Derniers sujets

Loterie de Noël 2024parGhetis Archer
Aujourd'hui à 19:22
Marché de Poplar ! [LIBRE]parMaître-Jeu
Aujourd'hui à 19:00
Création d'Aptitude / Style de combatparJack the lanterne
Aujourd'hui à 13:49
Fate's CityparInvité
Mer 4 Déc - 20:30
Par l'Explosion trembla la Terre [Pv Edward]parMaître-Jeu
Jeu 28 Nov - 10:27
[Pillage] Appel d'OffresparMaître-Jeu
Mer 20 Nov - 10:41
[Présent] A la fin de l'Eclipse, brille le SoleilparMaître-Jeu
Mer 6 Nov - 23:07
Jericho Cruosé au pays des titans | JerichoparJericho D. Dharma
Lun 4 Nov - 17:02
(FB) Vorinclex vs Saïmiri : Round 2. (Jericho x Milou)parMilou Gena
Dim 3 Nov - 15:55
Le Deal du moment : -64%
CALOR Rasoir anti-peluches – Large tête ...
Voir le deal
4.99 €

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : Précédent  1, 2
Eden Chapter
Le Passeur
Eden Chapter
Messages : 462
Race : Humain
Équipage : Edward's Pirates

Feuille de personnage
Niveau:
[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Left_bar_bleue36/75[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Empty_bar_bleue  (36/75)
Expériences:
[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Left_bar_bleue49/350[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Empty_bar_bleue  (49/350)
Berrys: 1.868.951.002 B
Mar 12 Nov - 20:14
Appel d’offres
Feat. Edward Lawrence & Jiva



Chaque homme doit mourir.

C’est ce qu’on lui a toujours dit. C’est ce que vous lui avez toujours dit. Chaque homme doit mourir. La seule vérité universelle. La seule par laquelle vous juriez. Celle qui régissait toute votre existence.

Chaque homme doit mourir. Autour de celle-là, les pierres se dressent comme d’autant de preuves. Autant de marques de cette vie que vous avez vouée, presque exclusivement, à cette doctrine. Cette évidence que vous éleviez au rang de dogme. La seule équité.

Vous la lui avez inculqué avec tant d’insistance, face à la nécessité que celle-là la porte un jour à son tour, vous libérant de son fardeau. Vous la lui avez assené, comme si c’était la seule chose qui comptait. Il allait de soi que son existence, lorsque son tour viendrait, serait définie par ce principe sacré. Celui qui ordonnait toute chose.

Longtemps, celle-là ne l’avait nullement questionné. Trop longtemps, sans doute. Le doute n’avait jamais fait partie de l’apprentissage. Celle-là avait dû, comme vous le vouliez, construire sa conception du monde autour de cette maxime. L’ordre des choses n’en avait pas réellement été bouleversé.

Des poignées de terre, jetées à la volée. S’amassant, loin sous ses pieds, recouvrant peu à peu une moue désapprobatrice jusqu’à la voir disparaître. Les nuits sans lune, l’image lui revient. Chaque homme doit mourir, vous l’affirmiez sans hésitation. Celle-là n’avait fait que vous écouter. Elle avait huit ans.

Un journal mal roulé bat au vent dans sa main gauche. Celle-là s’était demandé, un temps, quoi croire. Vous, ou eux ? Fut un temps où la réponse aurait été évidente.

Celle-là avait voulu en avoir le cœur net. Les vents l’avaient portée jusqu’ici, sur cette île maudite que ses pieds n’avaient pas foulé depuis deux décennies. Au sommet de cette butte qui hante aujourd’hui encore ses pensées. La confirmation était tombée comme un couperet. Cette fosse effondrée, éventrée, abandonnée. L’outrage lui avait coupé le souffle. Ainsi donc, vous aviez menti.

Chaque homme doit mourir. Une vérité simple, à laquelle tous sont tenus. C’était ce que vous lui avez inculqué. Mais cette page froissée et cette tombe abandonnée semblent inexorablement pointer que tout cela n’était que mots au vent.

Le vertige la prend, ses genoux se dérobent sous son poids.

Chaque homme doit mourir.

Quel appel est donc assez puissant pour vous faire déroger à une loi primordiale de l’univers ?

Une râle de frustration se perd dans les salins. Dites-lui, Père ; celle-là mérite au moins de savoir.


_________________


- ...

Peur ?

