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Me voici, me voilà, c'est bien moi ! [PV Kyoryokuna Shizukesa]
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Jeu 28 Fév - 11:33


Me voici, me voilà, c'est bien moi !
Big Fish !









Jango s’en va en guerre, les deux pieds, les deux mains dans la M***E.

Nous sommes-là, en touriste. Nous nous promenons, dans les ruelles d’une ville appelée Tequila Wolf. Selon les ragots du coin. C’est une île de travaux forcés du Gouvernement Mondial. Des criminels y sont envoyés. Toutes ces taulards ne sont pas du même avis, ou non pas les mêmes idéaux politiques que le gouvernement instauré. Les prisonniers y bâtissent un gigantesque pont et cela depuis plus 700 ans. En écoutant, cette histoire, je me demandais ce que je foutais ici, ce que je pouvais bien faire ici, sachant que l’île grouillait de membres du gouvernement mondial.
Je ne suis pas du genre à écouter ces sornettes, je ne suis pas du genre à me faire influencer par des histoires de bonnes femmes que l’on raconte aux enfants pour les faire dormir. Mais plus je pénétrais au plus profond de la ville, plus cette histoire prenait vie. C’est comme si, j’étais, le carnivore le personnage de l’histoire et que je venais purger tous mes pêchers. L’ambiance dans les alentours était maussade et morbide. La ville était déserte, les rues étaient vides, comme si une épidémie avait raflée la ville. Et que les seuls survivants étaient enfermés pour ne pas attraper les restes du virus.

Ma marche m’envoyait dans les profondeurs de la ville. Je me situais près des rives, là où la mer reprenait ses droits. Je n’en crois pas mes yeux lorsque que je levais la tête. L’histoire que l’on m’avait narré devenait réalité. Je n’étais pas le genre à avoir peur pour tout et n’importe quoi, mais là. Ma vie était en jeu tout de même avec ce que je vis à l’horizon. Une énorme étendue de pierre, d’échafauds, de ciment. Il y était installé. Le fameux pont que la légende racontait. La structure s’étendait au loin, sur des kilomètres et des kilomètres. Je ne savais pas si le temps de construction énoncé dans l’histoire était le vrai, mais il s’agissait d’un pont monumental. Je ne savais pas où il devait s’arrêter, s’il continuait loin après l’horizon. Mais j’étais époustouflé par sa monumentalité !

C’est à partir de ce paysage que je me sentis en danger ! Le pont était bel et bien construit par des taulards. La présence du gouvernement mondial était donc formelle. Je me devais de me sauver en vitesse et de la plus grande des discrétions. Sur le retour, tout ne se passa pas comment prévu, le monde autour de moi, c’était activé. Comme si le monde me lançait un défi pour sortir de cette galère. Les couloirs de la ville s’agitaient de plus en plus. Des Marines sortaient de tous les côtés. Les prisonniers attachés à l’aide des liens se dépatouillaient. Pour pouvoir marcher malgré le poids des menottes. L’un de ces pauvres gaillards tomba, il subit alors les coups de fouet et les coups de matraques. Il ne fallait mieux pour moi rester la plus longtemps. Sinon mon avenir aurait été : les chaines aux pieds, les mains liés et finir comme maçon dans la construction d’un pont interminable.

Je m’arrêtais de ruelles en ruelles. Pour ne surtout pas me faire repérer. Les gardes patrouillaient dans les environs et je devais être le plus prudent possible. Ne pas faire un bruit possible. J’essayais de rejoindre la plage par laquelle, j’étais arrivé. Mais elle était à l’autre bout de la ville, enfin à l’entrée de la ville. Dès mon arrivée, à cet endroit, il n’avait pas l’air d’avoir de patrouille Marine. Mine de rien, pour une boule de muscle, le carnivore était tout crispé, ses biceps étaient tout contractés sous la montée soudaine du stress. Notre bon de sortie était proche. Nous avancions à pas de souris, très soigneusement pour n’éveiller aucun soupçon. Je commençais à quitter la ville, j’allais quitter cet endroit de malheur. Mais quelque chose ne se passa pas comme prévu. Je descendais l’allée vers la plage. Une plage de sable blanc, de granit principalement émietté par le temps, les intempéries…

