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[Conquête] Une Recrue et Un Vieux Sage (Pv Filippe)
Kabayochi.M.Kiru
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Ven 21 Mar - 16:54

Une Belle Matinée!


Kiru était tout sourire en cette belle matinée qui annonçait une journée riche en événement. Il se trouvait sur le pas de la porte de sa maison, à observer les alentours en admirant les merveilles de la nature qui les entourait. Il rentra finalement à l’intérieur et se dirigea discrètement jusqu’à sa chambre encore plongée dans les ténèbres. Il aurait pu simplement ouvrir les volets pour laisser les rayons du jour pénétrer la pièce mais il préférait restait là, à contempler Caril dormir, le visage parfaitement en paix. Il se rallongea en douceur auprès d’elle, ne cessant de regarder ce doux visage qui lui avait tellement manqué pendant son année en mer. Il resta ainsi une bonne dizaine de minutes avant que la belle ne se réveille, ouvrant ses magnifiques yeux bleus et les posant sur le Révolutionnaire. En le voyant elle lui sourit, ses traits s’étirant pour former un visage joyeux tandis que sa main droite se portait à la tête du maudit. Elle se mit alors à jouer avec les cheveux du Commandant, s’amusant à faire glisser et tourner ses doigts dans l’épaisse chevelure de celui-ci. Le Golem prit alors la tête de la jeune femme dans ses mains pour déposer un long et doux baiser sur les lèvres de son aimée avant de se relever. Caril lui sourit une nouvelle fois et lui lança en voyant qu’il était déjà habillé :

Où vas-tu ce matin?

De nouvelles recrues vont bientôt arriver au port ... et la cargaison de bois et matériaux pour le chantier aussi.

Déjà? Ça signifie que tu vas aller voir Mingzi?

Je pense qu’il est temps effectivement.

Aussitôt la jeune femme lui sauta au cou, ses lèvres murmurant un léger "Courage" avant qu’elle ne l’embrasse à nouveau. Il lui rendit son baiser avant de se défaire de son emprise et de lui lancer un dernier sourire tandis qu’il se dirigeait vers la sortie. Refermant la porte derrière lui il demeura quelques secondes immobile, laissant le soleil réchauffer sa peau. Finalement il sortit de sa poche son Den Den Mushi et composa le numéro du Camp, attendant quelques secondes avant que Naito ne décroche et que le maudit ne lance avec rapidité :

Je veux vous voir toi et Kal dans trente minutes au port, on a de nouvelles recrues aujourd’hui.

Le soldat acquiesça et Kiru raccrocha son combiné avant de remettre l’animal dans sa poche et de se diriger vers la ville. Il marcha ainsi pendant cinq bonnes minutes avant de passer entre les premières maisons signifiant son arrivée dans la petite bourgade qui faisait office de ville principale de Las Camp. Il n’y avait ici guère plus d’une centaine de personnes, deux cent au grand maximum! Mais au moins cela faisait qu’il connaissait la totalité des habitants et les alentours restaient ainsi bien calmes. Il arriva finalement au port ou plutôt à la faible surface de pierre où accostaient les rares bateaux venant faire escale sur l’île perdue au milieu de West Blue. Il était vrai qu’étant en dehors des routes commerciales et n’ayant aucun réel attrait les habitants de l’île ne recevaient que peu de visiteurs. Ainsi les deux embarcations qui viendraient plus tard dans la matinée pour apporter deux types de colis différents au Révolutionnaire allaient être un événement. Toute la ville le remerciait souvent en ce moment car son Camp amenait un peu plus de nouveaux-venus sur l’île, faisant ainsi marcher les quelques commerces comme jamais il ne l’avaient fait avant, rendant la ville encore plus prospère qu’auparavant. Mais Kiru n’allait pas s’arrêter là, il comptait bien faire de ces lieux un endroit encore plus spécial, et cela passerait d’abord par la construction d’un Chantier Naval aux abords de la ville qui lui permettrait d’offrir de nouveaux emplois aux habitants et de lancer réellement l’économie locale. En attendant il devait attendre qu’arrivent ses recrues comme ses matériaux et tandis qu’un navire apparaissait peu à peu à l’horizon il alla saluer la tenancière de la seule taverne de l’île.


Il prit une bière qu’il sirota tranquillement en terrasse jusqu’à ce que le navire qu’il avait aperçu au loin ne parvienne au port et finisse de s’amarrer. Entre temps Naito et Kal l’avaient rejoint et tous les trois se levèrent pour se dresser devant le bateau, attendant simplement que leur colis leur soit livré. Kiru se força à effacer le sourire qui ornait son visage pour prendre un faciès beaucoup plus sérieux et austère. Ainsi lorsque les quatre recrues qu’il attendait descendirent il leur lança d’une voix grave :

Soldats mettez-vous en ligne devant moi!

Il ne parvenait plus à se rappeler s’il devait avoir quatre ou cinq recrues aujourd’hui mais il e saurait de toute façon assez tôt. Si un cinquième larron venait à descendre du navire il lui lancerait la même phrase qu’à ses compagnons et attendrait simplement que celui-ci se place avant de commencer la journée. Et celle-ci allait être chargée!



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Ven 21 Mar - 20:23



Le Grand Jour


A

ujourd'hui, je sentais qu'une belle matinée allait se présenter. Je sentais le vent toucher mon visage avec douceur et amour. J'entendais les quelques chansons matinales des rouges-gorges qui se posaient sur mon cédratier que j'avais planté lors de mon enfance. J'entendais les rires joyeux des villageois de l'île de Toroa qui me donnait un sentiment d'affection vis-à-vis d'eux. J'entendais le miaulement des chatons qui me caressaient afin d'espérer une quelconque nourriture venant de moi. En effet, depuis quelque temps, nous sommes dans une crise économique. Les visiteurs venaient de moins en moins. Les cargaisons des marchandises étaient interceptées par ces tyrans de la Marine. Les marchandises des commerçants étaient toujours volée par des Hors-La-Lois et des pauvres dont le nombre augmentait chaque jour. Je ne pouvais rester les bras croisés, je devais participer au mouvement de jeunes qui étaient en train de militer de différentes manières. Je devais le faire pour l'amour de la justice et pour l'amour que j'ai envers les habitants de l'île de Toroa. Alors, avec une grande motivation, je commençais à prendre un stylo et un cahier et j'écris ces quelques termes :

« - L'homme a beaucoup changé durant ses années de guerre. Autrefois, il était une lumière resplendissante qui était toujours victorieuse et pleine de magnanimité, mais comme vous le remarquerez, cette lumière se transforma en une entité satanique qui avait pour raison de vivre le massacre. L'éternelle confrontation des pirates et des marines a fait qu'empirer la situation en changeant l'homme en une bête dépourvut de cœur dont son visage, laid et moche, effrayait les entités angéliques.»