La chandelle déjà vacillante manqua de s’éteindre une bonne fois pour toutes. Les ombres dansèrent sur les murs, s’allongeant dangereusement l’espace d’un instant, avant de regagner leur juste place. Pensaient-ils réellement que c’était de cela dont il s’agissait ? Il laissa siffler un souffle bref entre ses dents serrées. Etait-ce le seul moteur qu’ils étaient capables d’envisager ? Pour lui, la caricature devait être cherchée. Mais eux ?

Des enfants. Des enfants qui couraient dans la boue, paniqués. Des enfants dont l’existence se résumait à une fuite en avant continue. La peur était leur seule réalité. Peur de la mort, peur du vide, peur de l’oubli. Ils se terraient dans leur lit, une pauvre veilleuse faiblarde comme seul rempart contre le noir.

Peur ?

Il jura. Le fauteuil bascula, tonnant contre le plancher d’ébène, tandis que son poing percuta le mur. Un grognement rauque se fit entendre en même temps que le craquement de ses phalange. Son poing appuyé, il se pencha en avant, haletant. De lourdes gouttes de sueur passèrent devant ses yeux.

Qu’est-ce qu’ils y connaissaient ?

Chaque homme doit mourir. C’était ainsi.


_________________


- … j’peux t’assurer qu’à partir de ce moment-là, il est plus revenu montrer sa trombine par ici, ça j’peux te l’assurer!

Reïkah n’avait jamais été du genre bavarde. A vrai dire, les gens bavards lui tapaient sur le système. Une affaire discrète était une affaire réussie, c’est ce que La Nonne lui avait toujours appris. Et la Nonne ne se trompait jamais. Ceux qui avaient le besoin de se vanter de leurs exploits ne devaient pas avoir accompli tant que ça.

- Enfin, tout ça pour dire que...

Elle s’interrompit, fronçant les sourcils. Tout ça pour dire quoi ? Elle avait perdu le fil de ses pensées. Pensive, elle baissa les yeux en direction de la dalle creuse, là où se trouvait le livre. Comment en était-elle arrivée là ? Elle n’avait jamais été du genre bavarde, ça elle était sûre de l’avoir dit. Pour le reste…

- Dites, vous avez dit que…?

Sa question resta en suspend. Elle resta un instant immobile, leva un doigt, le baissa, regarda à nouveau la mosaïque au sol, tourna de gauche à droite, plissa les yeux, fronça son cerveau. Derrière elle, le coucou mécanique chanta, la réveillant en sursaut. Elle cligna plusieurs fois des yeux, comme pour se faire à la luminosité ambiante. L’odeur de l’encens lui chatouilla les narines, et l’echo de son flot de paroles interrompues s’effaçait déjà au loin.

D’un air soucieux, son regard balaya à nouveau ses alentours, l’assurant qu’elle était, comme toujours, entièrement seule. Elle se baissa, toucha la mosaïque en ces trois points dont seule elle avait le secret. Le livre était bien en place.

- T’es con, Reïkah, laissa-t-elle échapper d’un ton désinvolte, un sourire au coin des lèvres.

Puis elle retourna à ses comptes.

_________________

Une île de sauvages décérébrés. Voilà où il est. Le corps démembré qui gît à la porte n’est qu’une confirmation de plus. Des singes savants, qui vouent leurs vies entières à un œuvre dont ils ne comprennent rien. Qui cherchent désespérément à s’élever vers le ciel, alors même que la Création les a dépourvus de toute âme.

Il en sait quelque chose ; lui-même a depuis bien longtemps accepté son statut d’objet doué de vie, d’outil ignare soumis aux caprices fugaces d’êtres dont les desseins le dépassent. Ou presque. Il s’évertue souvent à ne pas poser de question ; il écoute et il exécute, en bon chien de garde. Il fond, il frappe, il tue. Une balle de fusil n’a pas de volonté propre. Mais elle a son histoire. Comme lui. Comme ce pauvre type, dont la rigueur mortuaire a figé sa stupeur. Il sourit tristement. Souvent, ce n’est ni la peur, ni la douleur, ni la colère qui marquent les visages de ceux qui tombent. C’est la surprise. Personne ne se lève le matin en s’attendant à mourir.

Léon retire ses lunettes un instant. Ses yeux écarlates se closent tandis qu’il énonce silencieusement quelques pensées pour ce corps anonyme. Il n’y a pourtant personne pour le voir. Le vieillard a imprimé sur lui, plus qu’il ne l’aurait souhaité. Cela ne lui plaît pas.