Au loin, il me semblait voir quelqu’un. Un jeune garçon tout maigre qui semblait perdu. Les cheveux blancs argentés, un corps peu musclé. Il devait être dans le même cas que moi ; perdu. Mais en regardant bien son accoutrement, je compris que nous étions totalement différents. Au loin, il semblait grignoter quelque chose. Son allure de puceau ne semblait pas apparaître un semblant de rage qui pourrait l’amener à déclencher un combat. En l’observant, je sentais que quelque chose n’allait pas chez lui. Elle n’était pas comme toutes autres enfant de son âge. A faire attention à lui, à se pouponner, chercher à devenir la plus beau, se percer les boutons. Il ne semblait pas connecter avec le monde qu’il l’entourait. Il avait l’air de rêver. Dans quel merdier étions-nous ? J’étais préparée à toute éventuelle confrontation avec le gamin…






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Sam 2 Mar - 2:09

Viens par là petit poisson!






Tequila Wolf! Voilà l’endroit où je me trouvais actuellement. Bon je sais que j’avais demandé à être muté mais je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’on m’amène sur cette île. Non mais franchement cette île était inhumaine, insupportable! Certes c’était parfait pour tous ces truands enchainés mais pour nous les défenseurs de la loi. Enfin je n’allais pas non plus trop me plaindre je partais dans une semaine de cet endroit qui resterait donc juste un petit passage dans mon voyage en quête de puissance. Bon il allait falloir que j’aille voir le colonel pour tenter d’obtenir un poste qui ne soit pas proche du pont et donc éviter les truands à moitié mort qui ne feraient que râler et pleurer de douleur. Je pris un manteau et me recouvrait avec avant de sortir en direction de la base. J’avais vraiment hâte de retourner sur Logue Town, au moins là-bas on côtoyait la civilisation, pas une bande de zombies à moitié morts qui pourrissaient dans tous les coins. C’était décidé dès que je rentrerais je ferais tout pour me trouver un équipage où je pourrais être peinard et éviter toutes ces corvées inutiles et désagréables.


Je fis une centaine de mètres avant que n’arrive ce qu’on appelait ici "l’heure de pointe". A ce moment-là des centaines de marines débarquèrent de partout à la fois allant on ne sait où tels des robots bien réglés. Au départ ça m’avait surpris mais je m’étais finalement habitué à leurs visages inexpressifs et au fait qu’ils ne fassent pas attention aux autres une seule seconde. On aurait pu croire qu’ils n’étaient plus que des machines programmés pour obéir aux ordres mais les machines ne buvaient pas autant à la taverne le soir. C’était d’ailleurs le seul moment où l’on pouvait voir une expression sur leur visage, l’alcool aidant. Afin d’éviter cette gigantesque cohue qui durerait sûrement encore quelques dizaines de minutes je fis une déviation par la plage afin de pouvoir arriver à l’heure devant le colonel. Cependant quelque chose me parut étrange sur la plage, pourtant je ne voyais rien mais je sentais que quelque chose clochait, comme une intuition. Je m’avançais légèrement vers l’eau lorsque je vis une trace dans le sable, ce n’était pas une trace de pas, enfin si mais pas un humain apparemment. Il fallait que je tire ça au clair, le colonel attendrait même si ça ne lui plairait pas si jamais il y avait un intrus dans le coin il fallait s’en occuper immédiatement. Je m’assied donc sur le sable et commençai à grignoter un peu de pain lorsque j’entendis le sable crissait derrière moi. Je me relevais et me retournais aussitôt pour me retrouver face à un requin sur pattes. Voilà donc celui qui s’était risqué sur cette île, un homme poisson! Enfin ce qu’il en restait pensais-je en remarquant le métal remplaçant une partie de son corps. Je pris alors la parole en me plaçant face à lui :

Mais que fais un Homme-poisson ici? Tu n’es certainement pas un marine, on n’a signalé aucun évadé aujourd’hui et tu ne sembles pas porter les marques de fatigues que portent les prisonniers d’ici. Tu viens donc de l’extérieur et est donc un intrus! Reste donc à savoir pourquoi tu es venu ici et pourquoi tu es si pressé de nous quitter?

Je restais là sans bouger en fixant l’animal face à moi, il tenterait certainement de m’attaquer afin de pouvoir s’échapper et je devais donc être prêt à réagir au moindre de ses mouvements. De toute façon je n’avais pas d’autre choix que celui d’attendre sa réaction.

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Dim 3 Mar - 12:28


Me voici, me voilà, c'est bien moi !
Big Fish !








Nous nous fixions, les yeux dans les yeux. Nous semblions attendre que l'autre fasse un mouvement apparaissant suspect. Ce mouvement pourrait s'apparenter à une demande en combat. Le Garçon ne semblait pas apte ou sereine à se battre. C'est vrai que tomber nez à nez avec un homme-poisson de type requin blanc. L'une des races les plus agressives de la lignée des hommes-poissons. A la place du gamin, j'aurais bien fui. Mais il fallait être cohérent. C'était un Marine, il n'aurait pas été assigné à ce poste sur cette île de malheur. Si son grade ne correspondait pas à la dureté de combat qu'il pouvait donner. Je ne savais pas quoi faire. Je ne sais pas si cette posture pacifiste faisait partie d'une quelconque stratégie ou quoi que ce soit. En tout cas, je ne savais pas quoi faire. Cependant, le jeune homme engagea la conversation qui fonda un peu l'ambiance de notre rencontre. Cela indiquait au requin, une atmosphère de querelle plutôt que de sympathie. D'une voix frivole, il annonça :

« Mais que fais un homme-poisson ici? Tu n'es certainement pas un marine, on n'a signalé aucun évadé aujourd'hui et tu ne sembles pas porter les marques de fatigues que portent les prisonniers d'ici. Tu viens donc de l'extérieur et est donc un intrus! Reste donc à savoir pourquoi tu es venu ici et pourquoi tu es si pressé de nous quitter? »
Les envies sanglantes et meurtries de l'homme-poisson n'étaient pas à leurs apogées aujourd'hui. Je décidai donc de murmurer dans l'oreille du carnivore une phrase posant dans l'atmosphère une certaine sérénité. Je soufflai au poisson-pané : « Je suis venu en simple touriste sur cette île, aucune crainte. Je viens en paix. Je pensais que cette île détenait un semblant d'histoire. Mais en arrivant sur l'île, j'ai vu l'histoire que je ne devais pas voir. J'ai donc décidé de faire demi-tour voilà tout ». J'étais tout bonnement pas crédible. Comment quelqu'un pouvait me croire avec de telles paroles. Je nous enfonçais plus qu'autre chose. Comment le puceau pouvait-elle nous croire. Le requin portait un revolver à la ceinture. Il avait un bras bionique. Des cicatrices sur tout son long. Si il nous croyait, ma réputation sur le gouvernement mondial était bien fondée. Je devais prendre une décision. Soit je continuais sans avoir écouté ses belles paroles commanditaires ou j'engageais le combat. Si la moindre lutte devait commencer, je devais le faire en toute discrétion. Pour ne pas semer le trouble sur dans toute l'île. J'étais perdu, vu le nombre de Marines qui était posté sur les terres.

Je montais alors une stratégie. Notre départ devait être repoussé de quelques minutes. Ma réflexion allait prendre du temps avant son aboutissement. Je donnais comme conseil à Jango ; de faire gaffe aux moindres faits et gestes du gamin. Il semblait ne faire aucun mouvement. Peut-être que lui aussi, montait une stratégie pour pouvoir essayer de me terrasser et m'envoyer sur la construction du pont.
Voilà, mon plan était abouti. Ni n'était pas très compliqué. Mais il devait marcher du fait que la jeune fille ne s'attendait surtout pas à ce qui allait se passer. Je n'avais encore jamais testé ce que j'allais faire. Je soufflai les directives au carnivore, qui devait s'exécuter à merveille pour assurer notre bon de sortie.