Ces quelques termes, disaient-ils, étaient un magnifique texte qui pourrait être inscrit en bas d'une affiche qui aurait pour objectif une réconciliation des factions, mais là, en effet, ils ne cherchaient point à réconcilier les factions, mais ils voulaient agir contre la tyrannie de la Marine et de la dangerosité des hors-La-Loi en faisant des "attentats" et des actions de rébellion. Ils ne voulaient pas utiliser des livres pour manifester leurs souffrances car, selon eux, le monde n'est plus sensible aux livres. D'ailleurs, ils me reprochaient toujours de ne jamais agir. Pourtant, j’écris de magnifiques écrits philosophiques et de poésies qui ont la plupart du temps comme thème la tyrannie. Mais bon comme vous le savez tous, la jalousie est l'une des principaux défauts de l'être humain difficilement éradicable.

Méditant sur la place publique, ayant eu un mouvement d'inattention, j'entendis de deux médisants que la révolution était en recherche de nouvelle recrue et qu'il devait se présenter au port de l'île de Toroa pour un embarquement immédiat en direction de Las Camps, île vierge sans autorité. Pensant que cela serait une opportunité pour montrer à mes comparses que je pouvais agir, je décidais d'y aller. Par conséquent, je pris un bout de bois qui me servirait de guide et mes affaires, puis j'allais en marchant difficilement vers le port.

Là-bas, à l'aide de ma canne et les chuchotements des personnes qui étaient à proximité de moi, je découvris qu'il y avait deux bateaux bien beaux qui se remplissaient faiblement. En effet, il y avait dans un bateau deux personnes et dans l'autres une. Par la suite, je décidais de rentrer dans le deuxième mais avant, les soldats m'examinèrent avec attention. Ils prirent mon pouls, mon poids, ma longueur. Ils me demandèrent où j'habite, où je passe mon temps, de quelle famille appartenais-je. Au bout d'un moment, ayant vu mon handicap, ils refusèrent que j'y aille dans le bateau. Par conséquent, avec une éloquence presque divine, j'expliquais ma venue dans le monde de la Révolution. Alors, ayant des larmes aux yeux, ils acceptèrent avec beaucoup d'émotions.

Là-dedans, tout était propre à croire que c'était un restaurant de haut grade. Je me sentais comme chez moi, d'ailleurs pour un aveugle, je bougeais beaucoup, même que les soldats qui nous escortaient ont dû me retenir plusieurs fois. Au fond de moi, je sentais que j'allais rester pendant toute ma vie un révolutionnaire, car, je m'y sentais bien en tant que telle, à croire que c'était ma destinée que d'être un révolutionnaire.

Lorsque nous étions arrivés au port de Las Camp, j'entendis d'une voix grave un beau jeune homme dépassant ma beauté dire :

« -Soldats mettez-vous en ligne devant moi ! »

Par conséquent, d'une marche sérieuse je m'alignais devant lui avec humilité. Je pensais au fond de mon être s'il accepterait un aveugle dans la révolution. Car, un aveugle a toujours besoin d'une personne ou d'un animal pour le guider et non pas le protéger car je sais me battre. Certainement, un aveugle est un handicap pour le bien.

Mes collègues, aussi vigoureux qu'ils étaient, semblaient devenir orgueilleux. Ils commençaient à gonfler leurs bras pour montrer leur puissance et leurs forces. Alors, sachant que cela est probablement une grave erreur, je me tiens droit en attendant les prochains ordres de mon chef
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Jeu 27 Mar - 6:59

Présentations!


En cette belle matinée le doux bruit des vagues berçait inlassablement les bateaux amarrés au port. Répétant encore et toujours le même ballet ancestral pour l’éternité au plus grand plaisir des marins. Au large de l’île de Las Camp une nouvelle ombre commençait à se dessiner, comme quelques minutes plus tôt un bateau pointait à l’horizon. Simple navire marchand faisant son travail sans savoir que les matériaux qu’il transportait signifiaient le début d’une nouvelle ère.

Kiru quant à lui faisait face aux quatre nouvelles recrues, les inspectant rapidement du regard pour finalement s’attarder sur l’une d’entre elles qui portait des lunettes. Il n’était pas courant de voir des combattants avec des lunettes certes mais si ces lunettes n’avaient pas été tintées le Commandant serait certainement passé outre. Il lança un regard interrogatif aux marchands qui descendaient à leur tour du navire, leur indiquant du menton l’homme aux lunettes lorsque l’une des recrues lui lança en retour :

Il est aveugle! Il ne sera qu’un fardeau!

Aussitôt le Golem tourna la tête vers celui qui venait d’intervenir, lui lançant un regard noir qui le fit rapidement rentrer dans le rang. Reportant son attention sur l’aveugle il réfléchit quelques secondes, après tout il était vrai qu’un tel handicap pouvait s’avérer un fardeau si on ne s’en occupait pas. Cependant cela représentait aussi un réel challenge pour l’homme de pierre qui y voyait un potentiel absolument énorme si ce jeune homme parvenait à développer ses capacités au-delà de ce handicap. En réalité cela pouvait même se transformer en une grande opportunité s’il parvenait à entrainer cette recrue comme il le voulait. Mais ce n’était pas pour autant qu’il allait traiter cet homme de manière différente, bien au contraire il allait certainement lui en demander plus pour tirer le meilleur de lui. Se reconcentrant finalement sur le moment présent il décida de montrer aux quatre hommes face à lui qu’ils n’étaient pas là en vacances et qu’ils devraient se battre pour s’améliorer. Prenant une longue inspiration il lança d’un ton sec :

Tout de suite vous me dîtes vos noms, prénoms, âges et raisons d’être ici! Et on enchaine sur trente pompes en l’honneur de la grande gueule!