Une légère odeur d’anis et de naphtaline flotte dans l’enceinte du manoir ; il fronce le nez, faisant remonter ses lunettes. Un bref hochement de tête signale son arrivée à l’explosif Nébula, puis son regard parcourt la pièce, plaçant en une seconde les présences qui le préoccupent. Il s’installe dans un coin, près de la porte d’entrée, les mains croisées derrière son dos. Nul besoin de s’avancer plus ; il connaît son rôle à la perfection, et il n’implique pas les projecteurs.  


_________________


Ses yeux sont clos. Il est assis contre l’escalier, jambes pliées devant son torse, bras longilignes tombant au sol. Son dos s’appuie contre la rambarde ; il n’aime pas l’espace vide que cela laisse derrière lui. Trop de temps a passé.

Aucun souffle ne semble soulever sa poitrine, aucun pouls ne semble battre ses poignets. Le grand ours est là, parfaitement immobile. Il ne fait qu’un avec les murs.

Pourtant, il n’est nullement paisible. Chaque fragment de son corps momifié se rappelle à lui de la plus odieuse des façons. Un froid intense rampe lentement sur sa peau, promettant peu à peu de l’envelopper entièrement. Un feu ardent consume ses articulations. Un bourdonnement sourd vrombit au fond de son crâne, juste derrière ses orbites ; là où il n’a aucune chance de l’atteindre. Ne lui parlez pas. Quoi que vous fassiez, ne lui parlez pas.

Trente minutes. Est-ce qu’ils ont la moindre idée de ce qu’ils lui infligent ? De ce qu’ils lui font subir ? Cela n’a pas été convenu. Ces parvenus traitent le temps comme s’il s’agissait d’une ressource illimitée. Qui peut se permettre cela ? Certainement pas lui.

Il ouvre les yeux, à grand peine, lorsque le bruit se fait à nouveau plus pressant. Il a envie de leur hurler de se taire. Il a envie de les foutre à la porte, tous autant qu’ils sont. Il ne fait qu’ouvrir les yeux en serrant les dents. Aucun geste, aucun souffle ne trahit qu’il est encore présent. Il ne peut qu’observer.

Et il la fixe. Dans toute son arrogance, dans toute sa sauvagerie. Dans son irrévérence complète envers les lois les plus fondamentales. A cet instant, il sait. Il sait tout ce qu’elle représente. Il sait tout ce qu’elle menace. Il sait toute la haine qui le dévore. Il sait qu’il souhaite être aux premières loges pour voir cette étincelle s’éteindre au fond de ses iris. Il sait que dans une autre vie, il s’en serait chargé lui-même. Et il sait, plus que tout autre chose, que cette possibilité lui a été dérobée, et qu’il ne la retrouvera jamais.

Il voit à peine le fier samouraï qui prend place dans la salle, étouffé par son orgueil. Il voit à peine son capitaine qui l’invective. Il voit à peine le jeune homme aux cheveux noirs qui se déplace d’un air désinvolte, l’air de rien, se plaçant discrètement entre l’épéiste et lui. Il ne voit qu’elle, et la salive qui s’écoule de ses babines retroussées.

Lorsqu’elle aboie, lorsqu’elle mord, il ne peut rien ; il ne peut pas bouger un doigt. Il ne peut pas saisir l’occasion, comme il l’a toujours fait. Il ne peut qu’observer, comme une statue de cire, maudissant en silence tout ce qu’il peut ; des générations d’esprits escrocs qui l’ont dépouillé de tout. Il les hait. Il la hait. Il se hait. Il ne peut qu’observer, tandis que le monde tourne sous ses yeux.

Sans lui.






_________________
[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 WUPhkz9
"Avant moi rien n'était, nul ne fut enfanté,
Hors les êtres crées d'éternelle substance,
Et moi je suis comme eux, car j'ai l'éternité,
Vous qui passez le seuil, laissez toute espérance."

Dante Alighieri, La Divine Comédie
Eden Chapter
Revenir en haut Aller en bas
Maître-Jeu
Maître-Jeu
Messages : 3381

Feuille de personnage
Niveau:
[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Left_bar_bleue0/0[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Empty_bar_bleue  (0/0)
Expériences:
[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Left_bar_bleue0/0[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Empty_bar_bleue  (0/0)
Berrys: 0 B
Mer 20 Nov - 10:41


[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Boogey10
The Boogeyman,
Héritier des commerces de la Triade sur Burj Babil

Le Burj était plus que mouvementé en ce jour. Ses tréfonds se remémoraient leurs passées d’antan, tandis que son centre vivait une forme de fougue, telle celle d’un trentenaire ou d’un quarantenaire entamant cet âge. Enfin, le sommet, quant à lui, vivait l’effervescence de la jeunesse après une rencontre chaotique.

