göz, 85.585.000 berrys, et Mede, 58.858.000.
-Joseph ! Joseph ! -Chuuut ! Chuuut ! Tu vas la fermer oui, gros tas ! Ils vont t'entendre ! Vite, venez !
Les deux mercenaires ne s'étaient pas privés de faire de grands gestes pour attirer l'attention de leurs compagnons sur le Millésime, qui venait enfin d'apparaître dans leur champ de vision. Soucieux de ne pas attirer les regards outre mesure, Joseph leur fit signe d'entrer directement dans les cabines pour laisser aux hommes d'équipage le soin de terminer les préparatifs. Même s'il était plutôt satisfait de se savoir enfin aux côtés d'un combattant relativement doué puisque Mede savait se défendre, il savait pertinemment que cela n'était qu'une sécurité fébrile compte tenu de l'assaut d'envergure qui s'annonçait sur l'Archipel Paradise. A trois, ils n'avaient encore pas la moindre chance d'en réchapper... Angoissé et blême, le pauvre joueur s'était rongé les ongles en scrutant l'avancée des marines à travers une fenêtre crasseuse, demeurant aussi précautionneusement planqué derrière les rideaux que possible. Il savait dorénavant que plusieurs grosses figures arriveraient sous peu, et il n'attendait par conséquent plus qu'une seule et unique chose : que les autres hors-la-loi dispersés sur l'île soient à nouveau regroupés pour prendre la poudre d'escampette. C'est animé par cette ambition intime qu'il attrapa Göz par le col et le secoua fermement, tandis que le frère de ce dernier se contentait de terminer sa côtelette grillée en les lorgnant du coin de l’œil.
-Putain, mais où sont les autres ! T'aurais dû les ramener ! -Napoléon a l'air de se battre... Contre Tao... Ippo et Jen sont près de lui... Vont plus tarder... -Et les autres putain ! Les autres ! -John est perdu... -Quel...
La flopée d'insultes qui lui vinrent à l'esprit ne fut toutefois pas suffisante pour décrire précisément le peu d'estime qu'il destinait à son partenaire de jeu favori. Ce dernier avait toujours un talent dingue pour rendre des situations dangereuses encore plus inextricables. Cependant, son don le plus remarquable était encore qu'il parvenait toujours à s'en sortir, malgré tous les efforts qu'il faisait pour raccourcir aussi brutalement que possible son espérance de vie. Cependant, il n'était pas le dernier isolé sur l'île : il en restait deux autres qui, au final, n'avaient pas non plus donné signe de vie depuis quelques temps. Il se remit donc à secouer Göz pour lui faire cracher le morceau aussi promptement que possible. Car certes, les deux derniers lui filaient indéniablement la chaire de poule à chaque fois qu'il était contraint de les côtoyer, mais ils étaient encore plus doués que Mede au combat...
-Kaïler et Phazia ! Où ! -Kaïler arrive... Il voit le Millésime...
La vague de soulagement qui secoua et ébranla Joseph fut telle qu'il fut obligé d'aller s'asseoir sur une chaise en poussant un soupir colossal. Savoir que ce type n'était plus très loin était encore plus rassurant que de savoir que Napoléon, Jen et Ippo étaient ensemble. Cela signifiait qu'ils ne risquaient plus grand chose... En tout cas tant que les forces du Gouvernement Mondial ne faisaient pas d'eux une priorité absolue. Ne restait désormais plus qu'à localiser la dernier criminelle, seule femme du petit cortège envoyé par Konan jusqu'ici, sur South Blue...
Napoléon anticipe ton attaque sur Lawrence, puisque tu l'as déjà attaqué auparavant, mais ne sait pas précisément ce que tu prévoies de faire. Il envoie donc les piques formés par sa fourrure vers Lawrence pour te menacer et te forcer à reculer. Ippo et Jen arrivent ensuite, mais se tiennent encore à l'écart.
Kaïler laisse derrière lui un type pour qu'il tire sur Carlton dès qu'il le verra. Et ensuite il s'en va.
Joseph, Göz et Mede se retrouvent enfin sur le Millésime, et se planquent à nouveau.
Napoléon est lvl 39. Les niveaux d'Ippo, de Jen, de Göz, de Mede, de Joseph, de John et de Kaïler sont inconnus !
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Mar 23 Mai - 19:50
Vice-Amiral Carlton
Les bateaux s'étaient arrêtés à peine à un kilomètre des côtes, comme s'ils étaient préparés à la suite des événements. Alors que personne ne semble s'intéresser à Carlton et à son animal cybernétique, ces deux-là s'avancèrent sans même prendre en compte les potentiels primés aux alentours. Ils allaient atteindre rapidement la centaine de mètres qui les séparait de leur cible : la scène en bois installée telle un Graal sur la place, laissant une grande liberté à cet homme à présent pleinement exposé. Qui eut cru qu'un homme d'une telle grandeur était capable d'être aussi peu prudent ? En attendant un instant, il aurait pu laisser croire qu'il avait déjà abandonné sa chasse pour se lancer dans un show du tonnerre, où foule et spectateurs avaient leur place. Et alors qu'il s'était placé sur le devant de la scène, sa guitare à la maison, en mode YOLO et les fils qui pendaient le long du Cy-Wolf, il recommença à percer l'air par sa musique.
- ATTRACTION, BABE !
Tel un sort, telle une magie surpuissante lancée comme un coup de canon, le Carlton venait de briser une nouvelle barrière du son et de dévoiler son aptitude unique en son genre. Alors que la moitié de l'île entendait clairement, grâce à la technologie de la Section Scientifique conçue spécialement pour lui, le son qu'il laissait percer, celui-ci vint s'asseoir tel un maître absolu sur l'esprit de tous ceux à proximité. Un maître absolu ? Même la volonté d'un D. n'aurait rien pu y changer : après tout, le pouvoir de cet homme était grand. Il se sentait tel un Dieu, comme il l'avait lui-même si souvent dit. Sa technique permettait non pas d'empêcher les gens de fuir, mais de les attirer inexorablement vers le son, tel un spectateur incapable de contrôler son corps. C'était pour cette raison que le bateau s'était arrêté au loin : ils ne voulaient pas être captés par l'emprise de ce fou furieux de la musique. Et pourtant, dans la foule déjà une dizaine d'agents gouvernementaux étaient arrivés, habillés de casques ronds, noirs, qui leur couvraient totalement la tête et insonorisait celle-ci, encore mouillés jusqu'aux os de leur courte balade en mer qui prouvait que chacun était assez rapide pour se mouvoir dans l'eau.
- Triste destin, marmonna la voix inaudible de Malia en commençant à repérer les quelques primés qui pourraient intéresser le Gouvernement, se disant que les autres n'allaient bientôt plus pouvoir bouger.
Ou du moins, se mettraient-ils à bouger à nouveau en s'habituant, grâce à leurs forts caractères mais surtout leurs différentes maîtrises, pour reprendre le contrôle de leur corps. Ils tenteraient sûrement d'éliminer Carlton, mais les plus intelligents fuiraient. Sous leurs habits de civils, les gouvernementaux étaient innidentifiables, à l'exception de Malia dont la lame semblait rayonner d'un éclat inédit. Elle était prête à les accueillir, tous autant qu'ils étaient.
Vice-Amiral Richard Bordelieu (??) Vice-Amirale Malia Hijima (??) Vice-Amirale Mojini Kisa (??) Vice-Amiral Carlton (??) - Aptitude liée au Son
Douze navires, dont quatre bâtiments de guerre.
Les navires sont arrêtés à environ un kilomètre de l'île. Carlton commence son show. Vous êtes tous attirés vers lui, comme si sa musique était irrésistible (Mais au fur et à mesure vous reprenez un peu vos esprits) et quelques instants plus tard les gouv' en casque débarquent sur l'île. Ce sont des casques totalement insonorisés qui ressemblent à des casques de motards.
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Ren Tao
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Mer 24 Mai - 1:26
Ren Tao
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Surprise
Je n’allais pas laisser ces gens faire comme bon leur semble. Ainsi, je fonçais sur ce fameux Lawrence pour l’arrêter définitivement. Faisant primer la rapidité à la puissance, j’étais certain de lui offrir un sommeil plutôt lourd à coup sûr, mais alors que j’allais frapper, je vis des choses foncer vers moi. Il a anticipé mon coup ? Bordel de merde... Je me devais réfléchir vite et me décider. Ainsi, alors que mon coup allait toucher la gueule de ce con, je commençais une lourde réflexion. S’il arrivait à appeler des renforts, quelles seraient les conséquences ? Depuis le temps que l’explosion a eu lieu, où sont les renforts ? Est-ce que à tout hasard les gens ne seraient pas sur l’île ? Si oui, alors s’était bien ma chance, je pouvais le laisser faire, au final, ces derniers arriveraient trop tard et au pire, me dénoncer ne ferait que mettre un nom responsable pour ce bordel. Est-ce une mauvaise chose ? Pas du tout... Cependant, l’éliminer lui devenait impératif pour foutre en l’air la communication entre lui et Konan. Si je coupe la communication, ça gêne et si ça gêne, je suis heureux. En plus de faire accessoirement chier cette traitresse de Rei qui ne paie rien pour attendre. Mais en voyant cette insistance qu’avait ce petit bonhomme à vouloir le protéger, je pris conscience de son importance. Je ne devais pas l’éliminer tout de suite, mais pourquoi pas le prendre en otage ? Souriant en coin alors qu’il ne me restait que quelques secondes à agir, l’homme bête pourrait comprendre que j’avais déjà fait mon plan. Ainsi, je me décidais à donner un coup violent au crâne de Lawrence pour le mettre hors d’état de nuire et fis un geste en écharpe pour provoquer un mouvement rotation et pouvoir me défendre au mieux. Le temps ne jouant pas à mon avantage, je n’avais pas le temps de bien viser et je frappa maladroitement un pique noir qui approchait de mon crâne et provoqua une nouvelle explosion. Le but de la manœuvre ? Essayer de dévier les autres coups quelques instants. Un pique frôla ma joue, un autre toucha mes côtes et deux attaquèrent mes jambes sans pour autant le blesser grièvement. Mais toujours est-il que le sang coulait légèrement - et ça, ça ne jouerais pas en ma faveur plus tard - à défaut de rendre inapte ma jambe. Mais est-ce tout ? Si Yao ne maîtrisait pas un retour à la vie, je n’aurais jamais été apte à penser aux possibilités de ses coups, mais ce n’est pas le cas... J’imaginais clairement que ses tentacules vivantes pourraient donner lieu à une suite après l’attaque et donc lors du coup, mon autre main s’était empressée de saisir depuis tout à l’heure la nuque de Law’, ainsi, difficile de me le subtiliser en douceur.
“ Saleté... “
Me reculant immédiatement, je remarquais tardivement la présence des autres qui semblaient prêts à agir. Tsss... Trois contre un ? Est-ce qu’ils oublient qui je suis ? Pourtant, aussi chiant cela était-il à avouer, je me devais de garder mon otage avec moi et donc si un combat éclatait, en plus d’être seul, je n’avais qu’une main de disponible et deux jambes et pieds... Tu parles d’un handicap. Saisissant l’homme, je le mettais bien en évidence, fusillant du regard le principal concerné.
“ Ok... On va la jouer à ma façon. Je vais tranquillement me barrer et si vous me suivez, je lui refais le portrait ok ? Si vous le voulez vivant, que Konan me contact maintenant ou dans les jours à venir. Sinon, il perdra son business certes... Mais aussi un précieux moyen de communication. “
Qui tient qui par les couilles désormais hein ? Clairement hostile, ma voix commençait à redevenir audible et ceux-ci ne pourraient avoir aucun doute, j’étais prêt. Qu’ils me tirent dessus, qu’ils foncent... Mon poing aurait vite fait d’exploser au sens propre cet individu. Qu’allait-ils pouvoir faire hein ?
Senshi & Klyde, membres des S.G
L’homme se rattrapait à un toit avant de foncer vers cette nouvelle explosion. Il arriva un peu tard, les choses semblant déjà tendues. Mais au lieu d’intervenir, il attendait de voir ce qui allait se passer, prêt à aider de façon fourbe son boss et quoi de mieux qu’un saut non pas de la troisième corde, mais du troisième étage ? La miss de son côté elle était plus directe. L’autre ne semblant pas la retenir, haussant les épaules elle reprit sa route aussi simplement que possible et comment rejoindre le lieu de l’explosion rapidement ? Via une ligne droite. Tel un juggernaut, elle explosait les murs face à elle menaçant de faire effondrer les immeubles mal construits ou pas assez stables, mais alors qu’elle était proche de la position de Ren et Klyde, voilà que le fléau musical frappa fort.
La musique touchait un large périmètre, et si heureusement ceux sur le navires n’étaient guère hypnotisés, il n’en était pas de même pour moi et mes compagnons sur place. Nos esprits s’embrouillaient et contre notre gré à chacun, nous nous mîmes à bouger. Sans doute en était-il de même pour les chiens de Konan, mais aussi surprenant cela soit-il, je trainais de force le corps inanimé de Law’. Senshi revenait un peu sur ses pas en avançant tout comme Klyde qui allait de toits en toit alors que moi je parcourais les rues. Une immense foule vit le jour proche et autour de la scène de la rockstar visiblement. Les civils étaient aussi victime de cette aptitude visiblement. Et finalement, au moins nous trois étions présents sur les lieux. Cependant, en chemin, nos esprits nous revinrent lentement mais sûrement et pour cause... Senshi intérieurement détestait le rythme imposé par la musique, Klyde sentait sa folie refaire surface et moi, je comprenais que quelque chose n’allait pas, comme si on me force à quelque chose ? Laissant mes yeux qui exprimaient un vide complet redevenir luisant de vie, je secoua la tête avant de grogner. Une véritable armada se trouvait déjà sur place et visiblement, ils étaient équipés. La musique m’aurait-elle hypnotisé ? Tournant la tête, j’activais mon haki pour “ sonder “ la zone et reconnu la voix de certaines personnes mais surtout mes compagnons. Il fallait partir de là. Sifflant pour ordonner aux autres de fuit, moi, j’allais rester en arrière pour les couvrir, en priant que les mecs de Konan étaient déjà loin et non n’allaient tenter de nous prendre en tenail. Ce serait le comble... Prit entre les forces de la marine excessive pour une telle opération à mon goût et les forces de Konan largement suffisante pour me résister. Quelle merde quand même...
Je devais réfléchir vite, agir et prendre les bonnes décisions. Pas question de perdre qui que ce soit. Mon otage, mes deux compagnons... Je ne laisserai personne les prendre ayant leur importance à jouer, quitte à défier la logique elle-même. Lançant en ligne droite et non en lob le corps du jeune homme, c’est Senshi qui eu la tâche de l’attraper. Celle-ci fit donc une diversion en frappant le sol et propulsant un nombre important de débrits vers la foule, mais surtout vers la scène, sans savoir qu’il aurait été judicieux de viser les fils qui relient le Cy-Wolf et le fameux Vice-Amiral. Klyde de son côté se mit à courir suivit par Senshi et moi. Se couvrant via les bâtiments et la foule, même si nous étions quelque peu rapide et discret à cause de la grande quantité de monde, il serait facile pour les marines hauts-gradés de se dire que les choix qui s’éloignent sont des suspects. Je gardais un oeil sur mes hommes, leur ordonnant de courir quoi qu’il arrive. Pour ma part, gardant mon haki actif, je m’apprêtais à agir face à n’importe quelle personne hostile et surtout, la chose était imposée : se boucher les oreilles ou faire un bruit immense dès que la musique retentirait de nouveau, quitte à devoir se percer les tympans s’il le faut, mais en aucun cas il ne fallait être victime de plus belle de cette “mélodie”. Run for your life. Et prudent comme pas deux, je préparais mon coup le plus mortel au cas ou, ce dernier étant prêt à rugir dans la nuit.
Ayabusa, primé 45M, Second des S.G et informateur
L’homme feuilletait ses documents. À l’abri avec les autres, il réfléchissait, cherchant à savoir qui pourrait faire un tel bordel musical. Mais aussi informé soit-il, il n’eut que quelques noms sur ses fiches et même si le nom du Vice-Amiral présent sortait du lot, il ne soupçonnait pas ce dernier et quand bien même il le ferait, il n’avait que peu d’informations. Se mordant un pouce nerveusement, l’homme rangea ses documents avant de chercher la solution la plus adéquate. Libérer les poissons combattants serait trop risqué, il fallait garder cet atout pour plus tard, lors de la fuite finale. L’homme ordonna aux troupes de se tenir prêts à faire n’importe quoi. Se battre, naviguer, les deux...
résumé:
Aloooooors. Ren décide de continuer son coup, frappe Lawrence et utilise la continuité de l'attaque pour tourner sur lui même et enchainer avec un coup peu précis pour tenter de dévier les attaques. Mais il se blesse malgré tout. Il saigne. Durant tout ça, il garde une main sur Lawrence pour éviter de se le faire piquer, Yao ayant un retour à la vie, il est au courant de certaines possibilités et donc se méfie des coups fourbes du genre attaque de tentacules et certaines passent derrière pour choper la cible. Prise d'otage surprise, Ren se fait claire quant à ses intentions. Il se barre et veut être en contact now ou dès que possible avec Konan. Ses compagnons arrivent, Senshi rejoint en ligne droite Ren, alors que Klyde est sur place après avoir bouger un peu suite à son second lancer.
Mais alors que ça aurait pu devenir selon ren un 3 Vs 3... La musique retentit et ... Au moins Ren,Senshi et Klyde sont sous le charme ( beurk... ). Ils retrouvent leurs esprits tardivement déjà proche de la foule, mais proche des rues et ruelles. Ren se fait vite comprendre et ordonne la fuite. Il lance à Senshi ( lancer direct et non en lob ) l'otage, et Senshi fait une diversion en foutant un coup de pied au sol tel, que ce dernier se voit détruit et les débris menacent des civils mais aussi la scène de Carl' S'en suit une course donc, ces derniers essayant de se cacher via la foule, puis les bâtiments. Ren donne les ordres et mesures de sécurité. Cependant, Ren n'a pas stoppé son léger saignement ( clin d'oeil pour Malia ♥ ).
Ruuuuuuuuuun
Niveau des protagonistes:
Krake > 37.5 Ayabusa > 35 Klyde > 36 Senshi > 34
tech utilisées:
Ren : • Explo-shield: Le jeune homme se protège comme il peut en frappant une offensive avec son pied ou son poing. Afin d'annuler ou minimiser les dégâts ( selon le genre d'attaque ), il fait exploser son coup au dernier moment. > 40 • Haki de l'observation
Senshi : • Penalty : La demoiselle shoot avec ses pieds une partie du sol ou un objet afin de le propulser à une vitesse terrifiante :32
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Ce monde m'appartient.
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Ren Tao
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Jeu 25 Mai - 11:51
Napoléon, primé à 150 berrys.
-Tu penses sérieusement que sa vie nous est indispensable... N'est-ce pas ?
Si Napoléon avait légèrement été surpris et désarçonné par l'action de Ren, il n'en avait toutefois rien montré : son visage demeurait pleinement lisse et neutre tandis qu'il fixait le rouquin et son désormais otage, posément et calmement. Dans l'idée, il était vrai que la survie et la sécurité de Lawrence était un plus indéniable dans la propagation de leur business et de leurs forces mafieuses sur South Blue... Tant que celui-ci conservait Paradise sous le joug de Rei Mitsuyori, tout du moins. Le problème, c'était que dorénavant, ce joug allait être très sérieusement mis en péril : au capharnaüm dont Carlton s'était rendu coupable en arrivant sur l'île, les mafieux de Konan savaient pertinemment que cette hégémonie allait être fortement contestée dans les minutes à venir. Dans l'absolu, l'Archipel Paradise était perdu et le Gouvernement Mondial n'allait pas tarder à en faire une nouvelle passerelle avancée pour combattre le crime qui s'étendait et pullulait sur l'océan tout entier... Une nouvelle relativement funeste pour Harishigawa et les siens, qui commençaient tout juste à plancher sérieusement sur le dossier afin de contester la puissance commerciale de la Guilde Marchande ici bas. De fait, la priorité n'était désormais plus du tout dans le sauvetage ou la sécurisation d'un quelconque subordonné de Rei Mitsuyori, laquelle n'aurait elle-même pas pu conserver l'île sous sa protection bien longtemps avec une telle armada à ses portes. La priorité était dans l'évacuation de l'île des primés que les marines pouvaient reconnaître, et décider d'incarcérer... Eux y compris. Ainsi, l'homme-bête-tontatta renchérit, toujours aussi paisible en apparence, comme si la situation actuelle ne lui pesait absolument pas sur la conscience.
-En revanche, Harishigawa a toutes les raisons du Monde de te vouloir mort... N'est-ce pas ?
Le constat était tombé, froid comme un couperet d'acier, et mettait plus que jamais en péril la sécurité de Ren Tao. Au fond, la survie de Lawrence était accessoire, dans de telles circonstances, alors que la mort du petit patron des Shadow Ghosts pouvait s'avérer satisfaisante à plus d'un titre. Pas besoin de s'épancher en vengeances, en petites batailles, en mises-à-mort pour le forcer à se montrer... Lui couper la tête ici et maintenant pouvait tout simplement revenir à désarticuler durablement ce simulacre d'empire qu'il était en train de fonder. Une bande de désaxés inintéressants, ni plus ni moins... Mais lesquels avaient une forte tendance à l'égocentrisme. Un faible arrogant était toujours un faible : il finissait tôt ou tard par en payer les conséquences. Tant et si bien qu'alors que les piques de Napoléon se remettait à tournoyer, certaines se couvrant momentanément de haki de l'armement, ses deux compagnons eurent tôt fait de réagir à leur tour.
Ippo "Doktiçimo" Kondriak, 123.456.000 berrys, et Jen Hissère, 200.000.000.
En un éclair, Ippo se projeta pour se retrouver dans le dos de Ren Tao, légèrement sur sa droite. Jen l'imita un instant plus tard, se positionnant en revanche sur la gauche du rouquin. Dans cette posture, les trois mafieux encerclaient parfaitement leur opposant et lui empêchaient totalement de les lorgner les trois simultanément. Il devait faire un choix : surveiller Napoléon, ou ses deux compères ? Dans l'idée et en ayant conséquence de leurs primes, n'importe lequel des combattants intelligents aurait eu pour réaction de faire face aux deux hauts-primés... Mais cela aurait malheureusement pu s'avérer terriblement suicidaire. Prêts à se joindre à la petite rixe, les deux compagnons de l'homme-bête se mirent donc à provoquer leur adversaire plus ou moins ouvertement, souhaitant manifestement le mettre à mort dès à présent et sans perdre plus de temps.
-Je suis sûr que ta teub est plus petite que celle de Jen. -Ouais, gros... OÏ, IPPO ! FERME TA PUTAIN DE GUEULE, OU JE T'ARRACHE LE VISAGE POUR ME TORCHER AVEC ! -OUAH, FAIS PAS CA ! J'VAIS MOURIR SI TU M’ENLÈVES MON VISAGE !
Malheureusement, leur petit divertissement s'acheva bien vite tandis que Carlton, du côté de la plage, prenait la simple décision de semer son grain de sel dans cette petite affaire. Lorsque le son de sa guitare résonna jusque dans les ruelles que les criminels habitaient, ceux-ci se sentir bien promptement épris d'une envie puissante et oppressante de rejoindre le prodigieux musicien. Même s'ils avaient déjà fait l'expérience de ses compétences hors normes par le passé, ni Ippo, ni Jen ne furent en mesure de réagir à temps, tant ils étaient focalisés sur leur petite dispute. Ce n'était en revanche pas le cas de Napoléon, dont les poils s'étendirent brutalement tandis que ses deux collègues commençaient à tourner les talons pour rejoindre les forces gouvernementales. Sa fourrure s'enroula autour des pieds des deux hors-la-loi manipulés, tant et si bien qu'ils s'effondrèrent lourdement et se cognèrent au pavés sèchement, revenant bien vite à eux. L'homme-bête, quant à lui, avait usé de sa compétence pour former des espèces de bouchons d'oreilles à base de poils, lui empêchant d'entendre la mélopée enivrante de la mouette. Il glissa quelques mots à ses camarades tandis qu'ils revenaient péniblement à eux, se projetant sur les toits afin de progresser le plus vite possible, en évitant l'éventuelle cohue humaine que générerait ce petit concert improvisé.
-Laissons tomber. N'est-ce pas ? Harishigawa compte sur nous. N'est-ce pas ?
John Dillinger, primé à 71.000.000 berrys.
-OUAAIS ! VAS-Y MEC, TU DÉCHIRES ! PUTAIN DE RIFF ! AAAAH, CE PIED !
En festival comme en concert, John n'était pas vraiment le type de spectateur à passer inaperçu. Il beuglait, gesticulait et bondissait à tout va, signifiant son engouement de la manière la plus auditive et la plus visuelle possible. Tant et si bien que les quelques gouvernementaux qui ne l'auraient pas reconnu de loin auraient tôt fait de le localiser... Loin de se douter de traquenard, n'étant qu'un membre relativement récent de l'organisation d'Harishigawa et n'ayant jamais eu l'occasion d'expérimenter l'aptitude particulière du vice-amiral Carlton, le Dillinger était tombé dans le piège en y sautant à pied joints, avec la conviction de l'abruti qu'il incarnait si parfaitement. Il n'était toutefois pas le seul criminel à s'être rendu posément en direction de cette scène improvisée. C'était notamment le cas de Ray Fish, au visage encore tuméfié par la brutalité de Kaïler, qui s'approcha de l'un des soldats pourvu d'un casque insonorisé pour lui tirer dessus à quasi bout portants une fois tiré hors de sa contemplation silencieuse, hurlant à tu-tête comme pour couvrir les bruits générés par le concert.
-POUR ARIAS ! MEURS, CREVURE !
Toutefois, bien d'autres criminels s'étaient également innocemment approchés du port, comme autant de papillons attirés par une lumière nocturne : Paradise pullulaient de hors-la-loi en tout genre, tant la pression exercée à la fois par le commerce naissant de Konan et par celui, nettement plus implanté, du royaume de Trader était un terreau fertile à la naissance de barbares divers et variés. Ainsi, les frères Kelek, Martin et Sophie de leurs prénoms, respectivement primés à 18 et 12 millions de berrys, célèbres pour s'être rendu coupables de vols à l'arrachée sur tout South Blue se trouvaient liés à cette cohue, bien malgré eux. C'était également le cas de Tim Forback, capitaine d'un petit équipage pirate local, primé à 15 millions de berrys, ou celui de Peshon Hilmes, ancien commandant de la révolution au passé tumultueux, atteignant désormais péniblement la soixantaine et ayant sur sa tête la modique somme de 29 millions de berrys. D'autres primés se trouvaient également liés à la foule, quant à eux nettement plus négligeables. La majorité d'entre eux risquaient fort de terminer la journée derrière les barreaux...
Kaïler, primé à 111.000.000 berrys.
-La porte, c'est par là...
Joseph, Göz et Mede, attirés implacablement par le concert en plein air du vice-amiral Carlton, eurent tôt fait de retourner à l'intérieur du Millésime dès lors que Kaïler leur eut fournit l'élan nécessaire : les coups de pieds qu'il leur décerna ne furent pas spécialement douloureux, mais néanmoins suffisamment secs pour les renvoyer de là où ils venaient. Ils retrouvèrent péniblement leur conscience tandis que le primé refermait la porte derrière eux, espérant simplement que les marines n'aient pas pu les apercevoir à cause de la cohue générale causée par l'arrivée de tant d'ordures simultanément. Les membres d'équipage qui étaient censés faire naviguer leur bateau avaient évidemment été soumis au pouvoir du gradé de la marine, mais étaient tous parfaitement anonymes : ils auraient tôt fait de comprendre la situation et de revenir d'eux-mêmes pour finaliser les préparatifs. En attendant, le plus sage était encore de rester cloîtré ici : pour avoir vu l'armada qui se profilait à l'horizon de loin, l'envoyé de Konan n'avait en aucun cas l'envie de se frotter à eux. Il était capable de s'en tirer, bien sûr, mais pas nécessairement sans blessures... Et son goût pour la douleur et les cicatrices n'était que très modéré. Tandis que Joseph se massait péniblement la joue tout en grommelant de douleur, n'en voulant toutefois pas assez à son compère pour vouloir le rabrouer, tout conscient qu'il était de lui devoir sa liberté, Göz prit à nouveau la parole d'une voix traînante et hésitante, informant le reste de la petite équipe de la situation.
-Napoléon revient... Il amène Ippo et Jen... -Bien. -Quoi ? Juste bien ? Nan, c'est parfait ! On n'a plus qu'à récupérer les deux restants, et on pourra faire une percée ! -Tu voulais dire "vous pourrez", je crois...
Sobre et concis, Kaïler avait rapidement revu l'engouement et la satisfaction de Joseph à la baisse. Certes, Mede, Ippo, Jen, Napoléon et lui-même étaient largement en mesure de générer une percée pour leur permettre de prendre la poudre d'escampette, mais c'était à peu près tout : les autres hors-la-loi ici présents ne pouvaient pas sereinement se permettre d'affronter l'un des favoris de Chairoka sans y laisser leurs peaux. Phazia, également, pouvait s'avérer utile en cas de conflits, mais il fallait pour se faire déjà qu'elle arrive jusqu'au Millésime et décide d'y embarquer. Elle était et de très loin la plus instable et la plus imprévisible de la bande... Et pouvait à ce titre tout-à-fait décider de se jeter sur les forces du Gouvernement Mondial pour tenter d'accroître drastiquement le nombre de morts qui trônait sinistrement à son compteur. Néanmoins, Göz parvint bien vite à tuer l'euphorie qui commençait tout juste à naître dans la petite salle, les projetant tout quatre dans un silence de plomb :
-John est au concert. -... Fuck.
Même s'ils n'étaient pas nécessairement les criminels les plus solidaires, les envoyés de Konan ne pouvaient pas se contenter de laisser bêtement l'un des leurs en pâture aux chiens de la justice : cela aurait été leur fournir trop d'honneur et de satisfaction. Fidèle à sa solide réputation d'entremetteur, Kaïler jeta sa clope sur le parquet, sans se préoccuper de la gerbe de flammes qui en naquit et que Joseph parvint à éteindre en se jetant à plat ventre dessus. Il tourna les talons, ouvrit la porte et balança quelques consignes à ses compagnons avant de la refermer derrière lui et de s'élancer sans plus attendre en direction de la scène :
-Vous tenez Nap' au courant de tout... Toi, tu nous surveilles, et si on s'fait coffrer, vous nous vengez...
Phazia, primée à 246.000.000 berrys.
-Ah... Des innocents... Plein... Et des soldats, aussi... Si beaux, tous...
La sinistre plainte lâchée par Phazia semblait être de bien mauvaise augure, et fut à ce titre ponctuée par un rire clair et angoissant ainsi que par un regard lubrique et des plus malsains. Le teint légèrement rosie, la demoiselle porta une main hésitante à sa poitrine et une autre, plus ferme, au manche de l'un des couperets qu'elle portait attaché à la chaîne qui lui entravait le corps et maintenait sa robe blanche bien en place. De tous les criminels envoyés par Harishigawa sur South Blue, elle était indéniablement celle dont la réputation était la plus sinistre. Considérée comme l'une des pires mercenaires au Monde, tant en terme d'habitudes qu'en terme de désobéissance, elle n'était employée que par un nombre extrêmement restreints de chefs criminels, lesquels ayant non seulement acquis sa fidélité mais aussi et surtout son admiration par leurs tendances sanglantes et à demi cinglées. On la savait responsable d'un nombre incalculable de massacres et de mises-à-morts en tout genre, et elle était fréquemment envoyée sur le terrain pour attirer l'attention. Elle ne pouvait se repaître que du sang et de la mort d'autrui, comme s'il s'agissait là de son seul pêché mignon... Et c'était bel et bien le cas. Tant et si bien que la foule qu'elle toisait en contrebas depuis le haut d'un immeuble singulièrement proche du port la tentait tout particulièrement. Y commettre un génocide serait à la fois une expérience si marquante et si jouissive...
Napoléon, Ippo et Jen encerclent Ren et le provoquent. Quand la musique retentit, Ippo et Jen y sont soumis, mais pas Napoléon qui s'est bouché les oreilles grâce à sa fourrure. Il les attrape, les éclate par terre sans ménagement, puis les porte en fonçant vers le Millésime et en passant par les toits.
Près de la scène, John saute et gesticule en hurlant. Il est manifestement fan de Carlton. C'est pas le seul primé présent sur place puisque Ray Fish essaye de tirer sur un soldat (lambda) conformément aux ordres de Kaïler.
Kaïler ramène ses trois potes au Millésime (pas la force) et décide d'aller aider John (un peu consterné, évidemment).
Phazia observe l'attroupement depuis un immeuble environnant.
Napoléon est lvl 39.
John Dillinger est lvl 32. Peshon Hilmes est lvl 23. Tim Forback est lvl 17. Ray Fish est lvl 14. Martin et Sophie Kelek sont lvl 12. Les autres primés n'atteignent que rarement le lvl 10.
Les niveaux d'Ippo, de Jen, de Göz, de Mede, de Joseph, de Kaïler et de Phazia sont inconnus !
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Mer 31 Mai - 18:39
Malia Hijima
Alors que l'ouïe aurait pu être le seul moyen de repérer des personnes dans la foule, la vue était en réalité assez peu masquée par ces casques étudiés pour ne pas mettre en difficulté excessive leur porteur. Ainsi, quand Malia put observer la scène à la fois grâce à son regard, mais aussi grâce à son Haki, elle n'hésita pas un instant à s'interposer dans la foule, à s'extraire de celle-ci et à réduire d'un simple mouvement d'épée en miette les rochers lancés, tout en créant, d'un même mouvement, une lame d'air dévastatrice qui continua sa course jusqu'à Senshi. Alors, d'un pas gracieux magnifiquement exécuté, elle s'élança en direction du plus gros primé visible sur la place... Ren Tao.
Vice-Amiral Carlton
Au milieu de la foule, les marines avaient déjà commencé à agir : assommant quelques primés et en menottant d'autres, ils profitaient du concert pour faire un véritable coup de maître. Ainsi ne furent-il pas attentif au coup de feu tiré dans la foule... Ou du moins, pas tous. Carlton, sur scène, interrompit sa musique brutalement. Le visage remplit d'horreur, il observa l'un de ses camarades tomber au combat. Premier mort d'une longue boucherie ? En tout cas, le tireur n'eut pas le temps de vivre bien longtemps pour savourer sa victoire : l'énorme masse d'arme du Commandant Doubt s'abattit sur son crâne tel la réponse excessivement violente à une violence inouïe. Qui aurait pu penser que quelqu'un puisse avoir les idées suffisamment sobres pour penser à tirer sur un soldat ?
Il fallait éviter le bain de sang. C'est pour cela que la musique de Carlton tourna de l'attraction pure à l’apaisement progressif. Les quelques minutes qui suivraient seraient envoûtantes et donneraient l'impression qu'aucune action violente ne serait entreprise. « A Song for a Swan », c'était le nom de cette chanson aux effets semblables à ceux du Color Trap.
Derrière John Dillinger, le Colonel Fox avait avancée sa main transformée. Homme de guerre, ce Zoan du Gorille avait rejoint les troupes de son idole, le Vice-Amiral Borderline. Il était à présent déterminé à se présenter auprès de celui-ci avec la tête d'un primé, mort ou vif, même si ses convictions ne l'obligeaient pas à tuer : au contraire, une bonne baston valait tous les morts du monde. Ainsi, d'un simple coup, il comptait finir ce gars énergique.
Malia protège la foule, et poursuit Senshi et par défaut Ren. Le Colonel Fox attaque John d'un coup violent. Le Commandant Doubt tue simplement le tireur. Les autres attrapent les PNJs peut primés. La musique amplifiée du VA devient apaisante pour ceux qui l'entendent. Il n'y a pas l'envie de se battre. (Mais l'instinct de survie peut prendre le dessus pour se protéger.)
Actuellement nommés :
Vice-Amiral Richard Bordelieu (??) Vice-Amirale Malia Hijima (43) Vice-Amirale Mojini Kisa (??) Vice-Amiral Carlton (??) - Aptitude liée au son Colonel Fox (31) - Zoan du Gorille Commandant Doubt (27) - Masse d'Arme
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Ren Tao
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Jeu 1 Juin - 1:37
Ren Tao
Pnj
Surprise
L’heure de partir avait sonné. Quand bien même en découdre avec la marine n’est pas une chose sur laquelle on crache d’ordinaire, là, les forces déployées étaient trop importantes même pour quelqu’un de mon calibre... Je n’étais même pas sûr qu’avec mon équipe et mes alliés au complet nous puissions sortir indemne de ce genre d’affrontement. Cet assaut miraculeux tombant à point nommé ne m’arrangeait pas et c’est pour cela que je partais non sans prendre mon lot de consolation : un otage. Au moins, une fois partit de cette île, j’aurais tout le privilège de pouvoir exiger des explications de la miss quant à sa disparition et accessoirement pouvoir la manipuler via cet otage. Et si par malheur elle allait jusqu’à sacrifier son ami pour échapper à mes “ contraintes “, dans ce cas je me ferais quand même un plaisir que de l’affronter si tel était son désir.
Essayant de garder la tête froide, je me mettais donc à courir alors que nous entamions notre course folle pour nous barrer de là. Mais voilà, certaines personnes dans le peloton de marines étaient plus qu’apte à me tenir tête et donc redoutable. Dont une, une demoiselle faisant souvent parler d’elle : Malia Hijima. Sa capacité offensive n’était pas à prouver puisqu’elle balaya l’offensive de ma comparse d’un coup et en profita pour lancer une contre-attaque immédiate menaçant ma miss à la force surhumaine. Incapable d’intervenir, je hurlais simplement le nom de mon autre compagnon pour qu’il agisse et c’est de peu qu’il écarta la cible de l’attaque à défaut de se blesser à un bras, ce dernier manquant d’être coupé net. Klyde sauva donc Senshi, mais gagnait une entaille de plusieurs bon centimètres dans son bras droit... Du repos pour moi, et des points de suture pour mon compagnon, les cadeaux pleuvaient de la part des marines prouvant qu’ils ne plaisantaient pas aujourd’hui. Tant mieux ?
En y repensant, chacun de nos actes le demandait non ? Nous ne voulions pas être prit à la légère et aujourd’hui allait être le jour où ces appels allaient enfin avoir une réponse. La confrontation allait être titanesque et je comptais bien être l’anti-héros de cette soirée. Tandis que mes compagnons continuaient à s’enfuir en reprenant leurs jambes à leurs coups, je m’interposais entre eux et Malia pour clairement montrer que j’allais être son opposant. Et tandis que j’espérais que mes compagnons ne seraient pas affectés, quand une nouvelle mélodie retentit, je ne perdis pas de temps pour agir. Seules quelques secondes s’écoulèrent avant mon acte, puisqu’il s’agissait de quelque chose d’hostile envers moi-même, mais finalement. Mon choix était fait, mais face à la contrainte qu’était cette musique aux effets indésirable, je décidais de me séparer de mon ouïe pour ce combat. Usant d’une allumette - car outre le briquet, tout bon fumeur se foit d’avoir des allumettes sur soit - je me crevais les tympans essayant de faire abstraction de la douleur occasionnée. Adieu ouïe, bonjour liberté de penser, ou du moins, je l’espérais, car nous avions tous compris que le son affectait nos personnes, mais si cela se trouve, les vibrations dans l’air aussi peut nous affecter ? Jouant donc à pile ou face, je me présentais face à la femme au sang de vampire pour clairement faire barrage.
Rapidement, alors que celle-ci fonçait, concentrant mon haki de l’observation sur la zone pour prévenir ou agir en cas d’approche trop dangereuse vers mes compagnons, mais aussi et surtout sur Malia, je vins à tenter de la frapper violemment au niveau du corps. Si celle-ci tentait de parer ou simplement esquiver, elle aurait un tout autre problème à gérer, puisque je faisais exploser mon coup de la façon la plus brutale qui soit afin de faire principalement plusieurs choses. La première et la plus évidente était pour repousser cette demoiselle trop dangereuse pour mes compagnons. La seconde était de faire écrouler en partit les lieux alentours pour ralentir la progression de n’importe qui. Que ce soit un gradé, un soldat... Ou n’importe qui. Et finalement, gagner du temps. Une fois mes compagnons en sécurités, je pourrais m’amuser à moi-même m’enfuir, tout ce dont j’avais besoin, c’est de retenir n’importe qui pendant trente petites secondes. Me propulsant vers l’arrière, je gardais en visuel la quasi-vampire et principalement sa voix. Je ne pouvais me fier qu’à mon regard et mon haki à défaut de pouvoir entendre désormais les bruits de l’environnement alentour. Serrant le poing fermement, je ressentais cette rage bouillonner en moi, cette sensation de force parcourir mon bras. Mon prochain coup pour parer ou frapper serait imprégné de cette rage qui s’accumulait à chaque affrontements intenses.
“ Toujours là pour faire chier hein ? “
Je m’adressais aux mouettes, même si je ne pouvais guère entendre leurs dires. Lire sur les lèvres était à peu près dans mes cordes, mais avouons le... Je n’avais guère envie de le faire.
résumé:
Aloooooors. Ren décide de prévenir les autres, il hurle et Klyde pousse Senshi. Cependant, il se fait joliment trancher au bras... Ren avant de foncer sur Malia commence donc à appliquer une mesure décisive pour lui. Il se crève les tympans de force pour ne plus être sous l'effet d'une quelconque musique, du moins en théorie. Il fonce ensuite sur Malia et tente de la frapper tout en focalisant son haki de l'observation. Il tente de la frapper et faire exploser le coup, la puissance de l'explosion est la plus puissante qui soit. Il tente de gagner du temps pour Senshi et Klyde qui continuent de courir afin d'échapper aux sons de Carlton et à n'importe qui donc. Ren se recule et reste sur ses gardes.
Niveau des protagonistes:
Krake > 37.5 Ayabusa > 35 Klyde > 36 Senshi > 34
tech utilisées:
Ren : • Haki de l'observation • Explosion: Son style de combat permet au jeune homme de faire exploser ses coups, cependant, la puissance de ces derniers varie selon sa préparation. V4 : Ces explosions demandent au moins 15 secondes de préparation. Leur puissance est capable d'endommager un navire de guerre et de causer grand mal à un navire moyen.
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Dita | Epicode
Ren Tao
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Dim 4 Juin - 21:28
John Dillinger, primé à 71.000.000 berrys.
-C'est franchement d'la booooombe !
Ce pauvre John fut malencontreusement coupé dans son élan : un être massif et manifestement musculeux tenta de lui décocher un coup de poing en traître au niveau du dos, profitant de son état de transe pour lui passer les menottes. Pas sourd pour autant, le primé avait entendu et anticipé, quoique très partiellement, l'arrivée et l'offensive de son adversaire. Il avait par conséquent eut l'occasion d'ériger une maigre défense : son bras gauche tenta maladroitement de repousser l'assaillant, sans y parvenir en aucun cas. Il sentit son corps s'élever dans les cieux et fit un léger vol plané, le bras engourdi, après ce déferlement de puissance brute qu'il n'avait qu'à demi envisagé. Comment diable aurait-il pu penser que ces types venus assistés à un concert en plein air se montreraient belliqueux ? Certes, leur appartenance manifeste au Gouvernement Mondial et son propre penchant pour les crimes aurait dû l'en informer mais le pauvre homme, tout obnubilé qu'il était par les véritables dons musicaux du vice-amiral, n'avait pas pu s'y préparer à temps. Tout en grognant et en grimaçant, se frottant énergiquement le biceps qui avait été percuté par l'homme-animal, l'apprenti mélomane entrepris de se relever avec promptitude pour pointer du doigt successivement l'homme de scène et celui qui lui apparaissait désormais comme un entremetteur fortuit et outrageusement agressif, ne tardant guère à prendre la parole sans pour autant joindre les actes aux mots, toujours maintenu à un état défensif par les sons produits par le vice-amiral Carlton.
-Hey ! T'as pas l'droit de frapper des gens dans des concerts ! C'est défendu, prohibé ! Bip bip !
Et tandis qu'il faisait avec une application démesurée un geste de la croix grâce à ses deux avants-bras, le Dillinger sentit soudainement une espèce de ficelle enrouler ses deux membres et les plaquer l'un contre l'autre avec d'autant plus de fermeté. Avant même qu'il n'ait le temps de s'interroger quant à cette manifestation étrange, il sentit ce fil venu de nulle part l'attirer avec puissance quelques mètres au loin, l'écartant momentanément de son adversaire désigné. Il fut par la suite réceptionné par un coup de pied copieux en plein dans le visage, lequel le sonna temporairement et lui éclata le nez joliment, chose probablement nécessaire pour le ramener à la raison.
Kaïler, primé à 111.000.000 berrys.
-Yo... Tu m'excuses, mais on se casse... -Kaïler ! Mais nan, on reste, c'est super cool et... -Epargne-moi ton plaidoyer, bonhomme... J'entends rien, là...
En guise de bonne foi, Kaïler tourna légèrement la tête, montrant un bouchon d'oreille qui obstruait totalement son tympan, empêchant par la même le vice-amiral Carlton d'user de sa propre personne selon son bon vouloir. N'accordant que très peu d'attention au colonel qui avait cogné John, rangeant d'emblée celui-là dans la case des ridicules menaces qui habitaient cette place, le redoutable criminel reporta plutôt son attention sur le musicien en question, lequel se trouvait sur une scène à plusieurs dizaines de mètres d'eux deux. Ils se connaissaient assez bien, pour s'être déjà combattu, et l'envoyé de Konan ne doutait pas un seul instant que le marine souhaiterait lui mettre le grappin dessus s'il en avait l'occasion : la priorité absolue était donc de quitter Paradise avant qu'il ne s'en donne les moyens, d'autant plus que la diversion leur était toute accordée. Effectivement, une autre vice-amirale semblait s'en donner à cœur joie en poursuivant d'autres hauts-primés ayant malencontreusement décidé de se joindre à la petite beuverie... Sans prendre la peine de défaire le fil qui enserrait les bras de son collègue, le haut-primé tourna donc les talons et se mit donc à cavaler en direction du Millésime, traînant derrière lui sans le moindre ménagement son pauvre collègue qui pestait et râlait sans s'arrêter. Pas fou et étant logiquement privé de son ouïe, le criminel jetait toutefois à intervalles très réguliers des regards sérieux et scrutateurs vers l'arrière, afin d'être certain que rien ni personne ne le menaçait directement. Il valait mieux ne pas compter sur Napoléon et les autres, dans l'état des choses... Ils auraient bien assez à faire pour briser le blocus que souhaitaient sans doute instaurer les forces du Gouvernement Mondial. Mieux valait conserver quelques atouts précieusement cachés jusqu'à ce moment précis.
Phazia, primée à 246.000.000 berrys.
Un mouvement de panique venait de naître. Les marines venaient de passer d'appréhender et d'arrêter un certain nombre de criminels dans la foule, réveillant plus ou moins malencontreusement les civils présents, lesquels venaient de comprendre qu'ils se trouvaient au beau milieu d'un champ de bataille... Autrement dit, un certain nombre d'entre eux, paniqués, cherchaient dorénavant à quitter les lieux au plus vite pour éviter d'être pris dans un conflit qui les dépassait totalement. Choix lucide et intelligent, mais qui ne satisfaisait qu'à demi Phazia, laquelle, toujours du haut de son perchoir, fronça les sourcils avec agacement. Si cette petite fête se voyait aussi vite dépossédée de son désespoir, elle ne devenait ni plus ni moins qu'une glorieuse victoire dont il faudrait créditer le Gouvernement Mondial local... Or, rien ne l'irritait plus qu'une réussite absolue, a fortiori lorsqu'elle souriait aux forces de la marine. Sans prêter la moindre attention à Kaïler et à John qui s'en allaient dans la direction opposée de la majorité des citoyens, lesquels avaient plutôt tendance à suivre Klyde et Senshi, à l'écart du duel sanglant qui semblait s'engager entre Malia et Ren, la primée se jeta du haut du toit et retomba agilement face à la foule qui s'agglutinait pour quitter la place portuaire au plus vite. Les deux membres de Shadow Ghost et leur otage, en première ligne, eurent alors l'occasion de lorgner le sourire dément et déranger qui naissait sur son visage : elle était prête à répandre le chaos et l'enfer, car c'était précisément de ce genre de malheurs à grand échelle qu'elle aspirait à se repaître.
-Zettai-tekina zetsubō.
Ces mots, vides de toute émotion positive, semblèrent sonner comme un glas funeste et terrible. Avec aisance, Phazia s'empara de son propre hachoir et le tira de son reposoir, tranchant alors les cieux avec une virulence et une rapidité inouïe. Si personne ne se trouvait à portée immédiate, un œil averti aurait rapidement pu comprendre que l'objectif n'était à la vérité pas de tuer... Il était tout autre. Car la chose qui naquit de ce mouvement n'était en aucun cas une lame d'air traditionnelle, pas plus qu'une banalité physique qui aurait pu s'expliquer par un mécanisme quelconque. Une espèce d'onde transparente et à peine visible s'éleva effectivement, et traversa tour à tour tous ceux qui se trouvaient face à elle et qui n'avaient pas eu pour réflexe de l'éviter à temps. Elle perdit en intensité, tandis qu'elle traversait les civils qui se trouvaient derrière Klyde et Senshi, et en vint finalement à s'évanouir totalement, laissant une seconde durant un moment de flottement avant que ses effets ne se dévoilent finalement.
La vague de panique fut remplacée par un effroi véritable, par une peur viscérale ou bien par une haine croissante et incommensurable. Si les derniers civils touchés par cette onde étrange furent simplement ralentis dans leur folle course, comme épris d'un doute et d'un découragement puissant, les premiers se jetèrent tout simplement les uns sur les autres, brisant et tuant ce qui pouvait l'être, générant ainsi une pagaille incroyable. La voix légère et glaciale de Phazia se fit alors à nouveau entendre, teintée d'un amusement des plus lugubres...
-Bien... Répandez le chaos, partout...
Je considère que tous les criminels exceptés John se font coffrer. Kaïler intervient pour sauver John une fois que celui-ci s'est fait cogner par le marine. Il l'embarque de force en évitant les conflits (autant que faire se peut).
Phazia retombe face à Senshi et Klyde, et envoie une espèce de lame d'air. Celle-ci, si elle vous traverse, ne vous fait pas de mal mais vous plonge dans un état de désespoir plus ou moins décroissant en fonction de votre éloignement. En première ligne (Senshi, Klyde et les premiers civils), les effets sont les plus conséquents. Les gens qui s'y trouvent tombent à la limite de la folie furieuse : ils sont épris d'un désir de brutalité et de violence. La plupart d'entre eux se tabassent, d'autres peuvent lancer des pavés à droite à gauche, mais une autre partie non négligeable peut simplement se tourner en direction des civils non atteints et des marines, un peu plus loin. En second lieu, les effets sont moindres mais néanmoins importants. Les gens s'effondrent, se lamentent, mais plus par fatalité que par peur, finalement. Ils considèrent juste qu'ils sont perdus, que l'espoir n'existe plus, en fait. Enfin, les personnes les plus éloignées (éventuellement Ren et Malia, au mieux) sont juste légèrement découragées, mais rien de plus.
Je parle pas de Nap' et des autres ce tour-ci, mais ils vivent aussi !
Napoléon est lvl 39. Phazia est lvl 39. Kaïler est lvl 38. John Dillinger est lvl 32.
Les niveaux d'Ippo, de Jen, de Göz, de Mede et de Joseph sont inconnus !
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Lun 5 Juin - 20:51
Malia Hijima
Alors que le Tao semblait vouloir prendre le temps de se préparer, la vampire avait avalé la vitesse avec une prestance remarquable. Elle s'était contentée de mouvoir avec aisance sa lame pour faire saigner le criminel et en lui tranchant la main de part en part, la séparant potentiellement en deux. Ce type de technique, elle en usait et en abusait, prenant le temps de réduire les membres, les tendons de ses opposants à néant. Elle-même bénéficiait d'un atout racial peu utile pour le moment – il faisait trop beau. En un rien de temps, elle s'était dit qu'elle pourrait pourtant venir à bout de son opposant. Ainsi, ses pas mesurés et graciles avaient eu raison des quelques mètres qui la séparait du roux, à présent sourd.
Continuant son action, elle détacha son épée tenue par l'arrière et l'utilisa de manière tout à fait anodine, un tour sur elle-même à un mètre du sol, continuant sa tranche avec une lame d'air à bout portant. Ce fut à ce moment-là que l'attaque de Phazia la traversa, et qu'elle se sentit légèrement découragée. Elle ne comprit pas d'où ce sentiment venait, et sa volonté s'en retrouva fort atteinte. Pourtant, ce léger problème passager ne fit que diminuer la puissance de sa lame d'air. Lorsqu'elle posa le regard sur la personne qui était à l'origine de ce problème passager, elle maugréa et comprit l'ensemble de la situation.
- Quelle plaie, fit-elle en observant Carlton arriver sur les lieux, avant de reprendre ses assauts.
Vice-Amiral Carlton
Carlton avait avancé à vitesse grand V. Au départ à la poursuite de Kaïler et de John, avec le Colonel, il s'était détourné de son objectif principal pour s'opposer directement à l'endroit où les civils avaient commencé à s'étriper. Il n'aimait pas ce type de spectacle, et même s'il ne doutait pas que cette île pullulait de hors-la-lois, il était douteux de croire que ce type de scènes se produisait souvent. Avec sa guitare dans la main, et le Cy-Wolf qui le suivait toujours fièrement, il avait donc continuer à faire paraître une musique qui adoucissait les mœurs. Si leur désespoir était profond au point de s'entretuer, ils pourraient au moins vivre une haine douce et indolore, c'est à dire incapables de se jeter les uns sur les autres.
- Une putain de hors-la-loi qui va finir sous les barreaux ! Hurla le Vice-Amiral en modulant sa mélodie pour qu'elle commence à endormir tous ceux qui l'entendaient, à l'exception de lui-même et du Cy-Wolf.
Petit problème qui le poussait à ne pas utiliser cette technique très souvent : elle pouvait provoquer des amnésies, des vomissements et tout un tas d'effets secondaires, toujours plus agréables que de finir sa vie des mains de son voisin.
Richard Borderline
- Vice-Amiral Borderline... Les navires commencent à se déplacer. - D'accord, Lazard. Que tous se tiennent prêts ! Lança-t-il tandis que les forces de la marine prenaient de l'ampleur autour de l'île.
Douze navires, un large périmètre... Et une barque avec un homme dessus, qui venait d'être larguée au pied d'un des navires de guerre, suite à l'ouverture d'une trappe. De toute évidence, il s'agissait d'un homme issu des forces de Malia Hajima. Avec ses airs de scientifique, et sa machine en forme de sphère sur son navire, il semblait inoffensif. Et pourtant, il valait mieux prendre en compte sa présence dans tous les cas !
Malia attaque Ren et tente de lui couper la main pendant le processus. Le Vice-Amiral Carlton commence par poursuivre Kaïler mais finalement est attiré par les mouvements de foules et de meurtres et emploie sa musique pour apaiser puis endormir. Le Colonel Fox le suit.
Actuellement nommés :
Vice-Amiral Richard Bordelieu (??) Vice-Amirale Malia Hijima (43) Vice-Amirale Mojini Kisa (??) Vice-Amiral Carlton (38) - Aptitude liée au son Colonel Fox (31) - Zoan du Gorille Commandant Doubt (27) - Masse d'Arme
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Mar 6 Juin - 15:57
Ren Tao
Pnj
Surprise
Le duo de comparse continuait sa route alors que Ren permettait une fuite potable. Cependant, tout allait bien jusqu’à l’apparition de cette drôle de silhouette. Trop tard pour esquiver, alors que Senshi courait et ne comptait pas s’arrêter, Klyde quant à lui faisait de même ne se doutant guère de ce qui allait se passer. Il s’agissait là d’un réel problème universel ce soir... Les gens capable d’influencer les autres personnes via des aptitudes ou autres s’étaient données rendez-vous et pour cause, après Carlton, voici une ennemie inconnue qui frappait fort. Incapable d’éviter, le duo se fit traverser par cette drôle d’attaque. Fruit du démon ? Haki ? Aptitude spéciale ? Quelle que soit la logique qui s’appliquait lors de ce coup, le couple réagit aussitôt alors que leurs cerveaux étaient mis à mal par ce coup. En effet, ils ne s’arrêtaient pas de courir, mais leurs mentalités changeait du tout au tout. Sentant son coeur s’emballer, Senshi chercha du regard une cible et quand ses yeux tombaient sur Klyde, quoi de mieux qu’un punch dans sa face pour l’attaquer ? L’homme parait l’attaque de peu, mais fut projeté dans un mur. Pendant qu’il s’en remettait, la combattante reprit sa route mais avec la ferme intention de faire du mal autour d’elle. Que ce soit des passants, des civils ou même de possibles alliés, elle fracassait tout sur son passage allant même jusqu’à se servir de son otage telle une massue sur les choses suspectes face à elle. Klyde quant à lui n’arriva pas à continuer son chemin et se tourna vers des civils vraiment au mauvais endroit au mauvais moment. L’homme aux capacités martiales dévastatrices se mit à exécuter quelques unes de ses techniques meurtrières sur des gens appliquant suplex et autres attaques de catch sur eux avant de commencer à avancer toujours en provoquant un large chaos face à lui bien déterminé à se venger de la personne qui l’avait projeté un peu plus tôt. Drôle de couple non ?
La marine est toujours ennuyante à souhait, mais là, plutôt que ce soit lassant, je jouissais de la situation. Enfin le fruit de nombreux efforts se réalisait. Ils nous prenaient enfin au sérieux. Face à cette Vice-Amirale, j’avais tout le loisir de me battre comme je l’avais toujours voulu : sans limites. Au contraire, je devais me montrer stratège, violent, implacable et montrer que peu importe leurs coups, je me relèverais toujours, je serais toujours plus cruel. Qu’ils me frappent une fois, je leur rendrais leurs coups en dix fois plus fort. Qu’ils me fassent tomber une fois, je me vengerais cent fois... J’étais, je suis et serais toujours Ren Tao et ça, personne ne me le retirera. Qu’ils soient seuls ou des milliers, je me présenterais toujours face à eux et empêcherait quiconque de faire du mal à mes comparses excepté ceux que je voudrais sacrifier, mais ce soit, personne n’est sur cette liste. Je veux repartir saint et sauf, alors tel sera le cas, telle est ma volonté. Mon égo est trop grand ? Il en a toujours été ainsi et ce sera toujours le cas... Ainsi, alors qu’elle tentait de parer mon coup, mon haki de l’observation focalisé sur elle me fit clairement comprendre ses intentions. Je ne pouvais pas me permettre de perdre une main, pas de la façon dont elle le voyait, ce serais trop handicapant. Je me devais donc contrer son attaque pour en tirer profit. Pas question de fuir, assez avec ça. Fronçant les sourcils, si elle se posait mille et une question - et en supposant qu’elle n’ait pas de haki de l’observation - celle-ci pourrait vite comprendre que je n’allais pas totalement esquiver. Déviant avec rapidité mon attaque pour éviter que ma main soit coupée au niveau du poignet, je tentais en revanche de la toucher, mais l’explosion eu lieu et je retenais un grand nombre de juron quand je ressentis que sa lame avait quand même eu le temps de pénétrer ma chaire, ouvrant correctement ma main. Certes, pas au moins de la faire se dissocier en deux parties, mais assez pour me clairement me faire comprendre qu’elle était dead. L’utiliser au combat serait clairement suicidaire.
“ ‘Chier... Tu crois que je vais te laisser t’en tirer ainsi ? “
Et tandis qu’elle enchaînait avec un coup, j’avais ressentis une drôle de sensation. Contre mon gré, ma motivation à poursuivre les assauts contre elle se stoppaient. Un sentiment d’impuissance m’envahissait me forçant à me dire “ je ne peux pas gagner, je dois fuir “. Du désespoir ? Quelle blague... Quand bien même je ne pouvais pas lutter contre cette envie, mon subconscient était enragé que je sois obligé de subir ça. Tsss... Contrarié au plus haut point, encore une fois je ne pouvais pas affronter tranquillement un adversaire qui aurait ajouter un peu de prestige à mon palmarès. Non... Encore et encore j’étais gêné, incapable d’être en paix ou purement en pleine possession de mes moyens. J’en rageais intérieurement au point de désirer toutes les personnes présentes sur l’île mortes, mais encore une fois, mes pensées et les agissements de mon corps ne concordaient pas. Aujourd’hui, l’ennemi avait la capacité de m’empêcher de faire ce que je désire et autant le dire, ce genre de capacité était trop handicapante pour me permettre de combattre raisonnablement. Note à moi même, acquérir ce genre de personnage afin de devenir plus compétitif et éviter un échec comme ce soir une fois de plus.
Pendant que je me retournais, je préparais de plus belle une explosion afin d’avoir toujours un atout sous ma manche, mais cette fois, pas aussi puissante que les autres. Optant pour la plus rapide en terme de préparations, je m’en servais pour frapper le sol et l’exploser, créant un imposant nuage de poussière. Le but ? Masquer ma fuite, gagner du temps et tandis que je profitais de la distraction pour fuir, je m’engouffrais dans un bâtiment afin de prendre un léger détour, mais brouiller les possibles pistes. Sans le savoir, je m’évitais un possible face à face avec celle qui était la responsable de cet état “ découragé “ bien que petit à petit, les choses semblaient revenir à la normal. Qui plus est, quand cela fut le cas, je m’arrachais une partie d’une manche pour enrouler ma main et minimiser le saignement en plus de capter que j'avais encaisser une lame d'air qui même si elle était affaiblie avait bien endommagé mon dos. Gardant mon haki actif, je traquais mes compagnons pour les rejoindre au plus vite. Si rien ni personne ne venaient nous gêner - cela relèverais du miracle - nous serions bientôt proche de l’extrémité de l’île, là où le navire attendait, déjà en mer à quelques mètres de là.
résumé:
Aloooooors.
La partie contre Malia a été vue ( il y avait une coquille dans le poste mj ).
Donc, Klyde et Senshi se font avoir, incapable d'esquiver et donc senshi frappe klyde. Ce dernier est encastré dans un mur... Senshi reprends sa course en faisant des dégâts tout autour d'elle. Klyde casse quelques bouches avant de partir à la chasse à Senshi désirant se venger ( sauf si l'état secondaire s'estompe ). Si rien les arrête spécifiquement, la course reprend vers la côte de l'île.
Ren de son côté, donc il sacrifie une partie de sa main ( trop ) pour continuer le coup. Pouf explosion et alors qu'il allait repartir à l'assaut il encaisse la lame d'air affaiblie ( précisé plus tard dans le post, j'avais zappé au dernier moment ce détail é_è ). Il fait exploser brutalement le sol pour créer un écran de poussière et profite des bâtiments pour fuir. Il évite ainsi de faire face à Phazia et tente d'échapper à Malia en prenant des chemins sinueux ( bâtiment, cours etcetc ). Haki actif pour compenser sa surdité.
Si rien ne viens les déranger, Ren, Senshi et Klyde approche donc de la côte pour rejoindre le navire qui est déjà à quelques mètres de l'île. Dès qu'ils voient des navires marines, on peut considérer qu'ils manœuvrent pour partir.
Niveau des protagonistes:
Krake > 37.5 Ayabusa > 35 Klyde > 36 Senshi > 34
tech utilisées:
Ren : • Haki de l'observation • Explosion: Son style de combat permet au jeune homme de faire exploser ses coups, cependant, la puissance de ces derniers varie selon sa préparation. v2 : Ces explosions demandent au minimum 5 secondes de préparation. Leur puissance est capable de rivaliser avec les explosions de boulet de canon.
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Il n'y a qu'une seule vérité...
Ce monde m'appartient.
Dita | Epicode
Ren Tao
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Jeu 8 Juin - 22:02
Kaïler, primé à 111.000.000 berrys, et John Dillinger, primé à 71.000.000 berrys.
-Ils nous ont lâché... -Tu pourrais faire pareil ! -Hein ? -Tes bouchons d'oreille, putain ! Enlève-les !
Kaïler haussa les épaules nonchalamment tout en continuant à traîner le pauvre John, lequel se débattait plus ou moins mollement pour retrouver un semblant de dignité. Il n'avait pas compris la supplique de son collègue et ne souhaitait pas se creuser les méninges pour comprendre le sens de ses mots : il se contentait de songer à ce qui avait pu pousser Carlton à se désintéresser si subitement de lui. La seule hypothèse viable qui lui sautait aux mirettes, c'était évidemment l'intervention de Phazia, cette sale dingue qui risquait de causer un massacre effroyable si elle se mêlait à une telle situation en y allant à fond. Cela, en tout cas, n'avait pas empêché le colonel de continuer à les suivre à la trace, espérant vainement les rattraper. Malheureusement pour la mouette, le haut-primé était bien trop rapide et bien trop rompu au périlleux art de la fuite. Combattre au nom de Konan vous forçait à appréhender les risques, et de très loin... Et donc, mécaniquement, à les esquiver subtilement. Se doutant que le zoan ne serait toutefois pas un problème lorsqu'ils auraient remis les pieds sur le Millésime, il se contenta de continuer à avancer, remarquant au passage qu'un bon nombre de matelots de leur navire étaient encore et toujours dispersés. A ce rythme, ils allaient devoir en abandonner un certain nombre sur place... Ils finiraient par les retrouver, puisque leurs profils n'étaient pas connus des forces du Gouvernement Mondial, mais cela signifiait qu'ils allaient devoir entamer les manœuvres avec une main d'oeuvre relativement restreinte. Une nouvelle pas franchement revigorante, pour lui qui n'appréciait que très modérément les tâches physiques et rébarbatives. Dans tous les cas, le duo fut bientôt à portée du navire et, à ce moment-là, l'envoyé d'Harishigawa n'hésita pas l'ombre d'un instant : il jeta le Dillinger en direction du pont avant de se retourner violemment, un sourire amusé sur les lèvres. Le marine était pugnace : tant mieux. Il n'avait plus qu'à faire un cadeau d'adieu à Carlton avant de prendre la mer... Il déploya alors ses fils en acier autour de ses doigts, mais n'eut jamais l'occasion de s'en servir.
Napoléon, primé à 150 berrys.
L'homme-bête-tontatta tomba littéralement du ciel, amenant dans son sillon les pauvres Jen et Ippo qui, fatalement, se trouvaient encore et toujours traîné par les supérieurs, attachés aux chevilles par d'immenses mèches de poils. Avant même que Kaïler n'ait l'occasion de réagir, trop surpris à cause de la disparition temporaire de son sens de l'ouïe, Napoléon l'avait également attrapé par les jambes et s'était projeté en direction du Millésime, faussant promptement compagnie au marine et empêchant l'autre hors-la-loi de s'abandonner à une brutalité sanguinaire. Il expliqua sommairement ses pensées, sans savoir que son collègue n'était pas même capable de l'écouter.
-Pas de zèle, Kaïler-kun ! Sinon, ils vont nous courir après ! N'est-ce pas ?
Car quitter l'île était une chose, mais fausser compagnie aux marines en était une autre. L'Archipel Paradise était sans aucun doute l'objet de leur présence, puisque personne n'aurait dû être au courant de la présence de Napoléon et des autres ici bas... De facto, tant qu'ils ne se montraient pas ostensiblement provocateurs, les hors-la-loi allaient sans doute posséder l'opportunité de quitter les lieux sans avoir d'innombrables flottes de guerre sur leurs talons. Un atout non négligeable si l'on considérait les têtes d'affiches affiliées pour l'occasion au vice-amiral Borderline... Même Napoléon n'avait pas franchement l'ambition de se frotter à Hajime Malia dans un avenir proche.
Phazia, primée à 246.000.000 berrys.
Son premier mouvement s'était vu largement récompensé : un bon nombre de civils en tout genre se livraient désormais à des actes d'une sauvagerie incommensurable, ne considérant plus leur humanité et leurs qualités empathiques originelles. Le plus formidable avec un tel pouvoir, c'est qu'il ne gommait en rien les souvenirs ou les sentiments de culpabilité de ses victimes : dès lors qu'ils reprendraient leur état d'esprit normal, ils se rendraient compte qu'ils s'étaient rendu coupables de tout un tas de crime odieux... Certains iraient potentiellement jusqu'à brutaliser voire jusqu'à tuer leurs proches. Combien d'entre eux pourraient alors conserver la tête froide et les idées claires ? A l'évocation de cette simple pensée de son subconscient, la jeune femme se mit à se trémousser langoureusement, clairement satisfaite de la destinée horrible à laquelle elle venait d'abandonner ces âmes autrefois si tristement innocentes. Plus rien ne serait jamais pareil, sur Paradise... Plus jamais. Néanmoins, rien n'était éternel, pas même le désespoir : si la première des hautes-gradés qui se trouvait sur place se contenta sobrement de se focaliser sur sa lutte, oubliant provisoirement les civils qui s'étripaient et s'écharpaient comme des chiens, un autre homme fit bientôt irruption, armé d'une guitare et souhaitant manifestement prendre les choses en main et calmer les excès de violence. Un objectif louable et pourvu d'un nombre incalculables de bonnes intentions... Qui donna immédiatement à Phazia l'envie d'arracher des yeux. Comment un homme si désintéressé pouvait-il lui faire face dignement et fièrement, sans même se rendre compte de sa condition misérable ? Ses yeux semblèrent virer au rouge, ses veines se mirent à battre et elle céda à la colère, hurlant d'une voix suraigu tout en se jetant dans la direction de Carlton, semblable à une furie plus qu'à une demoiselle :
-LAISSE LE DÉSESPOIR, ORDURE !
Elle souhaitait à tout prix interrompre cette mélopée qui, à terme, risquait de gommer a minima partiellement l'effet de son offensive et de rendre aux forces du Gouvernement Mondial le plein contrôle de la situation. Le moyen le plus aisé d'y mettre un terme n'était toutefois pas de s'en prendre frontalement à son créateur : ce musicien était un haut-gradé de la marine et devait, par conséquent, être doué de réflexes et de compétences corporelles diverses et variées. De toute manière, il n'était guère dans les us et coutumes de la mercenaire que de s'en prendre directement à ses adversaires : en règle générale, elle s'en prenait à ce qui leur était cher. Et, en l'occurrence, Phazia comprit bien promptement qu'elle atteindrait son but plus facilement en tranchant la guitare plutôt que son porteur. Elle tenta donc une tranche verticale vive et puissante en visant le manche de l'instrument, non sans générer au passage une large lame de désespoir qui se répandrait de la même manière que la précédente en visant tous ceux qui se trouvaient directement derrière Carlton.
Joseph Bonanno, primé à 44.000.000 berrys, et Göz, 85.585.000 berrys.
-Ca y est, tout le monde est là ! -Nop ! Manque Phazia ! -Peu importe, John-kun. N'est-ce pas ? Elle n'est qu'une mercenaire. N'est-ce pas ?
Joseph avait semblé enjoué avant d'être coupé par John, mais c'était le calme et la détermination que transmettait la voix sobre de Napoléon qui sembla revigorer le plus les hors-la-loi présents sur le pont du Millésime. Les forces de la marine avaient déployé un attirail phénoménal pour s'en prendre à l'archipel Paradise afin de passer un message clair aux diverses factions criminelles de South Blue, mais ça n'était pas suffisant pour s'en prendre à la fois à Ren Tao et aux envoyés de Konan. Autrement dit : ils pouvaient jouir d'une porte de sortie, à condition que les Shadow Ghosts reste derrière pour la leur tenir grande ouverte. Toutefois, Göz était bien loin du pragmatisme éhonté de l'homme-bête-tontatta : il restait focalisé sur la remarque de ce dernier quant à l'éventualité de laisser Phazia derrière. Qu'une mercenaire ? Lui et son frère en étaient aussi... Il avait tressailli à la compréhension de cette froide vérité, mais s'était contenté de la balayer sommairement peu de temps après. L'importance n'était pas là, pour l'heure : Phazia était dérangée et dangereuse, là où lui et son frère étaient d'importants éléments de l'effectif déployé sur l'océan... Enfin, c'est ce qu'il pensait. Il fut bientôt contraint de se reprendre lorsque Napoléon distribua vivement les rôles, renvoyant chacun à une corvée bien précise.
-Kaïler et Mede, protégez le Millésime. N'est-ce pas ? Ippo et Jen, occupez-vous de la contre-attaque. N'est-ce pas ? John, Joseph et Göz, aidez les matelots restant à manœuvrer. N'est-ce pas ? Je complète les trois rôles. N'est-ce pas ? -Faut qu'on contourne l'île ! Si on fonce dans l'armada, on pourra pas tout protéger, même à six ! Quand on sera au large, je gonflerai les voiles !
Napoléon répondit à la décision de Jen avec un hochement de tête bref mais loquace. Il comptait sur son collègue, car prendre les forces du Gouvernement Mondial de vitesse était une nécessité pour pouvoir quitter l'île avant que les choses ne se gâtent véritablement. Tous se mirent donc à leurs rôles, Kaïler mis-à-part.
-... Je dois... ?
Kaïler et John fuit. Puis Kaïler balance John sur le Millésime, se retourne... Et se fait embarquer par Napoléon.
De l'autre côté, Phazia décide d'attaquer Carlton, ou plutôt sa guitare : elle lui saute dessus et essaye d'en trancher le manche. Elle génère une lame de désespoir au passage.
Puis on retrouve le groupe sur le Millésime qui s'organise. Tout le monde se met au turbin, sauf Kaïler dont les oreilles sont encore bouchées.
Napoléon est lvl 39. Phazia est lvl 39. Kaïler est lvl 38. John Dillinger est lvl 32.
Les niveaux d'Ippo, de Jen, de Göz, de Mede et de Joseph sont inconnus !
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Sam 10 Juin - 11:56
Vice-Amiral Carlton, Kisa Mojini
- Désespoir, désespoir...
La lame de Phazia commençait à s'abattre.
- Je t'en foutrai du désesp...
Il n'eut pas le temps de terminer que le mouvement de son adversaire commença à s'abattre sur sa guitare tandis qu'il continuait à faire battre à la mélodie à son plein. S'il arrêtait, les civils qui se calmaient progressivement reprendraient de plus belle leur massacre tonitruant. Et avec la nouvelle lame lancée par son ennemie, il n'allait pas pouvoir aboutir à une puissance suffisante pour la contrer. S'il esquivait, il survivait. S'il continuait, son sacrifice inutile permettrait peut-être à un de ses collègues, potentiellement, d'interrompre le pouvoir de cette femme. Et quand soudain il n'eut plus le temps d'avoir de conflit interne, une flopée de lames d'air vint interrompre l'action de son adversaire alors même qu'elle était bien partie. En arrière plan, la Vice-Amirale Mojini, un casque sur la tête, avait posé le pied sur l'île et rejoint la bataille.
- Continue à jouer. Je prend la relève.
Elle s'avança vers Phazia, ses huit lames levées dans son dos tandis que le sommeil prenait de plus en plus les civils et alourdissait les paupières de tous ceux qui pouvaient l'entendre. La différence de puissance entre les deux femmes serait vite comblée par le support de Carlton. S'élançant vivement, d'un Soru, elle avala la distance qui la séparait de son adversaire. Deux ses lames vinrent tenter de piéger l'épée de l'ennemie, tandis que trois restèrent en retrait. Deux autres lames vinrent chercher à immobiliser la femme en la poignardant sur les deux flancs et la dernière prit un angle vers le bas pour la transpercer dans l'estomac.
Malia Hijima, Nes Bjerk
Malia avait été projetée dans les airs mais son corps s'était de lui-même remis en place, tel un réflexe du à sa grande expérience. Elle n'avait alors pas hésité à continuer, mais les formes n'y étaient pas : sa puissance n'était pas à son maximale tandis que le soleil brillait encore. C'était pour cela que l'homme dans le radeau s'était approché de l'île. C'était pour ça qu'il avait maladroitement commencé à s'engager dans les terres et qu'un nuage noir épais avait commencé à le suivre. C'était enfin pour cette raison que l'expert météorologue de la marine, le Contre-Amiral Nes Bjerk était venu avec sa machine à noircir le ciel. Tel un savant fou, il sillonnait les mers aux côtés de plusieurs de ses camarades pour optimiser leurs entrées. Ainsi, le soleil fut rapidement recouvert par un épais nuage orageux, et Malia Hajima retrouva enfin toutes ses forces.
- La chasse peut commencer, annonça le Contre-Amiral dans son coin.
Avec son Haki de l'Observation actif, elle était à même de retrouver le fripon qui pensait utiliser un écran de fumée pour la distancier. Et alors qu'elle avalait les distances à une vitesse remarquable, elle rejoignit bientôt l'un des bâtiments qu'avait traversé le hors-la-loi. À présent, avec ses sens exacerbés, elle était prête à donner le meilleur d'elle-même. Un sourire vint fendre ses lèvres. C'était l'excitation du combat, peut-être du à la peau un peu brûlée de son épaule. En arrivant sur le Tao, elle n'hésita pas : sa lame longue vint s'abattre telle une faux pour lui sectionner le cou.
Richard Borderline
Le Colonel Fox s'était arrêté à des dizaines de mètre du bateau des hors-la-lois. Alors que son Zoan lui avait permis de ne pas perdre de la distance, la vue de tant d'ennemis lui avait coupé l'envie d'aller se suicider en première ligne. Cependant, il avait eu le réflexe d'appeler Borderline, dont le premier réflexe fut bien sûr le plus pragmatique : il fallait libérer la zone où se trouvaient les hors-la-lois. Ne pas y aller. Surtout : Ne... pas... y... aller. Alors qu'il disait cela, les marines sur son bateau avait déjà commencé à enclencher l'une des pires armes de la Section Scientifique. Le Canon. Et dès qu'ils furent en vue du Millésime, le destin de ce navire et de ses occupants était déjà joué.
Phazia est attaquée par Mojini. Carlton apaise tout le monde normalement et endort les gars de Ren (à proximité, ils ne sont pas censés pouvoir massacrer des gens tant qu'ils entendent). Pour ce qui est de Ren, il est poursuivi par Malia qui, grâce à la technologie d'un Contre-Amiral qui lui est actuellement rattaché, peut bénéficier de ses aptitudes vampiriques à fond. Vous êtes éloignés des autres marines à présent. Enjoy !
Actuellement nommés :
Vice-Amiral Richard Bordelieu (??) Vice-Amirale Malia Hijima (43) Vice-Amirale Mojini Kisa (381) Vice-Amiral Carlton (38) - Aptitude liée au son Colonel Fox (31) - Zoan du Gorille Commandant Doubt (27) - Masse d'Arme
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Ren Tao
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Sam 10 Juin - 17:23
Ren Tao
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Croisement
Les choses allaient mal certes, mais il ne fallait pas baisser les bras me disais-je. Même si j’en étais aller jusqu’à sacrifier mon ouïe, mes autres sens n’en seraient que plus efficace. En terme de théorie c’est ce qu’il se fit. Seul mon “ mantra “ me permettrait de compenser cette perte pourtant si utile en combat. Grognant face à la douleur que je ressentais, je continuais ma route pour m’éloigner au plus vite. Mes compagnons avaient prit de l’avance, alors je devais me dépêcher...
Je me pensais seul, mais à mon grand regret, je ne vis pas l’atmosphère changer dehors et plus précisément la météo. Bordel de zut... Le ciel devenait sombre comme lors d’une nuit noire et cela allait jouer en la faveur d’une seule personne dans l’histoire. Traçant ma route au milieu de bâtiment pour ne pas être repéré facilement, quand je ressentis une voix que j’avais “ mémorisé “ quelques instants plus tôt, je ne pouvais qu’être heureux. Enfin un challenge seul. Vu la rapidité avec laquelle elle fonçait sur moi, je n’avais que quelques secondes de préparation et je ne pourrais pas être le plus dévastateur dans l’histoire... Ou du moins, si je ne la jouais pas fine. Après l’Archer, j’allais pouvoir me farcir un nouveau Vice-Amiral. Est-ce que ça allait finir pareil ? Non... Cette fois, je gagne, il n’y a pas d’autre alternative. Ainsi, quand la présence fut dans la même pièce que moi, il était temps de laisser parler nos aptitudes physiques et martiales. Poings chargés, j’étais prêt à faire un massacre, même si je devais penser à fuir, la situation n’était pas idéale pour un combat en face à face sans intervention d’un quelconque tiers. Plus je restais là et plus d’amis viendront l’aider, me mettant dans une situation délicate.
“ Voyons ce que tu as dans le ventre. “
Alors que son coup visait ma nuque, je lui montrais que je maîtrisais le haki de l’observation. D’un mouvement agile, je me retournais et me penchais sur la droite ( la gauche de Malia ) pour éviter son coup censé être mortal dans ce genre de situation. Sans m’être mis dans un angle nécessitant un appuie, mais une bonne force physique pour ne pas tomber à la renverse, je forçais sur mes muscles encore valides pour donner l’impression de donner un coup droit, mais surprise... Celui-ci était la main qu’elle avait réussit à trancher plus tôt et que je me décidais à ne pas utiliser en combat. Feinte donc, la réelle attaque eu lieu directement après mon esquive, je donna un direct du gauche se voulant dévastateur au niveau du ventre. Le petit plus dans tout ça ? Avec toutes ces émotions, je ressentais cette colère presque se transférer dans le poing, donnant une impression de force, de renforcement. Ayant préparé à l’avance l’explosion, si le coup arrivait à toucher ou dès qu’il serait prêt d’elle, l’explosion aurait lieu. Danger pour elle - à moins d’avoir un atout pour ne rien ressentir ? - alors que pour moi il s’agissait d’un réel atout, je me concentrerais par la suite par la fuite dans les airs, profitant du fait que l’endroit succombe à l’explosion pour utiliser le geppou et m’en aller par la voie des airs sans pour autant voler trop haut pour me désigner comme cible favorite des possibles tireurs d’élite. J’espérais que l’explosion et les gravats seraient suffisant pour me faire gagner de précieuses secondes. Si tel était le cas, elle pourrait voir que j’étais aussi bon en corps-à-corps explosif qu’en fuite. À défaut de posséder une capacité ressemblant au Soru - qui additionné au Geppou aurait donner lieu à un Kamisori, bien utile dans ce genre de situation - j’espérais compenser avec ma rapidité naturelle désormais. Catch me if you can. Je restais aux alertes, sachant très bien que la cavalerie n’était pas loin.
Senshi, Klyde
De son côté, Senshi continuait sa course destructrice, commençant à peine à retrouver ses esprits. Bien qu’en soit cela ne la change pas énormément comparé à d’habitude, elle maintenait l’otage fermement et approchait donc des côtes où le navire des S.G se montrait au loin. Bientôt, celle-ci se retourna pour devoir combattre son ex-compagnon encore sous l’emprise de la musique encore et pas décidé à s’en défaire. Mais alors qu’il lui avait sauté dessus pour essayer de l’étrangler, voilà qu’un jet d’eau massif manqua de les noyer, alors qu’une silhouette sortait de l’eau et s’approchait d’eux.
Krake ( 55M)
L’eau froide faisant presque effet de réveil matin brutal pour la situation. Après deux paires de claques bien méritées, Krake usa de son atout de race pour transférer les deux compagnons au navire en plus de les avoir réveiller, suite à quoi, il replongea pour chercher le chef si besoin était. Le plan étant mis en place? Ayabusa ordonna aux petits mercenaires faisant office de main d’oeuvre d’ouvrir grand les voiles. Le navire prenait de l’avance. Armé d’une longue vue, une petite fille, Mélina, observait les alentours commençant à voir des bouts de navires apparaitre. Partir était obligatoire où ce ne serait peut-être pas une personne qui serait capturée, mais toutes... Et ça, Ren avait été formel : hors de question. Krake était un choix idéal pour une fuite sous marines, il n’aurait aucun mal à rapatrier Ren sous l’eau, via sa nage rapide et en lui donnant de l’oxygène aussi souvent que possible. Seul bémol... Ren devra subir le courroux de l’eau salée sur ses plaies et n’aurait pas son mot à dire, bien qu’en soit c’est connu : Ren n’est pas douillet.
Ren VS Malia. Voilà un titre plaisant ♥ Ren avec son haki actif esquive le coup en la sentant venir, il contre attaque direct en faisant une feinte d'un côté avec sa main K.O et un direct du gauche spécial. Si tout se passe correctement, l'explosion menace clairement de détruire le lieu, alors il se barre par le toit via le Geppou. Si tout fonctionne, Malia pour le poursuivre doit deal avec l'explosion en soit, les gravats etcetc. Ren se casse par la voie des airs, " volant " en rase motte au niveau des toits pour ne pas être à la vue de possibles marines dans le coin et autant le dire, il prends pas son temps pour se barrer.
Senshi et Klyde arrivent à la côte donc et s'apprêtent à s'entretuer, mais voilà... Papa Krake arrive. Il les asperge avec de l'eau, deux baffes ( avec une touche de haki ) et hop, si aucune intervention spéciale, ils sont rapatriés en vitesse au navire. Encore si le poste n'est pas coupé, Ayabusa ordonne la manoeuvre de départ, alors que Krake retourne dans l'eau ( à voir en privé si vous voulez savoir s'il se rapproche des côtes, s'il va carrément retrouver Ren ou s'il attends dans l'eau ).
Niveau des protagonistes:
Krake > 37.5 Ayabusa > 35 Klyde > 36 Senshi > 34
tech utilisées:
Ren : • Haki de l'observation • Explosion: Son style de combat permet au jeune homme de faire exploser ses coups, cependant, la puissance de ces derniers varie selon sa préparation. v3 : Ces explosions demandent au minimum 10 secondes de préparation. Leur puissance est capable de raser un petit bateau de pêche et endommager sérieusement des navires moyens. + • Hurricane destruction : Concentrant ses forces dans un coup, l'homme créer une explosion massive, qui additionnée à sa force rend le coup dévastateur. > 42 ( ++ Manifestation de l'Armement ).
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Ce monde m'appartient.
Dita | Epicode
Ren Tao
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Dim 11 Juin - 17:19
Napoléon, primé à 150 berrys, et Jen Hissère, 200.000.000 berrys.
Ils s'étaient tous mis au travail, de concert : pour l'heure, les navires du Gouvernement Mondial n'étaient pas encore suffisamment menaçants et semblaient leur laisser un peu de marge de manœuvre. C'était une liberté qui ne tarderait sans doute pas à s'estomper mais qui, pour l'heure, était incontestablement profitable. Napoléon, d'un œil alerte, scrutait les membres de son équipage tandis que ceux-ci affrontaient les cordages avec expertise et doigté, achevant les préparatifs et permettant à leur navire de quitter progressivement les quais. Au large, la flotte de la marine semblait vouloir encercler toute cette partie de l'île... Il valait mieux tenter l'escapade sur les flancs des bâtiments navals plutôt que sur le centre de leur dispositif : il serait ainsi nettement plus aisé de le percer. L'idée était donc de longer les côtes, dans l'état des choses : cela permettrait également à Phazia, si elle le souhaitait, de les rattraper et de se joindre à eux pour quitter Paradise. Dans le cas contraire, la mercenaire finirait peut-être son tumultueux et sanglant parcours criminel ici bas... Sans le moindre regret, considérant que son aide n'était de toute façon pas indispensable et que l'agressivité manifeste du vice-amiral Borderline remettait en cause à elle seule la légitimité de leur présence sur South Blue, l'homme-bête-tontatta se concentrait bien plus sur les autres hors-la-loi présents. Ren Tao avait voulu profiter de la disparition de Rei Mitsuyori pour s'approprier son île... Cela en gênait pas franchement l'envoyé d'Harishigawa tant que leurs commerces et leurs économies locales n'étaient pas mises en péril. Malheureusement, l'hostilité du Tao à l'encontre de son propre patron n'était plus une simple rumeur : elle était fondée. De fait, le rouquin souhaitait sans aucun doute profiter de l'occasion pour détruire cet avant-poste underground installé quelques mois auparavant. C'était encore une fois une décision arrogante, que l'homme-bête-tontatta devait condamner, d'une manière ou d'une autre... Et la manière d'y parvenir lui vint bientôt à l'esprit, tandis qu'il remarquait le navire des Shadow Ghosts, lequel avait tout de même une large avance sur eux. Tandis que la voile s'ouvrait et se gonflait, il pivota donc en direction de Jen et prononça quelques paroles tout en lorgnant d'un regard attentif la flotte gouvernementale :
-Prépare-toi à agir, à mon signal, Jen. N'est-ce pas ?
L'homme opina du chef tout en attrapant son fusil et en se plaçant à l'arrière du bateau tandis que le reste de ses collègues achevaient déjà les derniers préparatifs. Sans plus attendre, Ippo délaissa à ses camarades les ultimes tâches et s'approcha du bastingage, seringues en main : le premier navire de la marine qui déciderait de s'approcher aurait tôt fait de regretter son impudence.
Phazia, primée à 246.000.000 berrys.
L'intervention virulente de la vice-amirale poussa Phazia à afficher une expression colérique et agacée. Elle n'aimait pas franchement l'idée d'être interrompue dans une telle situation : elle n'était pas en capacité d'empêcher le musicien de poursuivre son oeuvre maléfique, laquelle condamnait le désespoir à s'éteindre, ne fût-ce que temporairement, dans l'inconscience et le sommeil. Empêcher le chaos de se répandre était bien là une lubie gouvernementale : ces hommes qui ne comprenaient pas que l'humanité toute entière se repaissait de brutalité et de violence, de sang et de haine. Abhorrant tout aussi bien cette naïveté dont faisaient preuve les mouettes que leur apparente agressivité, la mercenaire brisa les lames d'air qui la menaçaient en reculant vivement, finalement, tentant de retrouver un tant soit peu de prudence et de sécurité. Elle était désormais en infériorité numérique et devait composer ainsi. La charge de Kisa, par la suite, la poussa à pester et à lâcher quelques jurons avant de se préparer à l'esquive : elle comprit au dernier moment que celle-ci allait être complexifiée par l'effet soporifique de la mélopée de Carlton. Tant et si bien que finalement, si elle parvint à repousser habilement les deux lames qui menaçaient son large coutelas et à se décaler suffisamment promptement pour s'épargner une blessure majeure, l'une des deux épées qui visaient son flanc parvint à l'y toucher, répandant un filet de sang à même le sol tandis qu'elle s'écartait toujours plus précipitamment, comprenant avec rage que la lutte n'était plus envisageable sereinement. Elle décida donc, dégoûtée, de changer de stratégie : elle projeta dans la direction de Kisa une large lame de désespoir horizontale, laquelle pouvait également traverser le musicien en retrait si rien n'était fait pour l'en empêcher. Par la suite et sans plus attendre, Phazia tenta de reprendre encore un peu plus de distance, s'éloignant davantage de la source principale de fatigue en espérant vainement que cela lui permette de se concentrer davantage sur l'affrontement qu'elle avait à mener. Autrement dit : elle jouait calmement et s'évitait une déconvenue trop infamante.
Le Millésime se tourne en direction du navire des SG et se met en route lentement.
Phazia se fait toucher au flanc mais arrive à s'évader, puis attaque d'une large lame de désespoir en visant Kisa et Carlton principalement.
Napoléon est lvl 39. Phazia est lvl 39. Kaïler est lvl 38. John Dillinger est lvl 32.
Les niveaux d'Ippo, de Jen, de Göz, de Mede et de Joseph sont inconnus !
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