Kiru n’avait pas l’habitude d’être un dur dans l’âme, en tout cas rarement avec ses soldats mais il avait bien vite remarqué que les recrues qui venaient le voir avaient souvent besoin d’être recadrées, pour certaines tout du moins. Dans un sens c’était pour le bien de la préparation de ces hommes qu’il devait se montrer dur comme un roc. Sur un champ de bataille l’ennemi ne les accueillerait pas avec des fleurs et s’ils n’étaient pas préparés aucun d’entre eux ne s’en sortiraient vivant. Certes il fallait bien mourir un jour et le champ de bataille était pour certain le meilleur endroit pour cela mais à chaque personne qui passait devant lui et qu’il entrainait Kiru donnait, en plus de son temps et de ses connaissances, une partie de lui-même. Ainsi à chaque fois qu’un de ses soldats mourrait, c’était une partie de lui qui disparaissait. Il fut alors ramené au moment présent par la nouvelle intervention d’une recrue, justifiée cette fois-ci :

Fouri Rob! 17 ans! Casser du marine!

Goda Jim! 16 ans! Libérer mon père des marines!

Zyuka Don! 21 ans! Détruire le Gouvernement Mondial!

Chacun d’eux c’était exprimé à la suite des autres et tous les regards se tournèrent alors vers le jeune aveugle, après tout dès qu’il aurait fini de parler les quatre nouvelles recrues auraient trente pompes à faire.



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Ven 28 Mar - 3:51



Le Grand Jour


J'

étais en train de trembler de manière excessive. La peur qui s’y trouvait dans mon cœur était pratiquement indéracinable. Je ne pouvais penser au fait que j’allais rentrer chez moi à cause d’un simple handicap. Il est vrai que pour être un combattant il faudrait avoir des yeux, mais moi, je serais là pour démentir cela, car je serais et je l’espère un très bon combattant après un bon entraînement au centre des révolutionnaires si je suis bel et bien accepté. Vous le verrez, ô vous  qui est en train de m’insulter en se moquant de ces paroles véridiques, vous le verrez, vous le verrez. J’espère que si je vous rencontre on pourra s’offrir un bon combat et que par la suite, vous seriez obligés de dire à haute voix qu’un aveugle m’a battu. Et, donc, votre taux de popularité va passer de inconnue aux yeux de tout le monde à très connue aux yeux de tout le monde mais en tant que couard et faible.

Motivé, ambitieux, sérieux, je pris une position qui mettait en valeur ma sincérité dans mon engagement dans la révolution. En effet, je sentis le chef m’observait, car j’avais un pressentiment que quelqu’un devant moi était en train de m’observer, et, il y a qu'une personne qui pouvait faire cela. Mon chef dont le nom m’échappait, d’ailleurs, on ne me l’a point dit. J’espère que ce chef n’est pas un tyran ou quelque chose comme cela, car, je le dénoncerais aux yeux de tout le monde. Vous devriez savoir que je suis la justice et que la justice est moi. Nous formons nous deux un corps unique en son genre et puissant. La volonté que l’on a pour détruire le gouvernement mondial est tellement forte que personne ne pourra nous empêcher. Donc, si un jour, vous avez comme mauvaise pensée de nous éliminer, pensait à votre famille. Vous auriez une femme veuve, des enfants orphelins et des parents chagrinés par votre mort et donc, qui vont se suicider. Mais, si une personne assoiffé de justice et de compassion vis-à-vis des plus faibles, des plus pauvres, des plus miséreux, je vous le dit tout de suite, vous devriez nous rejoindre afin que nous puissions lutter contre la tyrannie de la marine.

Peu après, lorsque je soupirais, j’entendis un lâche disant que je suis aveugle. Par conséquent, je me mis en colère, la bête qui était encore dans cette prison bien utile était à deux doigts de s’en sortir. Mais, heureusement, ayant pensait aux quelques recommandations de ma mère avant le départ, je me retenais et avec humilité j’attendis sa (le chef) réaction qui je pense serait terrible. D’ailleurs, il se pourrait que je rentre chez moi, car les révolutionnaires ont besoin d’homme fort et beau et non d’homme faible et beau. Bref, pendant ce moment, j’étais en plein désespoir.

Alors, le chef, je pense, tourna sa tête et il me regarda pendant un cours instant car, j’eus cette angoisse où l’on sent qu’une personne nous regarde. Par conséquent, je baissais ma tête et avec beaucoup de courtoisie j’entendais comme je vous l’ai dit une réaction négative. Mais, il s’avérait que ce n’était pas le cas. En effet, après quelques minutes rien ne se passa et tout est redevenu à la normal, car, mon chef a dit ces quelques mots :

« Tout de suite vous me dîtes vos noms, prénoms, âges et raisons d’être ici! Et on enchaine sur trente pompes en l’honneur de la grande gueule! »

Qu’il était incroyable ce chef, j’ai jamais vu une personne passer d’un stade à l’autre d’une rapidité presque inhumaine, car, il me semblait qu’avant il était la douceur tandis que là il n’est plus cela, c’est une brute. Waw, je sens qu’on va faire beaucoup d’aventure ensemble. Mais bon, cela dépend si je suis engagé en tant que révolutionnaire. D’ailleurs, comme je suis la justice, je ferais tout mon mieux pour intégrer cette magnifique organisation qu’est la révolution.

Tout d’abord, c’est un certain Fouri Rob qui commença en disant qu’il a 17 ans et que son objectif est de casser la marine, puis, c’était Goda Jim qui était le « dénonceur » de mon handicap qui a 16 ans et dont son objectif est de libérer son père des marines et enfin, le plus calme d’entre nous, selon moi, Zyuka Don qui a atteint sa vingtième année et qui a pour objectif de détruire le gouvernement mondial. Donc, il ne restait plus que moi, je pensais que j’allais faire la personne originale, mais non, je dis simplement cela :

« Filippe Morgane ! 16 ans ! Montrer au monde entier la tyrannie de la marine par des écrits philosophiques.  »

Bizarrement, tout le monde me regardais de manière étonné, car, ils ne savaient pas que j’étais un érudit, un philosophe. Ils pensaient que j’étais un libertin fou des femmes et spécialisé en l’art des jeux de hasard. Mais, ils ont oublié que les apparences sont trompeuses. Alors, il (Goda Jim) s’empressa d’être devant moi et me présenta quelques excuses qui étaient bien sincères vu les larmes qui coulaient de son visage. En effet, j’étais en train de toucher son visage pour le dire que je le pardonne.

Par la suite de ce spectacle émouvant, comme l’avait dit le chef, on avait dû faire trente pompes qui seraient le début de notre entraînement que je pense intensif. Alors, avec beaucoup de motivation, je commençais les trente pompes qui étaient selon mes camarades difficiles. Effectivement, il faisait très chaud et nous avons fait cela à un endroit où il y avait du sable. Ce qui avait pour conséquence la brûlure de nos mains.

Terminé, on se replaça devant le chef comme on l’avait fait avant et cette fois-ci avec une mauvaise mine en attendant les prochaines ordres de ce bon chef.

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Présentations!


Kiru écouta en silence la présentation de l’aveugle avant de regarder avec étonnement l’autre recrue sortir du rang pour s’excuser. Certes l’homme n’aurait jamais dû tenir de tels propos ou bien même simplement se permettre de prendre la parole sans qu’il n’y ait été autorisé mais cette réaction dégouttait totalement le Commandant. S’il y avait bien une chose que le Révolutionnaire allait apprendre à ce ramassis de loques inutiles c’était à assumer ses actes et à se conduire en homme! Et un homme ne pleurait pas, pas pour une chose si futile en tout cas! Ce genre d’action avait le don d’énerver assez rapidement le Golem qui ne manquerait pas de le faire payer à ces recrues. Une bande de pleurnichards chialant à la première histoire triste qu’ils voyaient ne servait strictement à rien, ils étaient en guerre nom d’un chien, les choses horribles seraient le quotidien des hommes qui lui faisaient face d’ici quelques mois! Mais en attendant ils allaient devoir devenir des hommes, des vrais! Pas le ramassis de rats crevés que Kiru avait devant les yeux à cet instant, pas les flaques de mélasses essayant de faire des pompes devant lui comme s’ils n’en avaient jamais fait une seule de leur misérable vie. Etait-ce trop compliqué que de demander des soldats un tant soit peu formés? Des soldats à qui il pourrait apprendre des techniques élaborées et qu’il pourrait envoyer sur Grand Line avec la certitude de pouvoir les revoir un jour et pas celle qu’ils se feraient massacrer à la première escarmouche.


Des soldats potables depuis désormais plusieurs mois qu’il en entrainait dans ce Camp Alpha il en avait eu seulement quatre! Peut-être ce jeune aveugle, le seul en qui il voyait un semblant de potentiel serait-il le cinquième. Mais rien n’était moins sûr et de toute façon il en aurait bientôt le cœur net, le temps pressait et tout allait rapidement se mettre en œuvre. Alors seul ceux suffisamment fort ou malin parviendraient à survivre! En attendant il se retrouvait là, consterné devant ces quatre vers de terre déjà essoufflés par les quelques pompes qu’ils venaient de réaliser. Poussant un long soupir il regarda le navire qui s’apprêtait désormais à accoster avant de lancer à ceux qui seraient désormais placés sous ses ordres :

Je suis Kabayochi.M.Kiru Commandant de la Révolution et à partir de ce moment vos vies m’appartiennent! Si vous voulez entrer dans cette organisation vous devrez être prêt à risquer votre vie pour nos idéaux! Il n’y a pas de place chez nous pour les peureux et les chialeurs alors ce sera la dernière fois que je verrais de tels actes de votre part et si vous avez quelque chose contre ça le navire sera bientôt prêt à repartir!

Kiru marqua un temps d’arrêt à ce moment-là observant la réaction des recrues face à lui, il voyait pertinemment que deux d’entre elles hésitaient mais finalement aucun de ces trois-là ne bougea, c’était déjà ça. Il ne porta pas attention à l’aveugle il ne l’avait pas vraiment visé avec ces paroles et regarda plutôt Kal discuter au loin avec le capitaine du navire qui venait d’accoster avant de lui adresser un signe de tête. Aussitôt le Golem reprit la parole :

Bien c’est ce qu’il me semblait! Vous trois vous allez rejoindre le navire derrière-vous et obéir à chacun des ordres qui vous sera donné. Quant à toi l’aveugle vient avec moi j’ai une mission pour toi!
Sur ces mots il appela un soldat d’un mouvement de doigt afin que celui-ci vienne aider à avancer l’homme qui n’y voyait plus tandis qu’il se mettait à avancer vers la sortie de la ville. Il pouvait faire confiance à Kal pour le déchargement, lui devait désormais régler quelques détails.



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Jeu 24 Avr - 20:03



Le Grand Jour


D

es tremblements harassants, des battements de cœur pathologiques, des sensations anormalement haineuses, tel était mon état à cet instant. Des rires sardoniques, des mots sarcastiques, des dires acerbes,  étaient entendues de manière étouffé et confus. Ainsi, de par cette obsession qui me hante éternellement, je comparais cette situation à un monde contre-utopique. En effet, cette liberté qui était proche de moi il y a une seconde s’avérait être disparu dans des circonstances assez flou. Cette pensée qui n’obéissait à aucune loi, était contrainte à se soumettre aux autres par leur perturbante manière de vivre. Que dire de plus, j’étais la proie même du totalitarisme imaginaire. Il n’y avait rien d’autre à faire que d’utiliser un trompe-œil donnant une certaine illusion de mon chef par ma manière trompeuse d’être. Un dos droit, un torse mis en valeur, des mains serrées. Je ne pus que faire cela, car, voyez-vous, c’était les principes fondamentales de ma nature corporelle au sens militaire. Par conséquent, j’espérais que ce plan ingénieux engendra des fruits.

Peu après, un silence complet qui semblait être un avertissement d’un danger imminent. Je le sentais, je l’entendais, je le dégustais amèrement, je le touchais vaguement, mais je ne le voyais pas. J’avais cette sensation d’une personne assoiffée de vérité qui était prêt à n’importe quoi pour l’avoir. J’avais cette envie excessif de dégustait ce plat communément appelé chaud.  Mon âme bouillonnait, mon cœur battait de manière expresse, mon corps tremblait faiblement invisible à l’œil nu, je suppose. Cette curiosité satanique me mena directement dans un fossé où l’on pouvait remarquer les cris de miséreux et de souffreteux. Une vérité dans un  enfer. Je succombais lentement au fil des minutes qui passaient avant l’arrivée de cette vérité tant attendue. Que faire pendant ce temps interminable ? Comment faire pour éradiquer cette curiosité obsessionnelle ? Peut-être devrais-je attendre, atteindre cette notion nommée patience ? Ou, me lâchait et me mettre éternellement dans une honte effroyable ? Que faire ? Mon corps ne m’obéissait plus, je n’étais plus son maître, il est devenu indépendant. Ma nature immatérielle commençait à être détériorer de manière à ce qu’il se sépare de mon corps. Étais-je en train d’agoniser ? Non, c’est irrationnel de dire cela, on ne peut pas mourir à cause d’une simple vérité. Donc, que deviens-je ? Je ne sais pas, je ne connais pas. Je ne suis plus, j’entends plus. J’étais devenu une âme errante. Mais non, c’était en fait,  que le résultat d’une énonciation de vérité à une personne extrêmement curieuse. En effet, voici ce que m’a dit mon supérieur :

« -Je suis Kabayochi.M.Kiru Commandant de la Révolution et à partir de ce moment vos vies m’appartiennent! Si vous voulez entrer dans cette organisation vous devrez être prêt à risquer votre vie pour nos idéaux! Il n’y a pas de place chez nous pour les peureux et les chialeurs alors ce sera la dernière fois que je verrais de tels actes de votre part et si vous avez quelque chose contre ça le navire sera bientôt prêt à repartir! »

De par cette éloquence, de par cette drastique parler, j’arrêtais directement toutes ces choses confuses. En effet, j’étais en train de le mettre au piédestal. La façon même dont je le concevais était assez rare pour moi. C'était un homme charismatique, plein d’espoir dans ses yeux touchants et énigmatique. Voyez-vous, je me sentis de plus en plus fort à l’écoute de ces dires entraînants et attirants. Ainsi, je pris place d’une manière sérieusement véridique et, j’attendais les proches ordres de mon chef qui étaient les suivantes :


« -Bien c’est ce qu’il me semblait! Vous trois vous allez rejoindre le navire derrière-vous et obéir à chacun des ordres qui vous sera donné. Quant à toi l’aveugle vient avec moi j’ai une mission pour toi! »


J’étais sceptique quant au fait d’aller avec lui pour une mission. En effet, je me posais au fond de mon être, des questionnements concernant cela. Pourquoi moi ? Pourquoi pas les autres ? Peut-être a-t-il vu mon inutilité dans le groupe et qu’il m’exterminera sur le champ ? Ou, d’une conception optimiste du problème, se peut-il qu’il me passera une épreuve afin de faire une évaluation de mon être ? Mais, voyez-vous, je connais rien sauf les livres qui sont mes plus fidèles amis et des vrais en plus. Ainsi, je le suivis et j’attendais impatiemment le cadeau du supérieur.








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Ven 25 Avr - 0:50

En Chemin!


La  journée avançait progressivement et ils ne seraient certainement pas de retour de cette "mission" avant la fin de journée. Kiru jeta un dernier regard vers Kal, les trois nouvelles recrues et les quelques soldats qui les accompagnait, les regardant silencieusement monter à bord du navire qui venait d’accoster tandis que le rejoignaient l’aveugle et celui qui serait, pour les quelques heures à venir tout du moins, son guide. Dès qu’ils furent à sa hauteur il se retourna pour se mettre à marcher vers la lisière de la ville, ils avaient un long chemin à parcourir avant d’atteindre leur destination alors autant ne pas traîner. Ils allaient devoir traverser toute l’île pour atteindre le visage situé sur la côte opposée. Ils auraient certes pu prendre une embarcation pour parcourir la distance mais l’île restait suffisamment petite pour pouvoir faire le chemin à pied. Le chemin qu’ils allaient emprunter à travers la forêt était relativement droit et dépourvu d’obstacle donc il n’y aurait guère de problème pour l’aveugle puisqu’il serait guidé. Néanmoins ils mettraient une bonne heure et demie avant d’atteindre le village où résidait Mingzi. Le Golem avança donc en silence pendant quelques minutes et, tandis qu’ils pénétraient dans les bois, il lança au dénommé Filippe :

Si tu sais manier les mots aussi bien que tu le prétends ton aide me sera précieuse. Nous allons devoir convaincre quelqu’un de se rallier à nous.

Il n’en dit pas plus pour le moment, ils avaient encore bien le temps de parler avant de commencer les négociations. Ces négociations Kiru les préparait depuis des semaines désormais, il n’avait pas vraiment le droit à l’erreur car s’il voulait pouvoir étendre son influence sur la totalité de l’île il lui faudrait impérativement l’appui de ce vieux sage. Car oui Mingzi n’était pas un combattant mais un homme âgé ayant toujours vécu sur l’île et à qui les habitants de ce second village accordaient une confiance totale. Kiru aurait certes pu tenter de les forcer à se soumettre à lui mais il n’y voyait aucun intérêt car même s’il y parviendrait certainement facilement cette île ne méritait pas de tomber dans ce type de soumission. Le Révolutionnaire allait donc voir cet homme les poches pleines de promesses et d’argument mais il était au final un pur guerrier, souvent maladroit avec les mots. C’était donc là tout l’attrait de cet aveugle qui, en plus de pouvoir montrer le taux d’acceptation de la Révolution, pourrait certainement formuler ce que le Commandant ne parvenait qu’à laisser imaginer. A vrai dire l’importance des mots qui seraient échangés lors de ces négociations risquaient certes d’avoir une grande importance sur l’île mais aussi sur la totalité de West Blue, ces paroles presque anodines aux yeux de l’histoire pourraient bien être le point d’orgue de quelque chose de bien plus grand, d’une grande vague prête à déferler sur ce monde. Dans ce sens cette nouvelle recrue devait comprendre l’importance de sa position à venir :

Disons simplement que si tu parviens à convaincre cet homme tu feras officiellement parti de mon équipage, et tu auras déjà apporté d’énormes choses à ce monde. L’importance de ces négociation est capitale!

Sur ces mots il laissa de nouveau place au silence, continuant à avancer, attendant de voir si l’homme réagirait à ses dires où s’ils poursuivraient leur route sans mots dires, progressant parmi les arbres jusqu’à leur destination finale.