Le Burj Babil n’avait jamais été aussi vivant qu’en ce jour. Il vivait sa vieillesse, sa jeunesse et son âge adulte en un jour.


    - Sans s’arrêter, il faudrait environ 10 heures à 14 heures pour atteindre le sommet du Burj. Les ouvriers du chantier sont assez particuliers.
Répondrait le Croque-Mitaine vis-à-vis de la question du Lawrence.

Le pirate quitta alors les lieux à la stupeur des quelques participants qui ne comprenaient pas vraiment ce qu’il se passait. Néanmoins, ils n’avaient d’autre choix que de rester là et attendre. Dans un sens ils étaient relativement contraints par la puissance des individus ici présents.

Ce fut à cet instant que Lawrence s’adonna à un appel particulier, avant de quitter les lieux. Grimpant sur la bâtisse le pirate s’adonnerait alors à un speech que le peuple du manoir entendrait vaguement si la voix de l’homme avait été portée assez forte pour cela, selon son désir.

Il était difficile de savoir à qui s’adressait son discours. Ce fut à cet instant que l’onde royale de l’homme déferla. Entre son degré de maîtrise de ce haki et sa puissance naturelle, le Lawrence pourrait aisément répandre son pouvoir sur la moitié de l’étage.

Un étage du Burj Babil représentait une petite île de ce monde.

L’onde du haki royal était une libération d’énergie, sa puissance diminuerait au fur et à mesure qu’elle se répandrait à pleine portée. Ainsi, une bonne partie du district et des individus dans la rue s’effondrèrent, tombant dans les vapes, tandis que d’autres furent paralysés. Hors du district cela eut principalement l’effet d’une paralysie, puis arrivée à la moitié de l’étage, ce serait une paralysie légère.

L’effet se remarquerait, pour Edward, par la chute de la majorité des individus dans les ruelles avoisinant le Manoir de Boogeyman. Pour le reste il ne pourrait pas voir grand-chose, les habitants étant chez eux ou trop éloignés de son champ de vision.

Néanmoins, lorsqu’il entra de nouveau dans la bâtisse, si son haki de l’observation était en alerte, il pourrait sentir plusieurs fois s’affairer vers le manoir.

[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 QWeAGOn
Yakato Kozawa, Gokenin du Shogunat de Wa, primé à 401 millions de berrys.

Lorsque vint l’arrivée de Kozawa, son discours ne changea guère, mais il ajouterait.

    - Je suppose que vous êtes derrières le déferlement d’onde royale dans les rues ? L’état des individus au sol ressemble, en tout cas, aux effets de l’onde. Pourriez-vous m’expliquer les raisons de ce geste ? Car nous serons bientôt assaillit par la Pègre et les marchands. Le Burj est régit par une paix commerciale. Aucun Empereur ne souhaite en fragiliser le fonctionnement sachez-le.
.

    - Le Haki des rois ?
Interrogerait Boogeyman qui ignorait l’état de l’extérieur.

    - Plusieurs personnes se sont évanouies dans les rues du district.


Yakato Kozawa n’en était pas à sa première nécessité de protéger le Burj Babil. Son esprit avait déjà été mis en alerte lorsque le sommet du Burj avait tremblé plus tôt dans la journée. Néanmoins, ses informateurs l’avaient rapidement rassuré sur l’état du village-chantier.

Vint ainsi la prise de parole de Jiva. Le Gokenin la connaissait de vue par son avis de recherche. Il ne connaissait pas davantage de choses sur sa position, mais son nom viendrait sans trop de difficulté dans son esprit.

Cependant, il n’eut pas le luxe d’entamer une discussion apaisée avec elle, puisqu’il ressentit rapidement des intentions peu louables émanant de la demoiselle. De plus, l’amorce de sa posture semblait bien être celle d’une combattante.

Ainsi, lorsqu’elle fusa sur son samouraï, ce fut Kozawa qui bloquerait l’assaut à l’aide du plat de son katana, également couvert de haki de l’armement.

La lame de Kozawa était assez longue pour que l’homme l’ait légèrement planté au sol. Cela était pour lui une parade « classique », puisque la terre produit de suite un pilier diagonal qui viendrait éjecter Jiva.

