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Shiki M. Eiki
Général de la Révolution
Shiki M. Eiki
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Mer 13 Jan - 0:09
Audience Royale



Le temps passe et les projets se multiplient. Tranquille dans notre habitation montée durant une certaine « ellipse », moi et Komari profitions d’un séjour sur Momorio. La seconde île des femmes était toujours si resplendissante, et après de longues réflexions, au détour d’une sieste, je proposais une certaine idée à Komari. En effet, l’île des Okamas nous avait accueilli les bras ouverts et cela, sans demander une quelconque contrepartie. Nous nous étions pliés à leurs coutumes et nous étions même fondu dans le décor. Être reconnaissant n’était que la juste contrepartie que nous pouvions leur rendre, alors en me réveillant et après quelques discussions, je proposais à Komari quelque chose de simple.

« Dit moi Komari… Que penserais-tu si on offrait notre protection à cette île ? »
« Hmmm… Je ne suis pas sûre de savoir si c’est une bonne chose ? Connais-tu le passif de l’île ? »
« Avec Kanaë ? »
« Non… En général, avant Kanaë. »

Réfléchissant quelque peu, je pu comprendre où elle voulait en venir. Si négocier une alliance serait envisageable, ce serait les arguments qu’il faudrait mettre en avant. Soupirant longuement, je vins à doucement essayer de peser le pour et le contre avant de finalement m’étirer longuement.

« Leur offrir notre protection et peut-être obtenir un privilège commercial sera bénéfique à la révolution. »
« Et on répète l’histoire ? »
« … Non… Non car cette fois-ci, ils seront alliés à l’Inquisition. Erwin Dog… Nous. »

La demoiselle dos à moi posa sa tête contre une de mes épaules, pensive. Elle aussi cherchait à voir où seraient les intérêts et comment justifier une telle chose. Puis finalement, elle vint à demander purement et simplement.

« Pourquoi si soudainement ? »
« … Car cela fait six mois qu’ils nous protègent, nous hébergent… J’aimerais les remercier. »

Soupirant longuement, la demoiselle finit par me donner son feu vert. Elle comprenait mes motivations, même si elle ne pouvait me garantir le succès des négociations. Après tout, il ne suffit pas d’être gentil pour réussir à obtenir des accords solides. Quoi qu’il en soit, ayant sa bénédiction, je l’embrassais et embrassais son ventre arrondis avant de promettre de revenir vite.

Allant au plus près du palais de la reine de cette île, je me dévoilais aux gardes et montrais patte blanche. Me présentant comme Shiki M Eiki, commandant de l’Inquisition, je demandais officiellement une audience avec la reine. Là où certains se seraient permis d’ajouter que la raison est urgente, se faisant passer pour extrêmement important, moi, je restais humble. Je comptais sur le fait que la révolution du Dog et que certains actes passés ont fait, font et feront que la révolution reste des « alliés » viables. Malgré certains faits comme la mort de l’ancienne reine… Fait regrettable et qu’il faudrait sans doute évoquer plus tard.

J’attendais donc patiemment d’avoir une réponse concernant ma demande d’audience, espérant de tout cœur pouvoir rencontrer la reine dans les plus brefs délais afin de converser au sujet d’une possible alliance. Ou à défaut, un gain de protection en guise de remerciement pour ce qu’ils m’ont offerts pendant ces six mois. Bientôt, nous pourrions repartir en mission moi ET Komari. Mais même quand nous « quitterions » l’île, nous resterons les principaux acteurs d’une défense solide. C’est la moindre des choses pour remercier ces gens et leur hospitalité.



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Shiki M. Eiki
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Mer 20 Jan - 17:17
Négociations



Attendant des nouvelles suite à ma demande, j’espérais que la reine accepte ma demande d’entrevue officielle afin de discuter avec elle. Enfin lui… Enfin… Bref. Patientant en douceur, je réfléchissais à ce que je pourrais dire à celle-ci et comment la convaincre d’accepter mon aide mais aussi former une alliance officielle, puissante et durable. La manœuvre était plus que sincère et pour cause, ce serait une façon de remercier ces gens, ce peuple et sa seigneurie. Mais rien n’est fait et pour le coup ce n’est encore qu’une idée de projet. Convaincre serait la plus grande difficulté de cet instant.

Prenant mon mal en patience, je finis par avoir des nouvelles comme quoi la reine acceptait de me recevoir. Entrant donc, je fus accueilli par son conseiller. On dit que sa voix est énervante, mais je trouve celle-ci… Aigüe. Très – voire trop – fluette et si pour le coup ça ne m’énerve pas personnellement, je n’ose pas m’imaginer être en compagnie d’une telle personne tout le temps. Mais malgré cette pensée, Salem me semble sympathique et c’est tout naturellement que je discute avec lui en chemin, prenant des nouvelles de la reine. Les réponses sont brèves mais suffisantes à mon goût. Il n’en dit pas énormément, mais assez à mon goût pour ne pas m’inquiéter via une attitude froide. Plutôt neutre. J’avance alors jusqu’à être conduit devant la souveraine de ces lieux. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que les Okamas savent recevoir. Là où un souverain classique se montre froid et hautain, la fameuse Bella’ elle est un tout autre genre.

[Conquête] Gratitude  1bf45b10
Bonnie Bella, Reine de Momorio

« Faites le entrer, je veux voir son doux minois. »

Surpris de telles paroles, je rougissais alors que j’admirais l’homme à l’allure de femme. N’importe qui fermé d’esprit serait clairement choqué de ce travestissement grossier, mais pour ma part j’avais appris à clairement ne plus faire de différence. Les Okamas sont différents c’est un fait, mais est-ce un mal ? Non. J’approche à distance raisonnable et m’incline, montrant alors le respect que je dois à une telle personnalité. Et immédiatement, la demoiselle se redresse pour m’ordonner de me relever.

« Relevez-vous ! Relevez-vous, je veux admirer votre visage. Bon sang… Vous êtes à croquer. »

Essayant de ne pas m’étouffer de surprise à maintes reprises, je me redressais et la regardais tout comme elle me regardait. Si pour ma part je la regardais par curiosité, celle-ci en revanche me dévorait du regard semblant apprécier bien des détails. Que ce soit mon visage dans sa forme, ma chevelure blanc immaculé ou mes yeux, elle enchaînait les compliments au point qu’à un moment, je me raclais la gorge pour essayer de trouver mes mots. Aussi idiot cela soit-il, pendant un moment je cru qu’elle allait me demander en mariage en pointant du doigt le fait que comparé à Erwin – lors de leur rencontre – je n’ai pas de bague au doigt. Je vins donc à rassembler mon courage pour essayer de diriger la discussion sur quelque chose de plus sérieux, à savoir notre partenariat.

« Hmmm.. J… Je vous remercie votre majesté. Vos compliments me vont droit au cœur, mais je ne suis rien comparé à votre beauté tout aussi naturelle que celle dont vous me vanter... »

Pour le coup, je ne sais pas si j’ai bien fait, mais l’égo ainsi flatté, elle manque de remettre une couche de compliments. Bien élevé, charmeur, beau parleur d’un certain côté… Plus les secondes s’écoulent et plus je me demande si elle ne va pas me sauter dessus. Heureusement, son conseiller tente de calmer son excitation pour les beaux garçons. Heureusement que le conseiller semblait avoir la tête sur les épaules. Il fit valoir le fait qu’une audience est une chose rare et qu’en plus de ça, elle avait d’autres chats à fouetter dans la journée. Il fallait donc faire vite. Regagnant son calme, la demoiselle me regarda semblant plus en mesure de se contrôler cette fois et elle me donna la parole. Humblement donc, me redressant après une énième révérence, je m’exprimais le plus clairement possible.

« Encore une fois, je vous remercie du temps que vous me consacré. Je ferais en sorte d’être bref votre majesté. Si je tenais à vous voir, c’est essentiellement pour vous remercier de votre hospitalité. Voilà maintenant six mois que je me suis permis d’emménager sur l’île avec ma compagne Komari. Si au départ il s’agissait d’un refuge en l’attente que les jours sombres passent… Ceci est vite devenu un véritable havre de paix. Et si je viens vous voir en personne aujourd’hui et non via un communiqué de moi ou mes supérieurs, c’est pour vous remercier humblement. Vous et votre peuple pour votre hospitalité plus que chaleureuse. Jamais je ne serais assez reconnaissant pour ce que vous avez fait pour nous. Que ce soit moi ou mes compagnons… Vous avez ma gratitude la plus profonde. »

Quelque peu solennel dans mes mots, je me laissais emporter par mes émotions et pour cacher quelques larmes montrant l’intensité de cette émotion, je m’inclinais. Respirant un grand coup pour reprendre mes moyens, je souris à celle-ci tandis que la dame finit par afficher un sourire radieux visiblement heureuse d’apprendre cela. D’un côté, qui n’aime pas qu’on lui soit redevable ? Qui n’aime pas être flatté ou reconnaissant envers soi ? M’ordonnant une fois de plus de me redresser et me mettre plus à l’aise, je vins à discuter brièvement de celle-ci pour lui raconter mon parcours. Une façon de mieux me présenter, plus que via un nom et une éventuellement prime et des chiffres. Après tout, Shiki M. Eiki c’est peut-être 210 millions de berrys, mais … et ensuite ? Est-ce juste ce chiffre ? Non, je me refusais à rester sur ce genre de détail. C’est donc mon histoire que la reine apprenait et je décrivais avec un soin particulier mes émotions, souhaitant lui transmettre ce que j’ai ressentis. Que ce soit la tristesse ou la joie. La voie d’un révolutionnaire est semée d’embuches après tout.
Ceci fait, on pouvait affirmer que la reine me connaissait mieux. Et tout en discutant, nous entamions le sujet de Kanae. Bien entendu, elle et moi avions connu cette personne et de ce fait, il était impossible de passer à côté de ça. Apprenant donc ses aventures autrefois sur cette terre, je vins à m’interrompre puis sembler pensif.

« Je regrette sa disparition… Même si je ne la connaissais pas totalement, elle était une camarade. Et si certaines personnes arrivent à oublier autrui, je suis plus du genre à mettre une grande importance au passé. Du passé, nous devenons ce que nous sommes après tout… »

M’excusant de cette sombre affaire qui est la disparition de la Toupex, je vins alors à entamer des sujets plus sérieux, trouvant enfin une transition possible.

« J’en viens donc à un second point votre majesté. Afin de vous montrer ma gratitude, j’aimerais vous apporter mon aide. Par cela, j’entends bien me proposer moi ou mes amis pour protéger cette île des convoitises diverses et variées qui pourraient des gens à vouloir assaillir ces lieux. Je ne parle pas seulement du gouvernement, mais bel et bien de hors-la-loi ou de pirates mal intentionnés. Ce que je souhaite étant avant tout protéger cette île et faire en sorte qu’il reste comme étant ce paradis si chèrement obtenu. »

La révélation semblait intriguer la reine et très vite, son conseiller lui chuchota quelques paroles. Sans doute une demande de bien réfléchir, car au fond, ce n’est pas une décision que l’on prend à la légère. Il me fallait donc reprendre la parole pour assurer ma plaidoirie et faire pencher la balance en ma faveur.

« Je suis au courant de l’histoire de cette île et de son passé en lien avec la révolution. Et la mort de l’impératrice Pamela Imperior me désolé. Sans doute est-ce pour ça que j’ai aussi hésité quelques jours avant de vouloir avoir cette discussion avec vous… Si d’un côté je ne souhaite en rien répéter l’histoire, j’aimerais pouvoir offrir protection et sérénité que vous m’en avez apporté indirectement pendant ces six-mois. »

L’explication tenant la route, je tentais de sourire de nouveau après l’évocation de cette sombre histoire. En effet, affirmer être en lien avec la révolution attire souvent des ennuis et Pamela en avait payé le prix à l’époque. Cependant, je souhaitais éviter à tout prix ce renouvellement d’événements. C’est pourquoi, je repris la parole.

« J’aimerais vous proposer une alliance de nouveau avec la révolution. Celle d’Erwin Dog et toutes celles qui vont dans son sens, à savoir celle qui cherche avant tout à rependre la paix sur la terre et la mer. Par le passé la révolution a manqué à son devoir, cependant, je peux vous assurer sur ma propre vie, sur mes lames, sur la vie de mes coéquipiers ainsi… que celle de mon enfant à venir… Que je mettrais ma vie en jeu s’il le faut afin de protéger l’île et ses habitants. Je souhaiterais consolider nos liens commerciaux afin que tant votre marché général ou vos chantiers navales soient encore et toujours florissant. De plus, avec les dons du Dog, il y a une assurance plus grande, ce dernier pouvant déployer des forces à une vitesse que jamais personne n’a autrefois égalé.
Je ne parle pas de crier sur tous les toits notre possible accord, je ne désire en rien vous attirer des ennuis, cependant, vous pouvez être sûr que je ferais tout ce qui est en mon pouvoir – tout ce qui est en notre pouvoir – pour protéger cette île de toutes personnes malveillantes. »


La dame écoutant mes paroles sincères, cette dernière écoutait aussi son conseiller qui semblait peser le pour et le contre. Faire valoir les avantages et inconvénient d’une telle alliance. Sans doute que les avantages était une protection bien plus grande qu’elle ne le sera jamais, un allié puissant pour assurer la paix ici. Mais aussi son lot d’ennuis, comme les ambitions d’autrui, ou des désirs de vengeance de la part d’ennemis de la révolution. Mais qu’est-ce qui serait plus intéressant ? Ce qu’il y avait à gagner ? Ou à perdre ? Le jeu en valait-il la chandelle ? Attendant des questions de la part de la dame de pouvoir, je restais immobile, figé dans le temps.

« Quelles assurances supplémentaires pouvez-vous nous apporter ? Je ne doute point de la sincérité de vos propos – avec un tel minois personne ne peut – mais vous le savez et l’avez dit… Autrefois une de vos amies nous a abandonné. Qu’est-ce qui ne nous dit pas qu’une fois les avantages de certains commerces obtenus vous ne disparaitrez pas ? »

Regardant la souveraine droit dans les yeux, c’est avec confiance que je m’exprimais, répondant à ses questions.

« Je comprends vos craintes, elles sont justifiées. Et à cela, je n’ai que mon honneur à vous proposer. En tant que natif de Wa, je vous assure que l’honneur est une des choses qu’il y a de plus précieux chez moi. Si demain effectivement je vous quitte et ne tient pas mes promesses… Si certains arrivent à dormir sur leurs oreilles, ce ne serait pas mon cas. »

Soulevant une partie de ma tenue, je découvrais deux lames et les dégainaient lentement. Si certaines personnes se mirent en garde, pour ma part, je vins à présenter ces armes à la reine et les planter dans le sol pour les exposer.

« Voici Gekkotsume et Vukain. Deux lames d’une qualité extraordinaire qui m’ont été léguées. L’une par un ami de longue date natif d’ici. Et l’autre par mon défunt sensei. Ces lames, ce sont mes liens qui me relient à eux. Il n’y a rien de plus précieux et pourtant… Je vous les laisse si vous les désirez comme garantit. Bien des bretteurs seraient capable de se battre jusqu’à la mort pour se les approprier. Mais trahir ma promesse, ce serait comme abandonner ces amis à qui j’ai juré toute ma fidélité. »

Incliné poliment, le genou au sol, je regardais le sol en attendant la suite. Des gens murmuraient, le conseiller écarquillait les yeux tandis que la reine avait la bouche entre ouverte. Un bretteur qui est prêt à léguer ses lames de qualités ? Est-ce un bluff ? Une fois de plus, l’homme discute avec la reine jusqu’à ce que sa voix retentisse.

« Shiki M. Eiki… Relevez-vous. »

Obéissant, je vins à regarder la dame qui me fixa de ses yeux. Plongeant en moi, je la laissais sonder ma sincérité et mon esprit avec. N’ayant rien à cacher, celle-ci finit par reprendre la parole.

« Reprenez vos lames, j’en ai assez entendu pour ne pas douter de votre sincérité. On vous décrit comme espoir de la révolution et ce que je vois et entends me conforte dans cette idée. Vous aurez besoin de vos armes, alors reprenez les. Si vous désirez vraiment protéger cette île en personne, que grand bien vous en fasse, et en votre absence… Vous sentez vous apte à déplacer quelqu’un ? Qu’une présence soit toujours présente sur l’île pour assurer une protection optimale ? »

Regardant la reine, je vins à affirmer. Sans doute que dans nos troupes, plus d’une personne serait partante pour assurer cette protection. Pesant le pour et le contre, je vins à répondre à la reine.

« Je peux dépêcher une personne au besoin. Et si cela peut vous rassurer, je m’assurerais moi-même tant de ses compétences que de sa bienveillance. Jamais cette île ne sera entre les mains de qui que ce soit de malveillant, pas tant que je respirerais. Et si un cas d’urgence se présente, je m’engage à faire en sorte qu’au minimum ma personne soit téléportée en urgence. Libre à vous d’officialiser cet accord, de dire au monde que Momorio est sous la protection de la révolution, mais sachez une chose : jamais nous ne vous abandonnerons. Je vous en fait le serment. »

Affichant un petit sourire, un énième commentaire sur mon charme me fit rougir sur le coup. Me frottant la nuque, la reine vint à discuter avec son conseiller qui proposa en premier lieu de garder cet accord « secret ». Et seulement quand des preuves auront été apportées – sans doute en repoussant un assaut qui malgré tout on espère ne jamais arriver – l’île clamera son appartenance à la révolution. Ou plutôt qu’elle est une des alliés de la révolution. En attendant, nous pourrions nous concentrer sur des accords commerciaux afin de profiter à tout le monde. Que ce soit la révolution ou les habitants de l’île. Heureux de la nouvelle donc, je remerciais la reine et discutais le temps qu’il fallait afin de potentiellement décider d’idées ou d’accord qui nous seraient à tous profitables.
Par exemple, je proposais certaines « remises » pour les révolutionnaires à condition que des commandes soient faites régulièrement. Je proposais aussi un entraînement des gens qui le désirent afin d’apprendre autant qu’ils pourraient m’apprendre. Et enfin, il était bien sûr évident qu’il y aurait au minimum la présence d’une personne relative à l’Inquisition et aussi un moyen d’appeler d’Urgence le leader de l’organisation afin de déployer des troupes à une vitesse record.

Ceci fait et de possibles accord à venir officiellement, l’avenir de l’ile promettait d’être radieux. Nous l’espérions tous en tout cas.

Le soir venu, je préviendrais avant tout ma chère et tendre Komari, puis par la suite Erwin ou un de ses subordonnés pour que la nouvelle puisse lui être transmise. Momorio serait de notre côté. S'il voulait discuter avec cette dernière, il pouvait directement voir ou appeler la concernée.



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