Il commença, l'homme-poisson devait être rapide et habile. Il allait enchainer trois techniques, qui allaient peut-être clouer le combat. Du haut de ma mini-piscine, je contemplais la mise en œuvre du gros poisson bleu. Sa vitesse d'exécution était telle que le courant dans mon aquarium devenait instable. Il faut se mettre dans le contexte, la suite de toutes les actions qui vont suivre, se passent dans un laps de temps très court. Il entama les hostilités par « Wall », attaque très complète autant qualifiée comme une technique de défense que d'attaque. L'homme-poisson à l'aide de l'eau qui est à proximité lance un nuage de vapeur pour amoindrir la visibilité de l'ennemi. Je n'arrivais pas à percevoir le jeune garçon placé à dix mètres de moi. Dans le feu de l'action, le requin dégaina son arme et décocha une balle de son revolver dans la direction enregistrée de l'enfant avant le lancement du nuage de fumée. Ensuite, toujours dans une vitesse de pointe affolante, il exécuta « C'est pour moi ? ». Cette technique consiste à extraire l'eau environnant autour de lui. L'eau était contenue sur sa peau, sur la terre fertile à ses pieds et la verdure autour de lui. Après avoir emmagasiné une dose suffisante pour clore le combo mise en place. En dernier lieu, il avala le nuage de vapeur ce qui compléta la quantité d'eau qui était stocké dans sa bouche. Et dans un élan de vigueur, il cloua les festivités avec : « Heated Breath without theeth », l'homme-poisson charge sa bouche d'eau de mer et projette la matière tel un jet sous pression. Il diffère du simple Heated Breath, le poisson va projeter l'eau sur son dentier, qui avec la pression tellement forte de l'eau va lui arracher les dents qui vont, avec la vitesse frapper son adversaire de plein fouet. Les dégâts sont divers et variés, mais le choc de chaque dent est dur à encaisser. Les projectiles s'en allaient dans la direction du petit. Il semblait ailleurs.

Allait-il se surpasser pour sa survie ? Mais il avait l’air d’être mal en point vu ce qui se dirigeait dans sa direction. Je ne savais pas si le projectile du revolver avait atteint son but… Était-il aussi fort qu’il pouvait le laisser paraître ?






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Jeu 7 Mar - 2:14

Mais c’est que ça mord!






La créature me regardait, hésitant sûrement sur ce qu’il devait faire. J’avais beau savoir qu’il s’agissait un homme-poisson son bras en fer m’empêchait de le considérer réellement en tant que tel. Finalement mon vis à vis me répondit :

Je suis venu en simple touriste sur cette île, aucune crainte. Je viens en paix. Je pensais que cette île détenait un semblant d'histoire. Mais en arrivant sur l'île, j'ai vu l'histoire que je ne devais pas voir. J'ai donc décidé de faire demi-tour voilà tout.

L’intrus face à moi ne semblait pas à l’aise du tout ce qui était largement compréhensible compte tenu de sa posture. Les marines n’appréciaient généralement guère les hommes-poissons et il se trouvait ici sur une île bourrée de marine mais surtout sa simple présence ici était répréhensible. Il savait sûrement qu’un seul mot de ma part et tous les marines de l’île rappliqueraient, lui rendant alors toute fuite quasiment impossible. Mais ce n’était pas mon intention, pas dans l’immédiat. Je n’avais aucune rancœur spécifique envers sa race bien que je sache qu’elle était peu appréciée dans l’entourage des Tenryuubitos je n’étais pas en mission de protection donc je pouvais éviter les désagréments. A vrai dire j’avais presque envie de laisser partir cet animal face à moi, après tout il s’en allait et surtout je n’avais vraiment pas envie de me lancer dans un combat sur cette île. J’hésitais entre mon devoir de marine et ma flemme passagère lorsque l’homme-poisson passa à l’offensive.