    - Je vous conseille d’arrêter sur le champ et d’amorcer une discussion calme. Boogeyman, ton commerce pourrait être expulsé du Burj pour cela tu le sais.


C’était effectivement une logique à prendre en compte, les marchands acceptaient la protection d’Eko et en retour Eko en tirait des fruits. Le Taka avait donc un impact sur une part des choix « politiques » au sein de l’île et ici la politique était le commerce ! Cependant, ce n’était pas ce simple état de fait qui fit Kozawa aborder cette possibilité et qui fit blêmir Boogeyman. Ce fut également le fait que ce haki royal avait donc touché des marchands et par conséquent l’hégémonie commerçante. Cela menaçait directement la position du Croque-Mitaine. Enfin, à cela s’ajoutait tout simplement la Pègre en place, elle-même ayant des intérêts dans différents commerces du Burj.

    - Puisqu’au final je ne suis pas venu seul comme je le désirais…
Dirait Kozawa.

Peu après, on pouvait remarquer la présence de trois individus dans la pièce.

[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 0gheti10[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 0gheti11
Hibara Hibari primé à 130 millions de berrys, membre du Nightmare Cartel & Naotome Sagiri primée à 150 millions de berrys, membre de la Mafia de Konan.

    - A quoi tu joues encore Boogeyman ?
Dirait Hibara.
    - Sans doute à jouer avec nos nerfs. Mes hommes et mes clients qui s’évanouissent en plein deal, c’est génial.
Rétorquerait le Naotome.


[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 0gheti12
Orzammar, membre du Syndicat des Parias.

    Que se passe-t-il ici ?


Le Syndicat des Parias était une organisation existant uniquement au Burj Babil. Ce Syndicat était un héritage de la fameuse Horde des Tréfonds. Lorsque la Horde des Tréfonds s’attacha à la VMS pour devenir en quelque sorte l’armée privée de l’entreprise commerciale, certains réfractaires quittèrent la Horde pour fonder leur propre groupe ailleurs. S’installant au carrefour du Nouveau Monde dans l’optique de décider où lancer leur activité, l’indécision les conduisit à rester sur place et à accepter dans leurs rangs d’autres renégats et parias, peu importe leur provenance. Si aux yeux du Gouvernement Mondial ils seraient peut-être perçus comme un groupe hors-la-loi, selon les lois de Burj Babil ils étaient dans la légalité et cela faisait d’eux la seule alternatives aux organisations de la pègre pour les marchands locaux qui voulaient contrôler l’information, récupérer des marchandises particulières et autres.

La différence étant que le Syndicat prenait ces marchandises à la pègre pour les restitués en les réintégrant dans le système légal de Burj Babil. Ils n’étaient donc pas forcément alliée à la Pègre, ainsi, les retrouver sous une même bannière démontrait, encore une fois, l’équilibre sur lequel reposait la Tour de Babel.

[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 0burjb16[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 0burjb17[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 0burjb18
Gardes des commerçants du Burj Babil
A l’extérieur, une vingtaine de gardes, aux décorations diverses, étaient désormais présents. Le long des bâtiments on pouvait remarquer un groupuscule de quatre individus, un duo et une personne seule.

Enfin, sur un bâtiment se trouvait l’Œil des marais, observant silencieusement la situation.

[Pillage] Appel d'Offres - Page 2 Hll9910




Vous disposez d'une semaine à compter d'aujourd'hui, même si vous pouvez répondre avant si vous le souhaitez.

[spoiler=PNJ]

Empire Eko Taka :
Yakato Kozawa Lvl 42 | Tranche-Pierre | Double Haki | Nodachi
10 Samouraïs  Lvl ??? | ???

Mafia de Konan :
Naotome Sagiri Lvl ??? | ???
?? Membres de la Mafia de Konan Lvl ??? | ???

Nightmare Cartel :
Hibara Hibari Lvl ??? | ???
?? Membres du Nightmare Cartel Lvl ??? | ???

Commerçants du Burj Babil :
20 Gardes aux décorations variées Lvl ??? | ???

Représentant du District des Brumes :
L'Oeil des Marais Lvl ??? | ???

HxH :
The Boogeyman Lvl ??? | ???
Edge Runner Lvl ??? | ???
Dan Belfort Lvl ??? | ???

Famille Bathory :
Dragos Bathory Lvl ??? | ???
Maître-Jeu
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
Sauter vers: