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Let's fight ! [RP Libre]
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Mer 3 Juil - 15:47



Let's fight !


Let's fight ! [RP Libre] Onsoku10
The Fight Continues - Musique


Logue Town... Quelle ville. Alors que le navire sur lequel j'avais embarqué quelques heures, ou peut-être quelques jours plus tôt continuait de progresser, mes yeux ne pouvaient s'empêcher de parcourir le port. Une certaine aura se dégageait de ces lieux. Peut-être était-ce mon subconscient, étant donné que je savais quel grand homme avait péri en ces lieux, ou peut-être était-ce tout simplement l'approche de ma mission qui me donnait un semblant de trac, mais dans tous les cas... En fixant ces murs, cette foule, ces bateaux, je savais que cet endroit était loin d'être anodin. Ici, quelque part, s'étaient réunis des noms plus connus que le mien ne le sera jamais. Je ne doutais pas un seul instant que les Yonkous de cette ère avaient observés la mort du Seigneur des Pirates avant de s'élancer sur le Nouveau Monde et sur Grand Line, je ne doutais pas non plus que les amiraux avaient à cette époque connu un surcroît de motivation en voyant la tête du plus grand des forbans heurter le sol, vide de vie. Moi, je n'y avais pas été. Même amnésique, je le savais : comment oublier un événement aussi grandiose, aussi magique ? Quoi qu'en dise les marines, je savais pertinemment que leur justice n'était pas absolue, et que certains hors-la-loi, ou même tout simplement les révolutionnaires, aspiraient à un système plus égalitaire... Alors voir autant de camps, de factions, de personnages présents en un seul et même lieu... Cela avait du être réellement incomparable. A côté, la Grande Guerre de Marineford passait pour obsolète, pour amusante. Pour dérisoire.

Et même aujourd'hui, je me souviens. Je me souviens de cette sensation lorsque mon pied tombait pour la première fois sur ce sol dallé du port. Quelque chose... D'incompréhensible, mais aussi et surtout d'indéfinissable. Mon corps avait vibré, d'excitation, de hâte... De folie, peut-être. Je ne sais pas si j'étais alors assez sain d'esprit pour être considéré comme un civil. Tout ce que je sais, c'est que jamais plus je n'ai ressenti de telle émotion. Certains apprécient particulièrement la musique, d'autres la peinture. Et bien moi, j'apprécie la force. Et Dieu sait à quel point ce lieu en était imbibé... Ici, les rues avaient été arpentées par les vices-amiraux et amiraux de la Marine, par les Schichibukai, les Nebula d'aujourd'hui, quelques années plus tôt. Le fait que cette ville soit restée intacte avait sans doute été un véritable miracle... Il était dur de croire qu'aucun combat, qu'aucun affrontement sanglant n'avait eu lieu en cette journée fatidique. Les tempéraments avaient du être relativement calmés par la mort de ce guide, de ce Roi, de cette divinité, peut-être. C'était en tout cas la seule explication plausible qui me venait à l'esprit. Et je peux vous le dire : si j'y avais été, ces lieux n'auraient pas été calmes bien longtemps... La place de la mort d'un aussi grand pirate aurait du être teintée du sang de ses anciens ennemis. C'était la moindre des choses... Fanatique ? Je le suis peut-être. Je le respectais, sans m'en rendre réellement compte. Un homme, seul, à la force de ses bras, au tranchant de son épée, avait réussi à amasser une véritable fortune et à siéger sur le Nouveau Monde en héros. Bien entendu, il avait eu des alliés... Mais il avait bien fallu que ceux-là le respectent, non ? Et un leader ne pouvait se faire respecter éternellement que par la force, par la puissance. Je le savais, j'en avais conscience. Ce Monde avait beau se hurler moderne, il avait beau se crier égalitaire, il n'en était rien. La force, l'argent... Ils étaient les seuls motifs de l'importance d'un tel. Et je comptais bien devenir comme Roger. Riche, et puissant... C'était mon souhait. Changer les choses ? A quoi bon ? Je n'étais pas utopiste. Peut-être pessimiste, oui... Je me doutais que d'autres le feraient pour moi. Je n'étais et ne suis pas un héros. Je ne le serais d'ailleurs jamais. En revanche... D'autres en étaient. Et c'étaient ceux-là, que je respectais.

Mes pieds, alors que mon esprit était complètement captivé, enchaîné, transporté par l'aura mystérieuse qui m'entourait, se mirent à marcher, seuls. Et je progressai, inlassablement, en direction de cette boutique. Le Chirurgien Rugissant, hein... Son propriétaire, je le plaignais. Sincèrement. Parce qu'un homme-cornu ne recule devant aucune folie. Chaque entreprise mérite d'être portée à son terme... Et ici aussi, je respectais l'homme-cornu le plus tristement célèbre, Shouten Doji. Sa force, sa puissance... Je voulais l'atteindre, l'apprivoiser, la ressentir... L'utiliser. Et pour cela, je devais m'entraîner, réussir, vaincre. Sans que je ne m'en rende réellement compte, je ne craignais plus personne en ces lieux. Le colonel ? Qu'il vienne... Je l'attendais, fermement. Personne n'avait le droit de m'arrêter, personne. Et savez-vous que les hommes qui, comme moi, se retrouvent dans cet état d'esprit avant d'accomplir quelque chose, sont inarrêtables ? Un jeune homme vint dans ma direction. Nous étions seuls. Il tirait un katana de son fourreau, me menaçait. Sans difficulté, j'attrapai la lame, d'un geste vif, et mon regard, simple, au travers de mon masque couleur de feu, parvint à le faire trembler de stupeur. Je ne sais point ce qu'il se passa distinctement, par la suite. Ce que je sais, c'est qu'il s'appelait Samon Tenka et que, silencieusement, il me suivit, acceptant de servir ma force et ma gloire pour empocher avec moi les 10 millions de berrys.

Nous mîmes en place une stratégie, simple, pendant laquelle j'étais le combattant, et lui le voleur. Ce qu'il allait faire ? Remplir deux sacs de médicaments divers et variés, et courir en direction du port avec l'un d'entre eux. L'autre, il le cacherait à un endroit que je lui avais indiqué, bien discret. Je doutais sérieusement de le revoir, ce mioche... Mais il avait du cran et au final, je l'appréciai sans vraiment m'en rendre compte. Mon rôle, à moins ? Retenir les hypothétiques gardes, les vendeurs, les marines. C'était tout aussi suicidaire que sa tâche mais j'avais quelque chose de mon côté. Mon fruit du démon. Je savais qu'il me fallait un temps pour que mon corps soit capable de se reformer complètement. Pendant ce temps, mes adversaires me laisseraient tomber, et chercheraient plutôt mon acolyte, en pensant que je n'étais qu'un terroriste qui avait laissé sa peau dans une explosion. Et une fois que je serais de nouveau indemne, je n'aurais plus qu'à prendre le sac que Tenka aurait caché. Je partirai alors en direction de Whiskey Peak, comme j'étais venu. Il devait m'y retrouver. Ce gosse... Était fou à lié. Autant que moi, sinon plus. Mais c'était 10 millions de berrys, qui nous attendaient. Nous n'avions pas le droit de reculer. Et nous n'allions pas reculer. Tant et si bien que rapidement, nous fumes devant cet établissement. Prêts à passer à l'acte. Le sang bouillonnant. Les tripes remuantes. Un sourire naquit sur mes lèvres, camouflé une fois de plus par mon masque sanguin. Et j'entrai, suivit de mon nouvel ami. Nul doute que la suite serait sportive, dangereuse. Je serrai le bâton de mon naginata, lui faisait de même avec le pommeau de son katana. Le trac nous envahissait, plus que jamais. Et nous nous regardions, une dernière fois, sans regrets.

C'était parti.






Rapidement, il s'agit évidemment d'un pillage et je laisse qui le souhaite (à condition d'être à Logue Town) s'y mêler. En sachant qu'évidemment, cerner la situation rapidement sera impossible (y en a un qui tape sur les vendeurs, l'autre qui court avec un sac... Lequel arrêter ? Lequel aider, peut-être ?)
Je laisse le RP libre jusqu'au lundi 8 juillet. Après ça, je le transforme en solo et termine ce que j'ai à faire, si personne n'a posté entre temps évidemment.
Et bonne chance !
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Dim 7 Juil - 9:02

Rp libre


Let's fight !



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La vie au sein de la marine est vraiment paisible et je n’y suis pas à plaindre dans ce groupe où il n’y a qu’une seule justice. Je viens à peine de rentrer d’Alabasta, où plusieurs évènements avaient marqué deux différentes factions qui s’affrontaient pour le bien ou le mal du roi. J’étais du côté de ceux qui voulaient le bien de cet homme politique qui régnait sur un royaume qui était destiné à vivre dans la sècheresse depuis plusieurs générations. Cette sécheresse semblait infinie et personne n’arrivait à voir l’apogée de celle-ci. Il avait lui-même sa propre définition de gouvernement, même s’il était guidé par un autre homme qui lui, ne semblait aucunement le bien du présent roi. Mes actes à Alabasta n’avaient guère passé inaperçus aux yeux de la révolution. Mon arrogance allait peut-être me coûter cher dans le futur, mais comme je n’ai pas froid aux yeux, ce n’était guère effrayant. J’affronterai quiconque se mettra au travers de ma route, et ce, à n'importe quel prix.

Depuis ma récente démence et incontrôlable mal de tête, je voulais m’informer un peu plus sur le sujet et quelle maladie cela pourrait être. Depuis quelques jours, je passais mes journées dans une bibliothèque du coin afin d’en savoir plus, mais malheureusement, ma malchance ne voulait aucunement que je trouve un livre à ce propos. Ça, c’était avant de me promener en ville et qu’un groupe de la marine parlait d’un certain pouvoir divin qui permettait à son possesseur de prévoir les mouvements ou encore percevoir les voix et de se concentré sur l’une d’entre elles afin de toujours trouvé son ennemi. Je tentais de les interroger, mais les marines reçurent l’ordre de faire briller le pont d’un autre commandant de la marine. Je devais trouver une réponse, car je commençais de plus en plus à perdre la tête, surtout que la soudaine apparition des voix dans ma tête me pousser limite à vouloir tuer quelqu’un depuis mon retour d’Alabasta. Ce qui ne serait déjà pas bon pour mon image comme je causais plus de dégâts envers la société qu’envers nos ennemis les révolutionnaires, ou encore les pirates. Remarque que les pirates sont encore très peu sur East Blue, ou, ils se font très petits avant leur arrivée sur Grand Line.

Mes esprits n’étaient actuellement toujours pas revenus depuis le royaume du sable et je devais trouver ce que j’avais. La schizophrénie est différente de ce que j’ai, mais mieux vaut être certain que de se baser sur des dires insolites qui ne sont basés sur aucun fait. Pour la deuxième fois de ma vie, je pensais à consulter un médecin autre que moi… En même temps, je me sentais faible de faire ça, ça revient à donner de l’argent pour l’une chose que l’on a déjà et qu’on n’a pas besoin en deux exemplaires. Par contre, une chose me tracassait… La schizophrénie n’apparaît jamais aussi subitement… Ce qui m’était étrangement arrivé. Cette réflexion m’avait fait comprendre que ce n’était aucunement un problème mental, mais bien une capacité inédite. Ça me rassurait soudainement. Je pris le chemin qui me permettait de me rendre au Chirurgien rugissant, chose que je n’avais pas été visité depuis mon réveil. Les affaires semblaient bien aller, comme aucun de mes employés ne m’avait appelé pour me prévenir de quoi que ce soit.

Quand j’ai posé le pied à l’intérieur de mon commerce, l’on aurait juré une bombe qui venait de m’exploser à la gueule. Ma gérante commençait à me réprimander sur mon absence qui pour elle semblait interminable. Elle m’expliqua qu’elle aimerait bien profiter de ses vacances elle aussi, même si je n’avais eu guère de vacances depuis un bon moment. Je venais en quelque sorte faire l’inventaire de ma boutique, histoire de voir comment la gérante se débrouillait bien. Je zieutais les étagères et tout était impeccable. J’avais engagé une bonne employée compétente et ça rapportait ses fruits. Je me suis placé derrière la caisse pour la première fois, question de voir à quel genre de clients mes employées devaient faire face. C’est là que je me suis rendu compte de la disparition de mes deux gardiens… Ten et Sen, deux personnes qui prenaient en charge le rôle de protecteurs de mon commerce comme je ne pouvais pas tout le temps être sur les lieux et surtout avec tous les dangers que les mers pouvaient cachées. Ça m’inquiétait un peu, comme personne ne m’avait contacté pour me dire quoi que ce soit à ce propos. Ce que j’ai fait comprendre de façon assez « claire » à ma subalterne qui n’était qu’à peine plus âgée que moi avant de reprendre le contrôle de moi-même.

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TECHNIQUE UTILISÉE

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Désolé pour le temps que j'ai mis pour répondre. Je dois me remettre à mon style et j'ai littéralement échoué. (C'est assez évident, je tenterai de modifier le tout d'une façon plus approprié et plus plaisante pour les yeux que ce pavé de dernières minutes)
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Lun 8 Juil - 21:02



Let's fight !


