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De fil en aiguille !
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Dim 24 Mar - 11:42


De fil en aiguille !
[Jango & Phileas]







Ces derniers temps moi et la bête bougions beaucoup, un bon nombre de missives nous avaient été donné. D'ailleurs un grand nombre d'entre elles avait été un succès. Je me remémore toutes les quêtes que le poisson et moi avons faites. Toutes les quêtes prochainement énoncées ont tous été données par l'homme le plus riche que je connaisse aujourd'hui. L'homme à la tête de lion en or. En tant mercenaire, les thèmes des missions restaient un peu toujours dans le même genre : trafique, contrebande et parfois assassinat. Les trafiquants spéculent généralement des armes, de la drogue, poudres à canons, Log Pose etc... De nombreux objets sont échangés et l'argent coule à flot dans ses transactions. Généralement, les acheteurs ne font jamais de petites commandes. Les marchandises se dirigent vers différents endroits du globe, en fonction des besoins des clients. Le premier boulot que l'on nous avait assigné, était de livrer sur East Blue un convoi d'une énorme valeur. Dans les soutes se trouvaient Dance Powder. Une poudre très rare qui permet de faire venir la pluie, très demandée dans les zones arides. Lors de la traversée en bateau, tout se passa pour le mieux, mais les surprises firent à venir. En accostant sur le rivage, les hommes de mains mis à notre disposition et le poisson se rendirent compte que c'était une embuscade. Sur le lieu d'échange se trouvait en fait des membres du gouvernement, prêts à menotter le gros poisson. Une dure lutte suivit et la loi du plus fort fit appliquée ! Dans un combat perdu d'avance dans le nombre, nous nous battions comme des spartiates, la stratégie mise en oeuvre était méditée. Le requin s'opposa alors à un lieutenant de la Marine, ce qui lui coûta un bras ! La transaction était un succès, l'argent de l'échange n'avait pas été transmis et la marchandise avait été conservée. C'est à partir de ce moment que le bourgeois me donna toute sa confiance qui n'était pas gagnée d'avance.
Le second emploi offert par le friqué fit moins glorieux, mais le carnivore se régala d’une très belle expérience de combat. Le poisson avait pour ordre de tuer un fonctionnaire du gouvernement mondial. Néanmoins, dans la base Marine où résidait le fonctionnaire, un colonel était de séjour. Et le requin fit moins discret que prévu. Le poisson eu le droit à une petite rouste, mais le poisson se défendit comme il put et offrit au colonel une quelconque résistance. La mission était d’assassiner le fonctionnaire et non pas d’éliminer ce haut gradé. L’homme-poisson s’en sortit avec de nombreuses séquelles.
La dernière fit la plus dure à accepter, le bourgeois donna à Jango une coéquipière. Nous étions envoyés dans le nord, la cargaison quittait East Blue le matin même dans les alentours de midi. Nous devions passer par la fameuse Reverse Montain connue pour sa dangerosité. La montagne de passage entre les mers, pour arriver sur la mer North Blue. La cargaison avait fait bon voyage entre les deux mers, comme l’avait prédit notre employeur, les marines étaient en patrouilles. Les fonctionnaires en contrôle, jouaient le rôle de douane pour examiner les différentes cargaisons qui passaient de mers et mers. Un rude combat s’engagea entre les deux factions, avec ma coéquipière, nous en sommes venus à bout. Pouvant alors déposer sans encombre la marchandise à bon port.

Mais aujourd’hui à l’heure où je vous parler l’heure est grave ! Jango porte dans ses mains la dernière lettre de convocation de missive du bourgeois ! Le requin ne tarda pas à lire la lettre. En ouvrant l’enveloppe, il tomba sur la convocation avec le cachet du friqué, avec des taches de sang parsemées sur le recto. L’écriture à la plume avait bavé avec le sang et le texte n’était même plus visible… La lettre m’avait été faite parvenir par le biais du major d’homme comme à chaque fois.

L’accélération du requin fit me retourner dans mon bocal. Je ne voyais pas les bâtiments passer tellement le requin allait vite. Il se rendait vers la maison de l’employeur. Je ne savais pas ce qu’il pressentait, mais cela n’avait rien de bon à mon avis… J’entendais le vent souffler sur mon aquarium. La vue défilait à une telle vitesse. Nous nous retrouvâmes très vite devant la maison du bourgeois. Je n’en crus pas mes yeux…

Les flammes entouraient tout le bâtiment. Le portail blanc avec la tête de lien dorée, était forcé, le jardin dans tout son ensemble avait été détruit. L’herbe verte n’était plus que poussière. La fontaine au milieu du jardin était en morceau. La maison était ruinée par les flammes. La fumée montait dans le ciel, les ardeurs dansaient sur les murs. Les murs blancs du bâtiment noircissaient sous la combustion, les arbustes du jardin ravivaient le feu à chaque contact. Jango pénétrait par le portail qui venait de céder. L’eau de mon bocal semblait devenir de plus en plus chaude. Passant par-dessus les débris et les gravats, le carnivore fouillait les décombres à la recherche, d’indices ou de preuves sur l’agresseur. Pour le moment, il ne semblait pas y avoir de traces du bourgeois. En faisant un pas sur la droite, je vis dans l’embrasure d’une porte ; un corps. Il était pendu dans les airs, les mains liées, la corde au cou, le corps dans le vide, le lien s’incrustait dans la peau de son cou. Le visage bleu sous l’asphyxie, les membres antérieurs étaient calcinés par les flammes. A son encolure, il portait un écriteau où il était inscrit à la main : « Voici ce que l’on fait au criminel ! ». Je restais perplexe, je ne savais pas du tout, qui pouvait lui en vouloir ? Les seuls prétendants à cette atrocité, j’aurais dit le gouvernement mondial, mais ce n’est pas leurs moyens de procéder, trop voyant pour des civils.

Nous étions postés dans les décombres, choqués par la nouvelles. Le requin regardait un peu partout autour de lui pour essayer de percevoir quelques choses d’anormales. Les événements devenaient de plus en plus compliqués à chaque moment. Depuis notre montée à la surface, les conjectures n’avaient fait que se compliquer, les missions après les autres, la dure loi qu’imposaient les humains à la surface commençait à peser sur notre force. La fumée grimpait dans le ciel, comme un bulle d’air dans l’eau. La loi du plus fort régnait dans ce monde. Le requin montait à l’étage par l’escalier de marbre, il coupa les liens qui tenaient le corps du bourgeois avec ses dents. Il posa délicatement le corps de l’homme sur son épaule. Il fit le chemin en sens inverse et déposa le corps sur le sol. Les débris de marbre l’entouraient. A cet instant précis, le temps s’arrêta, une voix retentit dans la pénombre de la rue. La sonorité de celle-ci semblait connue. Le requin se retourna en même temps que la voix souffla : « Lâche se vaut rien ! Il n’a eu ce qu’il méritait, c’est la sentence pour les vauriens de son espèce ! ».

[Changement de narrateur] La voix résonne dans l’air, je n’ose me retourner, parce que je sais qui et derrière moi, mais c’est la dernière personne auquel j’aurais pensé avoir dans mon dos. Je fais un quart de tour sur la droite et je vois non loin du portail blanc ; le major d’homme…

Je ne sais plus quoi penser, pour quelle raison avait-t-il commis ce crime ? J’allais le découvrir. La rage montait en moi, la casserole d’eau était en ébullition. Après avoir contemplé l’ancien larbin, je regardais le corps du bourgeois brulé et noirci par les flammes. Le criminel qui était venu se présenter relança la conversation : « Je savais que tu pointerais le bout de ton nez ! Dit moi juste ce que tu ressens en ce moment ? De la haine ? De dégout ? Tout avait été programmé, même dès le premier jour où je t’ai aperçu, ce plan était déjà programmé, demande toi pourquoi, pourquoi cet enfoiré a fait appel à tes services ? Parce que les autres qu’ils avaient appelés, étaient tous morts! Dans une embuscade, en mer, dans un combat. Chaque truand qui proposait ses services pour le friqué, ils y sont tous restés ! Sauf, toi ! Tu étais le seul accrochage dans ma réflexion… La première mission devait être la dernière, mais tu as survécu, mes hommes décimés, tu reviens en héro. Pourquoi penses-tu que tu as eu à faire à un colonel sur Logue Town et pourquoi penses-tu qu’une embuscade de Marine vous attendiez à l’embouchure de Reverse Montain… C’était moi !! Ma couverture était parfaite, personne ne pouvait me soupçonner, à vrai dire, qui aurait pu soupçonner un malheureux petit larbin. Ayant perdu bien trop d’homme, j’ai décidé d’en finir avec toi, mais par mes propres moyens. J’ai donc combiné l’assassinat de ton cher employeur et ajouté le tient aussi. Je voulais faire une pierre de coup pour éviter de me salir les mains deux fois ! Tu ne peux pas imaginer à quel point, je suis jouasse aujourd’hui !!! »

Je ne savais pas comment prendre ses propos. La rage montait en moi comme un volcan en éruption. Cette infiltration qu’il avait mené, avait été tellement bien conçue qu’elle était passée inaperçue. Fallait-il que je m’en remette à ma haine pour le dézinguer ? Ou plutôt se calmer et attendre sa première offensive ? N’ayant pas le même esprit de combat que Phileas, le fameux poisson-clown qui logeait dans un aquarium sur mon épaule gauche. Je m’en remis à lui, il me souffla les directives suivantes : « Ne laisse pas ta haine te corrompre, c’est ce qu’il cherche depuis le début de la confrontation, je te rappelle que c’est un Marine, même s’il ne l’a que sous-entendu. Il s’engage dans un combat à mort, donc laisse le s’exposer en premier ! Dès lors qu’il fait un signe, tu enchaînes : Primo : détournez l’attention puis bloquer son cou en aveugle. Répliquer par crochet sur joue gauche. Désorienter. Étourdi, il va tenter d’asséner un coup décisif. Parer du coude, fragiliser mâchoire droite puis fracturer. Casser côtes déjà fêlées, atteindre le plexus, disloquer mâchoire entièrement, coup de talon au diaphragme. En résumé : oreilles qui siffles, mâchoire cassée, trois côtes fêlées quatre cassées, hémorragie du diaphragme. Récupération physique : six semaines. Récupération psychologique entière : six mois. Capacités à cracher sur nuque : neutralisée. »

J’attends le moment le plus opportun pour pouvoir le frapper de façon à le neutraliser, cette première offensive est en fin de compte un test pour connaître les réelles capacités détenues par l’adversaire. Sous les directives du poisson placé sur mon épaule gauche, je tente de l’intimider et de le provoquer. Je lance alors d’une voix rauque : « Tu attends quoi… » Il me coupa la parole, l’expression sur son visage changeant. Il semblait changer de braquer. Il accéléra le pas et courut dans ma direction, sortit deux révolvers. L’ancien major d’homme laissa une opportunité de frappe en sautant dans ma direction, c’est alors que j’exécutai le plan dicté par Phileas. De mon bras bionique, je lui décime un coup à l’aveugle qui bien évidemment n’arrive pas sur sa cible. L’homme se focalise sur celui-ci pour l’éviter, à l’aveugle, je pars son coup avec mon coude droit. J’arme mon bras gauche et lui envoie un poing en pleine poire ! Il subit le coup et semble étourdi et désorienté… Incrédule, le major d’homme tente d’assainir un coup mortel. Je pars de coude droit et enchaine avec un coup fatal dans les côtes… N’ayant eu le temps que d’imaginer les côtes craquer sous le choc. Le larbin para mon coup et profita dans l’élan de l’esquive à découcher une balle de son revolver qui elle ricocha sur mon bras bionique. La chance semblait être de mon côté.

Le combat perdit en intensité pendant quelques secondes. J’étais assoiffé, je me déplaçais alors vers la fontaine précédemment broyée. Je me glisse alors dans l’eau, enduit mes bras d’eau. Je sais très bien que le major d’homme ne va pas s’attendre à cela. Donc je mets toutes les cartes à jouer de mon côté. Je me replace dans sa ligne de mire. Je place alors mes bras de façon parallèle au sol, je tends mes doigts de façon à former un revolver. L’eau en petite quantité s’écoule sur mon bras, c’est alors que je me concentre et à l’aide de la capacité des hommes-poisson, je projette des gouttelettes d’eau, de façon à ce qu’elle prenne la forme de balle de revolver. Cela peut être comparé à une petite mitrailleuse. L’homme de main qui venait de se replacer derrière la grille blanche. Au moment de se retourner dans ma direction. L’homme vit les gouttes d’eau arriver à pleine vitesse. Prise au dépourvu il ne semble pas pouvoir les esquiver. Cependant, je ne sais pas par quel moyen, le fonctionnaire de la Marine esquive une part une les balles. Les deux dernières balles quant à elle bute sur le corps du larbin et rebondit comme s’il était de fer…

Je ne savais pas quoi penser, Phileas restait perplexe tout comme moi. A part l’attaquer en combat rapproché, je ne savais pas quoi faire. J’accélérai le pas dans sa direction, je tentai de lui assainir un coup de poing, il y échappa. Sa puissance se révélait peu à peu. Je ne perçus pas sa fuite. Je ne le vis qu’un laps de temps plus tard dans mon dos, en clignotant les yeux. Je n’eus le temps de percevoir le coup de pied m’arriver en pleine face. Je fus envoyé dans le mur, qui explosa en morceau. J’avais les dents brisées. La face ensanglantée par la force de frappe que le Marine détenait. J’étais étalé de tout mon long dans des gravats. Je venais de déceler la vraie force du major d’homme… Le combat semblait tourner à son avantage…

Je ne savais pas quoi faire, le combat était joué et je semblais dans une bien mauvaise posture. Le marine me dominé de fond en comble. Que fallait-il que je fasse ? Phileas se remettait de sa chute. Il était tout retourné dans son aquarium. Je ne savais pas par quel moyen l’atteindre. Je me confiai alors au poisson-clown qui me souffla : « On ne connait pas son grade, ni son rang, je pensais à un lieutenant, mais il est bien trop fort. Jango, nous nous engageons dans une voie où nous ne sommes pas sûrs de revenir vivant. Comme depuis le début que je te connais, je te fais confiance ! C’est un combat à mort auquel nous avons à faire… » Je venais à l’instant de me relever. Le marine nous coupa la parole, pas par la plus belle des manières. Il envoya deux balles de révolver. Les projectiles atterrirent sur la paroi de verre du bocal. Celui-ci vola en morceau. Le poisson de couleur orange tomba sur le flanc et commença à se débattre. D’un réflexe incroyable, je ramassai délicatement le poisson et le lança à l’endroit où, préalablement était posté la fontaine. Je venais de sauver mon ami. Cette déconcentration me value, un contrattaque de l’’adversaire. Il entama une course dans ma direction et m’envoya un coup de poing ravageur en pleine tempe. J’étais sonné, un ultrason m’assourdissait, puis enchaina avec un coup de pied retourné dans les côtes. Je volai alors sur un pilier qui tenait la baraque. Une partie du premier étage s’écroula sur moi. J’étais mal en point. Mon visage était devenu rouge, mes dents étaient en morceaux. Mes cotes me brulaient de l’intérieur. Je crois que c’est la fin… Peut-être que le monde des hommes étaient trop durs pour nous les hommes-poisson. Cela semblait être vrai ! Mais je n’ai pas pointé le bout de mon nez ici pour mourir alors le marine devra me descendre. Je n’arrêterais pas de combattre avant de mourir ! Je me relevai des décombres, une rage montait en moi, je venais d’être dominé pendant plus d’une trentaine de minute, le temps semblait court. La douleur me lançait, mais j’avais une vengeance à assouvir ! Je me présentai alors devant le Marine qui cria : « Ne cherche pas à vaincre plus fort que toi ! Tu ne peux pas faire face à un commandant de la Marine. Ton air est finie Bastard ! Implore-toi ou tu périras ! » Je décidais la mort ! Je préférais partir en héro en défendant mes convictions que d’être trainer par la justice et avoir été contre mon jugement. Je saisis alors de ma bouche, ma dentition, des dents tombaient au moment de l’extraction. Je plaçais alors le dentier dans ma main gauche, mon revolver dans ma main droite. Je décide alors de monter une stratégie ! J’accélère, je lance le dentier aiguisé dans sa direction. La spécificité, c’est que les dents se détachent et volent dans sa direction. Dans le même temps, je décide alors de changer d’angle. D’un coup de hanche, je modifie ma trajectoire et lance une première détonation. Puis un autre changement de direction succin, qui se suit d’une autre détonation. Je venais de tirer deux balles dans deux directions différentes. Le marine était occupé à esquiver les dents et la mâchoire lancées à pleine vitesse, après avoir esquivé la première tentative, il essaye la seconde qu’il réussit à éviter de justesse. Pendant ce temps où le major d’homme essayait d’éviter les projectiles, je me plaçais dans son angle mort pour pouvoir contrattaquer ! Il ne put esquiver alors la dernière balle, qu’il prit dans le bras droit. Le bras gauche armé, j’attendais qu’il se retourne pour me voir et je lui décimai un Power max en pleine tronche ! Sa tête percuta le sol d’une telle force que je n’étais même pas sûr de pouvoir revoir son visage dans son état naturel. Il me restait quatre balles dans mon revolver. Je tendis la main gauche, son corps était encore dans les airs. Il venait à l’instant de percuter le sol avec sa tête. Je profitai de l’instant pour viser son organe vital ; le cœur ! J’appuyais sur la gâchette ; et de une et de deux ! Le sang gicla de sa bouche ! Sa tête avait bleuit sous l’impact.

Le temps semblait avoir repris son cours. C’était comme si le temps semblait s’écouler différemment en combat que dans la vrai vie. Le commandant était KO, il ne semblait pas donner le moindre signe de vie. Mais il me chopa la cheville et souffla avec le peu de dents qui lui restait : « Tu étais l’erreur de mon plan… ». Il tombait en arrière. Ces cheveux blonds étaient teintés de rouge… Je décidais alors d’exposer mon crime. Pour vengeance, je me devais de faire ce que j’allais faire. Je pris l’écriteau qui servit au bourgeois et le retourna, avec mon propre sang. J’inscrivais sur le morceau de point : « Voici ce que l’on fait au justicier ». Je repris Phileas dans sa fontaine et portais le corps de l’homme sur mon épaule, le traina jusqu’au port avant de l’afficher sur le quai principal, là où les gens achetaient leur provision. Après l’avoir accroché et que les gens est eu le temps de s’alarmer ! Je plongeais dans l’eau en guise de fuite…

Je devais partir de cette endroit, il n’était plus le mien trop de chose avait était causé par ma faute. Est-ce que j’allais décider de prendre la fuite ou de rester pour créer encore plus d’embrouille ?






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