|  Hier à 14:53  Midnight  |
- Nom : Ksananagol
- Prénom : Badha
- Surnom : Le Baron, Midnight, Le Treizième, Docteur.
- Âge : 35
- Sexe : Masculin
- Race : Humain
- Lieu de naissance : Grove 9
- Camp : Pirate
- Métier : Docteur.
- FDD / Arme : Soru soru si c'est possible, sinon je prendrai le Yomi Yomi (à voir.)
- Équipage : Les Nameless
- Buts / Rêves : Faire renaître les traditions de ses ancêtres, et découvrir les limites de ce monde.
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Description Physique
Les cheveux noirs ébène et tressés, débordaient de son chapeau haut de forme comme une cascade aux flots divergents et incontrôlables. L’extérieur reflétant l’intérieur, Midnight ne portait que des matières de qualités, et qui lui allaient au millimètre près. La soie de son chemisier fut vite défroissée dans un geste quasi automatique avant qu’il ne se releva du fauteuil qu’il occupait depuis des heures dans l’auberge sans rien dire.
Un cigare apparu entre ses lèvres, et un briquet fit son apparition dans ses mains bicolores … Il tira une première bouffée de ses lèvres généreuses avec beaucoup de satisfaction, on lisait très peu d’émotion sous le maquillage de cérémonie du médecin. Son œil rouge vif scruta la population locale avec beaucoup de condescendance. Il était du genre à juger au premier regard, lui-même souffrant de ses yeux bicolores, dont l’autre était bleu ciel… On accepte, on survit, on s’adapte, on a même sourit à la jeune demoiselle qui passait en remarquant le pirate et ses atours, lui, montrant une dentition probablement trop blanche pour quelqu’un de son type ; Sa peau était noire de jais, aussi foncée que l’obsidienne, et il possédait toutes les caractéristique d’une ethnie venant d’une île aux multiples visages et dont le numéro neuf était son centre.
Visage classique, patrimoine génétique plutôt bénéfique, il a une tête reconnaissable entre mille, si les différentes peintures qu’il portait au quotidien n’étaient pas déjà assez remarquables. Port altier, il marchait comme s’il créait l’espace sur quel il était en mouvement, une confiance en lui, un genre de secret qu’il connaît à l’instar de tous, en fait un être supérieur, presque goguenard dans sa façon de parler et de regarder, même.
Taillé à la serpe, son physique possède des angles agressifs, une musculature travaillée autant dans les travaux manuels, qu’avec des exercices physiques plus poussés et basés sur ses connaissances du corps humains en tant que médecin. D’ailleurs, on ne se doute jamais que l’individu, portant des os sur son chapeau et autours de sa gorge, au bout de ses doigts … Est de ceux qui peuvent vous garder en vie et c’est la toute les contradictions du Baron.
Le jour, il a une aura sereine, un côté chaleureux dans la voie, presque rassurant et solaire. La nuit, l’effet de la lune le rend terrifiant, sujet à des tics incontrôlés du visage, à une voix cassée, comme si la lune avait le pouvoir de le transformer, à l’instar du Sulong, mais à contrario de cette spécialité Mink, il n’y gagne aucune puissance physique, ni pouvoir ; Il est juste encore plus bizarre et fantasque que vous ne le pensiez, passant son temps, avec sa voix râpeuse, à parler à quelqu’un qui n’est, au final, pas la.
Son odeur est un mélange de fruit (des agrumes) et de quelque chose de profond et capiteux
Description Mentale
La psyché éclatée, les idées coloriées dans des nuances dissonantes, rêve déchiré ou brisé en plusieurs songe à explorer … Voilà comment fonctionne l’esprit du féticheur… Il est possédé, selon lui, par les nombreuses formes de Samedi, l’entité en charge des aspects de la mort et des cadavres sur terre et dans l’au delà dans sa culture. Celui qui en régit la résurrection aussi. En tout, ils sont quatre à se partager son enveloppe physique : Baron La Croix, qui représente le temps qui passe, toujours en retard et toujours pressé d’en finir, c’est l’humanité qui cherche le plaisir dans l’instantané ;
Baron Cimetière, qui s’occupe de faire passer les âmes dans l’au delà, et de donner sépulture décente à tous, même ses pires ennemis... Il est le cauchemar des pilleurs de tombes car il est capable de les attaquer et de piéger les tombes également ;
Baron Kriminel, le vengeur, le juge au tribunal de la mort, celui qui punit les bourreaux et les oppresseurs, les tueurs impunis sont son casse croûte préféré.
Et puis il y’a le [color:522c=#999999Baron de Minuit, un mélange de tout dans des ton grisâtres d’un jour de pluie, d’opalescence de la lune et de noir de la nuit. Il a ses parts d’ombre, ses zones de non dits dictées par le filtre de sa propre éducation. Fais pas ci, fais pas ça, et de sa propre expérience –car l’on ne peut tout dire à tout le monde, mais il y’a aussi ses contradictions, son instinct qui le pousse à se remettre en question sur lui-même. Serait-il vraiment un avatar de la mort, comme semblait le penser ses frères disparus ?
Doit il vraiment rééquilibrer les choses, se faire contrepoids de l’injustice actuelle ? Défendre le droit à la liberté de vivre et de mourir comme on le souhaite ? La mort et la justice ont de ça en commun qu’elles sont aveugles aux désirs des vivants et des humains. Et elles sont aussi aveugles à ses désirs à lui, non ? Un jour il aimerait pouvoir lui parler, à cette messagère impie dont le nom est inscrit en lettre de sang et d’encre sur son avant bras, rien de plus que des arabesques pour certains ; Tout un alphabet et des codes pour le vodoune, qui sait déchiffre les signes de l’invisible, comme de ressentir les entités qui veulent lui parler, ces entités enfermées en lui, tout ses Barons, tout cette culture qu’il a apprit par cœur, qu’il n’a jamais vraiment appris à questionner.
Le monde est vaste, aujourd’hui commence son voyage. Il quitte se terres conscrites de sa tribu pour un pèlerinage qui le mènera à la recherche des secrets de ce monde, et surtout, à la vengeance de sa peuplade, asservie et épuisée par la marine et sa machine en forme de rouleau compresseur ... Mais il sait, il sait bien...
Quand on veut stopper la pousse d’une plante, il faut en arracher jusqu'au dernières racines.
Histoire
31 octobre 1473 : Naissance. C’est le jour des morts, tout le monde est maquillé, déguisé, fêtant leur ancêtres disparus naturellement ou défendant leur bout de terre. Il faut dire le peuple de badha, était de ces sauvages coupés du monde moderne, mais qui, en bon gardien du territoire des ancêtres, et des trésors qu’il dissimulait, n’hésitait pas à prendre tout les risques, toutes les armes en os. Une entrée vers K'n-yan (le nouveau monde ndlr), se trouvait sur leur terre, et personne n’avait le droit de descendre dans le « domaine des dieux » selon la tribu, que le chef et ses plus proches conseillers.
XXX mars 1485 : Intrigué par tout ce qui touche au divin et à leur domaine, plutôt précoce dans le parlé complexe de la tribu, et courageux comme deux hommes adultes, le futur Baron rentre dans les petits papiers du chef de clan, on lui propose de s’entrainer avec les autres prétendant, à son éveil spirituel et à son voyage initiatique vers l’une des terres par de là les mers, ou la principale source de savoir, la guide de la peuplade, se trouve.
XXX janvier 1491 : Après un long apprentissage des lettres que l’on ne prononce jamais, et que l’on n’écrit que sur la peau – le chef de tribu a le corps entièrement tatoué, après une préparation physique intense, après des cérémonies et des invocation presque chamanique, par le conseiller spirituel, le porteur des « runes » indiquant qu’il sert l’esprit de Kalistambra, comme d’un pont vers les jeunes pousses, la course de l’éveil commence. Elle n’a de courses que le nom. En effet, ce n’est pas le premier à venir avec les offrandes à faire a Manwa, le dieu des dieu, qui aura sa place pour le voyage.
Il faut écouter son cœur et attendre que les tambours résonnent lui dit le féticheur, lui peignant le visage d’ocre et de blanc, les aspirants sont envoyés par-courir les terres consacrée de la mangrove encore instable par endroit. Devant parfois infiltrer les terres d’autre "clans" ou "grove" comme les appelle les étranger, ou se confronter à une nature qui peut se vouloir dangereuse et malicieuse. Presque mortelle.
XXX Juin 1493 : Dernier à revenir avec ses offrandes, Badha est accueillie avec une vague d’acclamation, des hourras, des chants retentirent. Un grand feu fut allumé la nuit tombant, des danses et une grande fête fut organisée en quelques heures. Il apprendra alors que c’était bien le contraire d’une course, que celle de l'eveil. On mangea les 5 animaux qu’il avait rapporté pour en offrir une partie aux vivants, et une autre aux dieux, le reste fut dévoré par sa tribu.
Il gardera encore les os de ses offrandes sur lui, une fois blanchies, jusqu'à sa mort.
Ces cinq animaux représentaient les cinq éléments primordiaux de la tribu : Le feu, l’air, l’eau, la terre et enfin, l’éther. Sans ses cinq représentations, la course était perdue. Beaucoup furent du concours, très peu du voyage, et c’est une poignée d’adolescents qui partirent avec celui qu’on nommait Marga, tout simplement. Sur une embarcation branlante, vestige d’un passé ou sa civilisation était plus avancée qu’aujourd’hui, on le mena jusqu’à l’Archipel. Jusqu’à ce que les gens prenaient pour une folle, sur l’archipel au éveillé, et qui était un guide dans la civilisation du jeune homme.
XXX XXX 1500 : U.C
Hors Roleplay - Pseudo : Zip
- Âge : trentaine
- Comment avez-vous connu le forum ? : top site
- Un mot à dire ? : Non.
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