Sans même que je ne me sois réellement montré hostile envers lui celui qui était désormais mon adversaire forma un nuage de vapeur autour de moi, m’empêchant de voir où il était et donc rendant ma défense et mon attaque très difficile. Aussitôt je concentrais mes forces dans mes pieds et sautais haut dans le ciel afin de me placer au-dessus du nuage de vapeur. Tandis qu’il montait il entendit une déflagration et dès qu’il sortit du nuage il put voir son adversaire avec un pistolet qui se mit alors à aspirer le nuage. Il était assez bizarre, il semblait retenir quelque chose dans sa bouche et s’être légèrement gonflé. Alors que je commençais à redescendre en direction du sol il lança un jet d’eau exceptionnel qui partit à toute vitesse vers l’endroit où je me trouvais plus tôt. Quelque chose sembla passer en tête des jets d’eau mais continua son chemin jusqu’à ce qu’un jet d’eau arrive droit sur moi. Etant en l’air je ne pouvais rien faire pour l’esquiver et c’est au moment de me prendre la dent en plein ventre que je compris qu’il venait de projeter ses dents sur moi grâce à la pression de l’eau. Je fus alors propulsé plusieurs mètres en arrière tandis qu’une douleur naissait à l’endroit de l’impact. Je glissai sur quelques mètres dans le sable avant de m’arrêter et de pouvoir me relever, subissant alors la douleur qui se mit à me lancer, allant jusqu’à me faire plier. Je me repris finalement, me tenant droit et regardant mon adversaire dans les yeux. Je me déplaçais alors à toute vitesse près de lui et lui envoyais un coup de pied puissant dans le ventre avant de faire une roulade en arrière pour voir ce qui en résultait. Je regardais mon adversaire dans les yeux, me tenant les côtes de la main droite tandis que la douleur persistait.


Techniques:
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Jeu 7 Mar - 17:54


Me voici, me voilà, c'est bien moi !
Big Fish !







Je n'en revenais pas ! Le nuage dissipait, mes attaques lancées. Le puceau était debout. Devant moi sur le sable blanc de la page. Comment avait-il pu éviter toutes mes attaques. Quelle était sa vraie valeur ? Etait-il aussi puissant qu'il pouvait le laisser prétendre. L'homme-poisson semblait troubler. Comme s'l avait à faire un démon. Cependant, il n'avait pas pu éviter la totalité de ma dernière. Si j'avais bien compris. Le gamin avait utilisé une technique qui lui permettait de bondir dans les airs à une hauteur d'environ d'une dizaine de mètres. Ce qui lui permit d'éviter la balle de revolver. Cependant, comme l'enfant n'avait pas de mobilité après avoir pris son élan dans les airs. Il ne put éviter totalement la dernière attaque. Il prit un jet d'eau haute pression de plein fouet ainsi qu'une dent tranchante. Sous la pression du jet d'eau, l'enfant se vit propulser en arrière. Sa trajectoire de saut se vit modifier. Il fit projeter vers l'arrière, prêt du bord de l'eau. Il se rattrapa laissant devant lui des traces d'empreintes. Là où il venait d'atterrir à toute vitesse. Il semblait avoir du mal à s'arrêter. Dès que son état était stable, il me fixa. Je ne sais pas à quoi il pensait à ce moment-là. Mais son regarde avait changé. Il semblait changer de position. Il allait attaquer désormais. Je ne pus ne pas me focaliser sur un point ! Le garçon se tenait les côtes. Il semblait avoir été touché par l'une de mes dents. Je pense que la partie touchée devait saigner. Sachant que les dents de l'animal son tranchante permettant de bien dévorer la viande qui lui passe sous la dent. Le flanc était touché. Cette partie favorisait à la perte de sang. C'était une partie très sensible. Mais d'où nous étions postés, nous ne pouvions pas percevoir la moindre goutte de sang.

L’enfant stabilisé, ses appuis repris. Il s’engagea dans une course effrénée dans ma direction. Il semblait avoir du mal à courir, la blessure le gêner dans ses mouvements. Plus il s’approchait, plus la couleur rouge du sang semblait être descriptible. Eh bien oui, j’avais ma réponse : l’attaque du poisson l’avait fait saigner. La plaie apparaissait comme importante, la tâche rouge prenait de l’ampleur à chaque mouvement de jambe qu’il faisait. Cela devait prendre appui sur la plaie lorsque que ses jambes ou ses bras bougeaient. Il se tenait toujours le côté de son tronc avec la main pour stopper une quelconque hémorragie. Malgré la blessure, il m’envoya un coup de pied ravageur. A une vitesse phénoménale. Cependant, le côté touché de son corps, amoindrissait l’efficacité de sa technique. Dans un mouvement de panique, le requin tendit son bras gauche là où le pied du jeune homme allait percuter. Le requin perdit l’équilibre au moment du choc entre le métal et le pied du gamin. Sa puissance était quand même remarquable pour son âge. Cela m’impressionnait. Je ne sais pas si le requin à cet âge-là, avait une telle puissance. Enfin tu me diras, mais à cet âge-là, le requin hibernait dans le ventre d’un poisson géant. Il ne côtoyait personne et se nourrissait de tout ce qu’il pouvait trouver sur son chemin.

Nous venions de reprendre notre équilibre. L'enfant lui reprenait son souffle. Il semblait épuiser. Cela devait être la plaie qui devait l'affaiblir. En y repensant, je devais faire vite. La détonation de la balle avait peut-être alertée les autorités. Ce qui donnait à réfléchir sur l'issu du combat. La fuite ne pouvait être en aucun la bonne solution. Le jeune garçon allait appeler de l'aide et avertir qu'un intrus était sur île et qu'il n'avait rien à y faire. Je devais alors conseiller d'attaquer au poisson enragé. C'est alors que le requin sous ma directive, lança son bras gauche dans la direction gamin. N'ayant pas la même sensation dans le bras droit que dans le bras gauche. La sensation du toucher n'était pas le même. Le carnivore ne sentait pas s'il venait de toucher l'enfant. Le corps de mon adversaire semblait tout de même résistant. Il venait d'être touché au flanc et il était toujours dans la bataille. Ceci m'épatait. Mais la pitié du grand requin blanc ne cessait de grandir et il considérait le puceau comme un vulgaire morceau de viande. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas vu le poisson dans cet état. Il faisait vraiment peur. Ses yeux d'un noir intense, n'était guidé que par sa haine. Les festivités venaient de vraiment commencer. Voyant les dégâts que venaient de faire l'attaque ; Heated Breath sur le corps de l'enfant. Je soufflai au requin de recommencer, mais de la jouer plus basique et de ne pas envoyer les dents. Vu la force du jet sous pression. Si l'enfant le prenait de plein fouet. Cela allait lui faire d'amples dégâts. Peut-être que cela me permettrait de prendre la fuite. Je commençais la mise en route du processus. Jango exécutait mes ordres à la lettre comme un chien bien dressé. La verdure proche de nous, allait permettre de constituer la prochaine attaque. Le carnivore se concentrait et exécuta la technique : « C'est pour moi ? ». A partir de cette technique ; Jango peut extraire l'eau des plantes, des corps et de l'atmosphère. Il peut contrôler l'eau à l'intérieur des plantes et des êtres vivants. De ce fait, l'animal concentre une solution aqueuse dans sa bouche, prêt à être lancée à toute à allure dans la direction de l'enfant. Après avoir emmagasiné une quantité suffisante d'eau dans sa bouche, à partir de la végétation environnante et de l'eau comprise sur sa peau.

Le requin ayant fini les préparatifs. Il se concentrait pour attaquer et ne pas louper sa cible. Son niveau de concentration était tel que des veines se sculptaient sur sa peau rocailleuse. Après avoir pris son temps pour bien viser sa proie. Il ouvrit la bouche et l'attaque ; Heated Breath était lancée dans la direction du Marine ! La vitesse du projectile aqueux était super rapide. Je ne savais pas si l'agent du gouvernement allait l'esquiver. J'y pensais et tant que grand manitou de la réflexion. Il nous restait cinq balles dans le revolver, c'est alors que je fis signe à Jango d'en tirer deux vers la cible. L'histoire d'achever le combat. Je n'avais aucune envie de tuer ma cible, mais si notre liberté en jeu. Nous devions le faire pour nous ! C'était une façon égoïste de penser. Mais je rappelle au monde entier que : c'est qui, qui est martyrisé depuis des siècles ? C'est qui, qui est vendu sur le marché comme du bétail ?

Un élan de vengeance me prenait comme si cette enfant allait prendre pour tous les malheurs que notre race avait endurés pendant des siècles. Mais pas le temps pour les règlements de compte. Ce n'était pas pour cela que nous avons sorti nos museaux sur la terre ferme ! Je suis venu en ce monde pour prouver aux humains que nous aussi,homme, muté en poisson. Nous sommes aussi capables de faire de grandes choses ! C'est ainsi que je décidais en tant qu'homme valeureux de proposer au jeune homme. S'il venait à survivre ; ma fuite contre sa survie ! C'était ma dernière offre ! Et s'il venait à prévenir les autorités, son corps ne serait pas retrouvé en entier. La colère me prenait et je ne savais pas ce que ce combat allait nous réserver !






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Mar 12 Mar - 16:12

Je te transformerais en bouillabaisse un jour!






Je regardais mon adversaire à présent, le dos légèrement courbé par la douleur et ma main appuyant sur mon flanc afin de réduire du mieux que je pouvais l’hémorragie qui y avait lieu. Je ne savais pas encore si on coup avait eu un quelconque effet, tout ce que je savais était que mon adversaire s’était protégé du bras gauche avant d’être projeté en arrière. La seule chose certaine était que ma blessure et cet enchainement de techniques me coutaient chers, je ne tiendrais plus longtemps et si cette technique n’avait pas blessée mon adversaire j’étais foutu. C’est alors que l’homme-poisson se jeta sur moi, le bras gauche en avant et me frappa violemment. Je ne pus esquiver le coup, ma blessure commençait à réduire mes capacités et le simple fait de bouger était devenu un exploit. Mon corps glissa sur quelques mètres tandis que la douleur progressait dans toutes les parties de celui-ci.


J’aurais pu rester à terre à ce moment-là, j’aurais peut-être même du mais l’abandon d’un combat n’était pas vraiment ce que l’on m’avait appris dans mon entrainement, bien au contraire. Rassemblant mes toutes dernières forces et au prix d’un ultime effort je réussis à me relever malgré la douleur de plus en plus forte je me plaçais de nouveau face à mon adversaire. Bon visiblement son bras gauche n’avait pas souffert de mon attaque vu la façon dont il s’en était servi, il fallait vraiment que je poursuive mon entrainement afin de pouvoir vaincre ce genre d’adversaires avec facilité. J’avais perdu ça ne faisait aucun doute mais je ne faiblirais pas devant mon adversaire et un jour je le retrouverais et lui rendrais la monnaie de sa pièce. En attendant il fallait que je survive jusque-là et mes doigts se portèrent à mon escargophone, mon adversaire semblait préparer une nouvelle fois l’attaque qui m’avait blessée un peu plus tôt, je savais pertinemment que celle-ci signerait la fin du combat mais si je réussissais à appeler des renforts avant je pourrais m’en sortir tandis que lui non. Mes doigts commencèrent à soulever le combiné qui sonnait d’ores et déjà, appelant le colonel de l’ile, lorsque la douleur me lança une nouvelle fois, si fort que mes doigts se détendirent et que le Den Den tomba à terre. C’est alors que l’intrus lança son attaque dans ma direction et j’eus à peine le temps de rattraper l’escargophone que le jet d’eau sous pression me percuta de plein fouet, me projetant au loin. Au moment du choc je pus entendre deux déflagrations, des balles de fusil mais aussi des craquements dans mon corps tandis que la douleur arrivait de nouveau, plus forte que jamais, mes côtes désormais cassées protestaient leur frustration et cela n’était vraiment pas agréable.


Je m’arrêtais finalement à plusieurs mètres de mon adversaire, au sol, absolument incapable de bouger mon corps douloureux. Les balles m’avaient effleurées mais n’avaient heureusement pas fait de dégâts supplémentaires. C’est alors que mon escargophone parla :

Allo oui!? Kyoryo? Où es-tu je t’attends moi!?

Le colonel venait de répondre, je remarquais alors mon combiné, à quelques centimètres de ma main et je pris une grande inspiration avant de répondre d’une traite :

Problème! Intrus! Plage ...

Le reste de la phrase ne fut qu’un cri de douleur. Je ne pouvais même plus parler! C’était au-dessus de mes forces, la douleur était trop grande. Il n’y eut pas de réponse de l’autre côté, juste le bip du combiné qu’on vient de raccrocher. Le colonel n’avait pas cherché à comprendre, aussitôt il allait sonner l’alerte et d’ici dix minutes ils en viendraient à cette plage, mais l’intrus n’y serait plus. J’avais surtout fait ça pour que les secours viennent me chercher rapidement, cet homme m’avait battu de manière trop simple, ce serait moi qui l’enverrait sous les verrous, pas un autre marine de l’île. Dans un ultime effort je réussis à crier à son encontre :

Fuis! Fuis et je te retrouverais un jour!

La douleur devint alors telle que je me sentis partir et ce ne fut que par une volonté de fer que je ne m’évanouis pas, restant là à contempler le ciel, attendant seulement que les autres arrivent et que l’on m’emmène aux soins. Je n’allais pas non plus en faire un objectif principal et ne me mettrait pas à traquer cette bête jusqu’à la tuer, mais je m’entrainerais encore et toujours pour faire en sorte de l’envoyer pourrir au fond d’une cellule d’Impel Down la prochaine fois que nos routes se croiseraient.

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Mar 12 Mar - 17:12


Me voici, me voilà, c'est bien moi !
Big Fish !







Le combat semblait clos ! Je venais de lui faire une rafale qui allait être fatale ! Le gamin avait réagi de la sorte. Après qu'il met envoyé un coup de pied ravageur. Jango venait de le contrer avec son bras bionique. Cependant, la force de frappe de celui-ci était impressionnante, le requin fut projeté vers l'arrière, lui faisant perdre son équilibre. C'est là, que mon combo commence, le poisson de type requin blanc venait de lui assigner un coup de poing. Je venais de percuter le petit bonhomme. Sa plaie l'empêcha d'éviter mon coup. La blessure handicapait fortement le gamin. Il semblait lutter, pour ne pas chavirer vers la mort ou le coma. Le coup de poing l'envoya valser sur quelques mètres.

Je n'en revenais pas ! L'enfant venait à se relever. Je n'en croyais pas mes yeux. Il était débout. Comme si toutes les attaques que je venais de lui lancer n'avait eu aucun effet. En voyant la plaie sur le côté. Mon étonnement fut atténué, car cela le rendait vulnérable. Le jeune homme fit un manœuvre qui n'allait pas me donner l'avantage. Il tendit sa main vers un objet. De là où j'étais, je ne savais pas à quoi cela pouvait s'apparenter ! C'est alors que je commençais à me rapprocher. Je vis de loin qu'il commençait à s'avancer pour parler. Je compris tout de suite, qu'il venait de sortir un escargophone de sa poche. Dans un élan de précipitation, je sortis alors un combo : le jet sous pression le percuta de plein fouet. Je procédais de façon sadique, mais j'étais obligé. La survie était en jeu. Il voltigea dans les airs avant dans le même moment Jango tirait au fusil dans sa direction. Les deux balles le percuta, mais de façon très légère. Il atterrit dans le sable de la plage. Il tachait le sol avec son sang. Je venais de le détruire. Mais il ne semblait, ne pas vouloir mourir et il ne semblait plus apte à se mettre debout. Son visage se crispa, la douleur retentissait de plus en plus. Il était loin de moi, mais je l'entendis soufflait à l'escarphone qui répondait : « Allo oui!? Kyoryo? Où es-tu je t'attends-moi!? ». Une personne semblait avoir été mise au courant. Le jeune homme dans un élan de vigueur cria dans son dernier souffle : « Problème! Intrus! Plage ... ». Il n'eut pas la force de finir sa phrase. Je me rapprochais de lui. Et le requin donna un coup dans l'escargophone. Je regardais les dégâts causés. L'enfant était mal en point, il perdait beaucoup de sang. Alors que des renforts venaient d'être appelés, je quittais l'île. Le requin sauta dans l'eau comme un fou furieux. Il nagea à la vitesse de l'éclair pour quitter le plus vite possible les lieux. Il nagea, nagea pendant une bonne dizaine de minutes. Après avoir quitté les environs. Il fit une pause et pensa au futur ! Qu'allait-il devenir ?






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