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Ven 25 Avr - 7:37



Le Grand Jour


J

e ne pouvais pas voir, je ne pouvais rien voir. J’étais perdu dans ces pensées fallacieuses qui me hantaient dans les moments les plus propices à l’atteinte du bonheur. J’avais cette impression de souffrance qui rongeait mon âme en lui accordant une couleur rougeâtre, formant ainsi une âme mauvaise. Je sentais l’odeur même de la haine, de la rancune, qui se proliférait de plus en plus jusqu’à en être étouffée. J’entendais ces conversations où l’on me moquait, m’insultait d’une insulte très énergique. J’étais, en fait, dans cette crise noire du fait que je ne vois plus. Voyez-vous, étrangement, des réminiscences de cette vie d’antan m’ai venu à la tête. Ainsi, je me rappelais de ce soleil chaleureux, de cette mer bienfaisante, de ce vent aimable et d’une accointance unique entre lui et moi. C’était de beaux jours qui se terminèrent en jours miséreux et ridicules. Depuis ce jour, je ne suis qu’un détail, je ne suis qu’un handicap, je ne suis qu’un animal frêle et fort sot. Avant, l’amour était ma plus grande amie, mon intime, on se parler, on était, en somme, des amis pratiquement inséparable. Mais, problème, elle s’en alla en pataugeant sans un adieu, sans un au revoir. Je me rappellerais de ce jour pendant toute cette misérable vie qui va se terminer par une tragédie. Je sais, je sais que j’en fais un peu trop, mais, quel dommage que vous ne ressentez pas, cette sensation d’humiliation qui frissonne notre corps. Qui donne cette croyance que c’est l’agonie, qui te fait croire que tu es dans cette dimension appelé mort. En effet, tout est noir, tu ne vois plus, tu n’es plus, tu n’existes plus donc tu penses plus. J’espère que vous auriez point cette atrocité, car, dites-vous, qu’elle est une mangeuse de divertissement.

Harassé de ce monde qui m’entoure, j’essayais de me calmer par différents médicaments prescrits par mon être. Sagesse, pensée philosophique, poésie. C’était les seules remèdes de cette « mal-être », ainsi, je me calmais et je partis avec mon supérieur accompagné de cette homme généreux et philanthrope qu’était le garde qui m’aider pour la marche.

D’une certaine manière, je concevais cet environnement auquel je marchais. En effet, pour ne pas ressentir ce même sentiment, je suis obligé de faire cela qui est un complément dans l’ultime but de ma vie. Des arbres noirs, une chaussée écœurante, des oiseaux malodorants, des animaux maladroits et malpropre qui propager leurs bactéries pathogènes et pernicieuses pour nos corps, tel était ce monde utopique. En réalité, je ne sais pas si c’est une obsession, j’ai toujours aimé façonner un monde plein de misère et non un monde où le bonheur est l’intérêt commun de l’Homme. Peut-être que c’est à cause de cette envie de montrer à tout le monde ma souffrance ? J’en ai assez de voir des hommes qui profitent de leur vie heureuse sans penser à ces personnes en difficultés qui n’ont plus rien, maintenant qu’ils ont perdu au moins une chose fondamental dans leur épanouissement. Injustice, tyrannie, dictature. C’est les mots qualifiant leurs stupidités intellectuelles. Que dire de plus, ils sont la figure symbolique de l'animosité humaine. Qui plus est, se peut-il même qu'ils deviennent ces terroristes dictatorial basé sur le credo maritime. Voyez-vous, de toute façon cela n'est que chose éphémère, bientôt, vous verrez la montée exponentielle de l'anarchisme, ainsi, la mort sera votre antagoniste.

Soudain, le silence fut cassé, mon supérieur m'a parlé.

«-Si tu sais manier les mots aussi bien que tu le prétends ton aide me sera précieuse. Nous allons devoir convaincre quelqu’un de se rallier à nous. »

Stupéfiait, heureux, content, je lançais un sourire de béatitude vis-à-vis de mon supérieur. En effet, c'était ma passion la rhétorique, j'étais le principe fondamental de l'avancée de l'éloquence dans ma cher île de Toroa. C'était le moment le plus propice pour faire part de mon ingéniosité à cette homme charismatique. Donc, je devrais être, imiter, cette personne aristocrate dont la noblesse coule dans ses sangs bleus. Ce n'était point difficile car, voyez-vous, j'ai de la force dans l'âme qui me permettrait à devenir un trompe-l’œil, difficilement démystifiable. Étant en extasie concernant ses propos, je soupirais et je méditais sur cette mission qui sera la preuve même de mon utilité léger dans cette organisation. Ainsi, de par une coïncidence, mon chef affirma et alourdit deux fois plus mes dires en disant :


« -Disons simplement que si tu parviens à convaincre cet homme tu feras officiellement parti de mon équipage, et tu auras déjà apporté d’énormes choses à ce monde. L’importance de ces négociation est capitale! »

A croire que j'étais un devin, spécialisé dans la thaumaturgie dawnienne. Je l'avais su, je l'avais prédit, j'eus des révélations de ma conscience qui était lui en train de s'enliser dans un sol creux appelé oubli. En effet, depuis tout ce temps, j'avais un point de vue pessimiste de ma conscience. Or, la conscience en elle-même est une véracité optimiste qui pense et qui réfléchit. Mais, de par ces dires, j'eus encore une fois la conscience que j'étais conscient. C'est pourquoi, pendant toute cette vie qui me resterait, je m'engage à être défenseur de la justice, car, je ne capitule pas. Par conséquent, je dis :

« -Je serai là où tu seras, où tu te trouveras, je serai ton bras, ta main, ton cœur, ton visage, ta conscience. Je suis toi et je servirais durant toute ma vie la justice qui était en train de basculer vers les oubliettes d'une profondeur abyssale laissant ainsi place aux totalitarismes. »








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Mingzi!


Tandis que les trois hommes continuaient de progresser dans la forêt, avançant encore et toujours vers le village où ils devaient se rendre, le Révolutionnaire ressasser encore et toujours les arguments qu’il allait présenter à Mingzi. Il aurait certainement mieux fait de ne plus y penser et de se relaxer, faisant le vide dans sa tête pour pouvoir être serein lorsque le moment viendrait. Mais il n’y parvenait pas et n’en avait peut-être même pas vraiment envie, l’accord de cet homme et son soutien étaient des choses trop importantes pour la suite des événements pour que l’homme de pierre ne les prennent à la légère. Le rythme de marche était tout de même assez élevé à la grande surprise de Kiru qui avait pensé que l’aveugle les ralentirait. Au lieu de ça ils avançaient de manière rapide et déterminée sans courir pour autant. Le Golem ne s’était pas attardé sur la dernière réponse de celui qui l’accompagnait, n’en ayant pas réellement saisi tout le sens. Il avait du mal à comprendre les dires de ce dénommé Filippe mais sûrement cela reflétait-il la différence de culture et de capacité à s’exprimer qui résidait entre les deux hommes. Néanmoins il ne parvenait pas à ne pas se sentir gêné dès lors que cet homme prenait la parole, c’était idiot mais l’incompréhension le faisait se sentir mal à l’aise en ces moments. Certainement s’y ferait-il avec le temps mais en attendant ce n’était pas vraiment des plus agréables.


Le reste du trajet se fit dans le silence le plus total de la part des trois compères qui avançaient sur le chemin, certains pensant à la conversation qu’ils allaient bientôt avoir alors que d’autres se contentaient sans doute d’écouter la nature et de se laisser porter par sa douce musique. Ainsi le trio arriva finalement à l’orée du village qu’ils visaient, y pénétrant plus lentement qu’ils n’avaient fait le chemin pour s’y rendre. Les personnes qu’ils croisaient s’écartaient de leur chemin en les regardant bizarrement, il fallait dire qu’ils n’avaient pas l’habitude de recevoir beaucoup de visiteurs. Sauf que l’un des trois intrus du jour était connu de certains et une légère rumeur monta tandis que les trois hommes continuaient d’avancer comme si de rien était. De plus en plus de personnes venaient se placer sur le bord du chemin central, prévenu par la rumeur que quelque chose se passait et lorsque l’un d’entre eux s’avança face à eux Kiru stoppa leur avancée. Ils se regardèrent alors pendant quelques secondes en silence, Le Golem hésitant sur les intentions de l’homme face à lui qui le sondait le regard plein de défi, ou de questions. Finalement il fit un simple geste du bras, invitant les visiteurs à le suivre. Aussitôt Kiru partit à sa suite, sans un mot, tandis que le soldat révolutionnaire semblait décrire les événements à l’aveugle en essayant de suivre tant bien que mal son Commandant.


Ils entrèrent alors dans une maison à l’allure similaire aux autres mais où la présence d’un bouquet de fleurs fanées sur la porte indiquait l’importance de la personne habitant ces lieux.

Kabayochi.M.Kiru! Je me demandais quand tu allais venir me voir!... Je t’en prie évitons les formalités, tu n’as pas fait ce chemin pour ça, alors va droit au but!

Là, assieds sur un vieux fauteuil était placé le vieil homme qui le regardait d’un air insistant. Kiru savait pertinemment qu’il ne fallait pas se fier à son air frêle et affaibli car cet homme était certainement aussi en forme que lui. En fait c’était même tout à fait le contraire qui se passait à ce moment-là, le Golem se retrouvait plutôt intimidé devant Mingzi maintenant qu’il se retrouvait face à lui. Il s’empressa cependant de répondre sans trop réfléchir :

Je ... nous sommes ici pour vous proposer de nous rejoindre. Vous pourriez passer sous notre protection et ainsi rejoindre notre cause...

Le Commandant n’arrivait plus à formuler les arguments qu’il avait pourtant tant ressassé, la présence de cet homme le troublée complétement et il avait besoin d’un peu de temps pour repréparer son plaidoyer. Se retournant alors vers l’aveugle il le fit s’avancer un peu, l’invitant ainsi à parler de leur cause un peu, même s’il devait parler pour ne rien dire il fallait qu’il gagne un peu de temps pour que Kiru retombe sur ses pieds et puissent repartir à l’assaut de ces négociations.



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Mer 30 Avr - 21:44



Le Grand Jour


D

es pensées fallacieuses, je me trouvais dans une méditation atypique de l’homme sanguinaire d’aujourd’hui. Cette confusion de mon esprit, cette sensation de tromperie qui rongeait mon âme, m’accorder cette pulsion dont la conséquence était assez virulente. Je me trouvais dans le néant, sans vie, sans conscience, rien, rien qu’une obscurité qui désarticuler ma nature corporelle. J’étais là, angoissé par ce moment patibulaire, affolé par le noircissement de l’arrière plan de l’univers. Mon cœur a prit son jour de l’indépendance, faisant ainsi un arrêt du bref contrat que l’on avait conclu. Effrayé, stupéfié, la désunion qui était en pleine progression, arriva à son terme. La lueur qui s’y traduisait par l’amour céleste qui régnerait entre eux, disparut, laissant ainsi place à la noirceur. Car, voyez-vous, je n’étais plus qu’une âme, ce moi cartésien d’où subsister une partie lumineuse de l’Humanité. Ils sont en moi, je suis en eux. Avec véhémence, j’ai du difficilement résisté à leur charisme attirant qui me mènerait vers un fossé antilogique. Ce défilement exponentiel et confus de ma vie était l’un des causes de l’asthénie. Donnant pour ainsi dire une certaine faiblesse légitime de l’être qui toucherait les points vitaux de l’Homme. J’étais en danger, j’étais dans un moment périclite, la survie n’était qu’éphémère. Cette dernière conscience qui me reliait vis-à-vis de la Terre devenait de plus en plus obsolète et archaïque. Par conséquent, j’étais dans une régression historique passant de technologue à « stupidologue ». En somme, je ne suis plus, et je commence à atteindre la notion de mort en philosophie. L’Eros, cet ancien dieu mauvaisement remercié, pataugeait dans un sol enlisait par un sol qui est lui-même enliser par un sol, donnant ainsi une inexistence de l’amour dans mon corps. En effet, la confusion menait au meurtre.

Toujours dans une méditation atypique de l’Homme, j’alternais d’une manière judicieuse et intelligible quant au fait du passage fréquent entre réalisme et surréalisme. Je ne voyais pas, mais, j’avais ma propre conception de ce monde invisible à mon goût. Ainsi, comprenez-vous, de par cette tristesse éternelle, de par cette confrontation intemporelle entre les deux antagonistes de mon être, j’avais une pensée positive pour les personnes positives et une pensée négative pour les personnes négatives. Qui plus est, j’étais le roi de cette contre-utopie. Je commandais, j’affirmais, je voulais, je niais, je cogitais, je pensais. Tout cela était la preuve même de l’existence apodictique de mon âme. Ainsi, j’avais pour dessein un nouveau livre parlementant de cela.

Dans le monde réaliste, il y a eu plusieurs choses communément appelées étranges en pleine route qui était pour ainsi dire un obstacle à la rencontre de l’amour Ourania (céleste au sens platonicien du terme). Mais, la primauté de toutes ces particularités est le fait que l’on s’est arrêté  devant  une maison fort plaisant à voir et d’une joliesse précisément aveuglante et fluorescente qui brûlait notre intérieur pathologique et pathogène vis-à-vis de notre nature corporelle. Elle était immense comme tous les autres. En réalité, elle était une maison atypique du village où des bouquets de fleurs avaient pour conséquence un passage de maison très simpliste à maison simpliste. En regardant cela, j’avais un sentiment de nouveauté et d’attirance véhémente envers cette maison.

Peu après, j’entendis le commandant entamer le discours rhétoricienne qui deviendra quelques temps après, un discours tergiversant. Des hésitations excessives, un dit trouble de la présence, il me donna pour mission une diversion qui aurait pour objectif un rétablissement total du commandant.

« - Enchanté de vous rencontrer, cher frère, citoyen du monde. Voyez-vous, depuis quelques lustres, d’après une cogitation excessive et assez harassante,  on a pensé ici une mise en protection de votre île contre la tyrannie dictatoriale de la Marine. En effet, leur credo erroné et irrationnel leur a donné cette popularité d’organisation terroriste. Ainsi, de par cela, comme le disait le commandant, vous et vos personnes chères pourraient passer sous notre protection. »








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Négociations!


Les mots et idées fusaient dans le cerveau de Kiru tandis que celui-ci cherchait à se remettre d’aplomb pour mener les négociations comme il devait le faire s’il voulait réussir. Il tentait désespérément de mettre de l’ordre dans ses pensées pour pouvoir construire les phrases qui devaient faire pencher la balance en sa faveur. La situation actuelle l’étonnait et l’inquiétait car même en présence de ses supérieurs il ne s’était jamais trouvé autant décontenancé qu’à ce moment précis. S’écartant légèrement afin de ne plus se trouver au centre de l’attention tandis que Filippe s’avançait pour prendre la parole il quitta des yeux Mingzi pour tenter de se repréparer à son plaidoyer. Néanmoins il laissa trainer ses oreilles, surveillant ce que disait l’aveugle qui après tout n’avait même pas un jour dans l’organisation et pouvait donc réaliser quelques bourdes que Kiru s’empresserait alors de rectifier. Cependant à sa grande surprise l’homme s’exprima clairement et de telle manière que même le Commandant parvenait à saisir le sens de ces mots, aussi bien le sens direct mais surtout le sens caché. Contrairement aux tirades qu’il avait adressées au Golem plus tôt dans la journée celle-ci semblait claire et concise, laissant passer le message voulu d’une excellente manière. Certes il manquait encore quelque chose pour faire de lui un maître de négociation mais il semblait en tout cas très prometteur en la matière, contrairement à Kiru.


Le Révolutionnaire préférait généralement allait droit au but et ne maitrisait pas du tout toutes les subtilités d’usage dans cette situation. Néanmoins les paroles de sa nouvelle recrue lui avait permis de se remettre les idées en place et il était désormais prêt à repartir au combat des mots, enfin il l’espérait. Il s’avança de nouveau au centre de la salle et posa sa main sur l’épaule de l’homme qui venait finir de parler, exerçant une légère pression pour le faire reculer tout en posant son regard sur le vieil homme, tentant d’observer une quelconque réaction aux propos qui venaient d’être tenus. Mais l’homme restait imperturbable et continuait de regarder Kiru, attendant que celui-ci disent ce qu’il avait à dire. Le Golem avait quasiment l’impression qu’il connaissait d’ores et déjà les arguments du Commandant, n’attendant que leur formulation pour y répondre. Prenant alors une longue inspiration il reprit de nouveau la parole, sur un ton plus clair cette fois-ci :

Comme viens de le dire mon collègue nous sommes ici pour t’offrir notre protection, mais plus que ça te proposer de nous rejoindre. Et pour se faire nous t’offrons des emplois, cinquante pour être exact puisque je crée un Chantier Naval près du port. Tous ces postes sont pour tes hommes, cette île mérite mieux que ce qu’elle n’est actuellement et ces emplois vous permettront de vivre, et non plus de survivre.

Cette fois-ci le vieil homme face à lui tiqua légèrement avant de reprendre son masque imperturbable il laissa quelques secondes de silence avant de répondre :

Tu viens ici, tu nous proposes des emplois, tu veux nous faire changer de vie, mais quelles sont nos garanties?

Vos garanties je les incarne, oubliant simplement pour quelle faction je me bats, plus que la protection de mon organisation c’est ma protection personnelle que je t’offre, et tu sais que je donnerais ma vie pour protéger cette île.

Kiru venait de répondre d’une voix bien plus assurée sans même prendre le temps de réfléchir à sa réponse ce qui sembla surprendre quelque peu son vis-à-vis. Mingzi laissa donc quelques secondes de blanc avant de se lever lentement et de s’approcher du Golem avant de reprendre en le fixant dans les yeux :

Je sais ce qui te retient ici, et tu peux être assuré que s’il ne s’était pas agi de toi vous ne seriez jamais entré dans cette maison avec mon accord. Même si tu n’es pas né ici tu restes un enfant du pays et pour ça je suis prêt à t’accorder ma confiance. Mais sache bien que je place la vie de chacun de ces habitants entre tes mains, et s’il arrive quoi que ce soit à l’un d’entre eux tu en seras tenu pour responsable, peu importe tes actes... Mais j’ai l’intime conviction que tu feras tout pour que rien n’arrive, ne serait-ce que pour elle. C’est pourquoi j’accepte ta requête, pour le village.

A ces mots Kiru sentit un grand sentiment de soulagement s’emparer de lui, même s’il n’en montra absolument rien, il jubilait littéralement de l’intérieur. Laissant tout de même un sourire apparaître sur son visage il répondit alors d’un ton sérieux :

Vous ne le regretterez pas! Pour le Chantier Naval envoies-moi cinquante personnes demain pour neuf heures, je les prendrais en charge.

Le Golem regarda alors le vieil homme hocher la tête avant de comprendre qu’il était désormais temps pour eux de quitter les lieux. Il recula alors, sans tourner le dos à leur hôte, conservant son sourire jusqu’à ce qu’ils franchissent la porte et que le Commandant laisse échapper un long soupir. Il se retourna alors vers Filippe, le regardant quelques secondes avant de lui dire :

Et bien je dois te remercier de ton aide précieuse et te souhaiter la bienvenue parmi nous, et dans ton nouvel équipage.

Voilà, l'objectif de la journée était remplie et un grand pas en avant réalisé, le plan continuait de progresser sans embûches et venait de passer l'un de ces derniers réels obstacles, désormais il était temps de mettre tout en route.



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