Let's fight ! [RP Libre] Onsoku10
The Fight Continues - Musique


Et voilà que nous entrions dans cette boutique, sans plus réfléchir. Tout s'était passé extrêmement rapidement, en fin de compte. Enfin, au début du moins. Dans un premier temps, je faisais comprendre à mon compère qu'il ne devait agir que d'ici une minute ou deux. Le temps que je mette une stratégie au point me concernant, du moins... Gagner 10 millions de berrys était une bonne chose, c'était certain. Mais les garder en restant en vie paraissait tout de même largement plus intéressant... Ainsi, je me dirigeais vers un rayon avec un air aussi innocent que possible. Malgré cela, je doutai que je resterai un innocent aux yeux des vendeurs et propriétaires pendant longtemps. Aussi je profitai de ma position pour analyser le placement des personnes dans l'établissement. Il y avait trois clients, à part nous deux hors-la-loi. Ce n'était pas vraiment un problème, je ne m'en faisais pas pour eux. Ils trouveraient bien un moyen de s'enfuir, comme les pathétiques humains qu'ils étaient... Cependant, ceux qui attiraient un petit peu plus mon attention étaient ceux que j’analysais presque immédiatement comme les gérants. En effet, ils parlaient de gardes, qui avaient disparu de leur poste habituel. Je reconnaissais aussitôt la description que m'avait fait mon ami homme-poisson, lorsqu'il m'avait appris que ledit propriétaire payait une certaine somme pour s'offrir les services d'un duo de protecteurs puissants et efficaces. Le petit brun devait donc être le propriétaire en question, celui dont même le chasseur de prime n'avait su me renseigner l'identité. A première vue, il avait l'air d'un enfant. Il fallait aussi dire que du haut de mes deux mètres, je voyais souvent les hommes comme des enfants... Je me résignai cependant à passer à l'action, lorsque mon acolyte s'impatienta et m'adressa un claquement de langue plus que significatif. Apparemment, le voleur en avait marre de fixer les étiquettes de produits en faisait mine de réfléchir... Je poussai donc un soupire et arpentai l'allée en serrant un peu plus fort encore mon naginata. Je n'étais pas motivé à l'idée d'utiliser cette arme contre deux jeunes gens, dont je devais être l'aîné d'une bonne décennie. Cependant, je décidai de la garder avec moi. Vivant majoritairement à l'archipel Shabondy, j'avais plus que l'habitude de tomber sur de bien mauvaises surprises... Les deux frêles créatures semblaient bien trop naïves, trop faibles pour être vraies... Comment deux gamins pourraient autrement gérer cet endroit ?

Après avoir tourné à un rayon, je me retrouvai derrière le duo. N'aimant pas le moins du monde l'idée de les attaquer de dos, sans doute par galanterie et peut-être légèrement par idiotie, j'entreprenais de leur faire remarquer ma présence, d'une manière ou d'une autre. D'attirer leur attention, autrement dit, afin de laisser le champ libre à mon compère. L'envie de saisir le crâne du petit brun pour l'enfoncer dans le sol me prit soudainement, mais je la réfrénais. J'avais beau être payé pour détruire et voler, je n'avais pas la moindre envie de devenir l'un de ces meurtriers sans scrupules... Je ne tuais que ceux qui savaient se défendre. Aussi j'envisageai la possibilité de prendre la parole, tout bêtement. Mais pour dire quoi ? Je me trouvai bien débile, pour le coup... Et mon coéquipier commençait légèrement à s'impatienter. Cela se voyait sur sa manière à promener ses doigts sur le pommeau de son katana. Malheureusement pour lui, si tout se passait ainsi que je l'avais prévu, il n'aurait nul besoin de s'en servir. Ni contre les gosses, ni contre les marines. Avec mon masque, je restai parfaitement anonyme, et c'était un plus. Un plus dont je comptais bien bénéficier. Après cette petite minute de réflexion intensive, j'entreprenais de couper les tourtereaux dans leur discussion en commençant par une petite quinte de toux, visant à me faire remarquer. Puis, de ma voix rocailleuse, je leur lançai un agréable :

-Bonjour, c'est bien le Chirurgien Rugissant, ici ?

Non mais je vous jure... Rien de plus menaçant... Sur le coup, je me trouvai stupide. A un point... Un mercenaire incapable de faire peur à deux mioches afin de pouvoir piller et détruire comme bon lui semblait. Après tout, c'était mon travail, que de détruire, cette fois-ci ! Alors pourquoi personne ne voulait me laisser bosser en paix ? Oui, j’admets que ça aussi était idiot, mais... il n'empêche que je ne harcelais pas les marines pendant leur service alors pourquoi eux devaient faire le contraire ? Tenka, non loin de là, à un ou deux rayons du moins, poussa un soupire discret. Je me rendais alors compte que tout le stress semblait s'en aller peu-à-peu, laissant place à l'excitation. Car pour la première fois de ma vie, j'allais faire quelque chose de réellement dangereux. Pour la première fois de ma vie, j'allais mettre des civils, des soldats, et que sais-je encore en danger. Je n'accordais aucune importance à la vie humaine alors après tout, cela facilitait amplement ma tâche... De ce que je savais de mon nouveau pouvoir, de mon fruit du démon, l'explosion était puissante, assez pour créer un vent puissant et des flammes destructrices. Mais concrètement, je ne savais pas non plus jusqu'à quel distance elle était mortelle, et si une seule explosion suffirait à raser ce bâtiment. Dans le pire des cas, j'aviserais pas la suite... Apparemment, le temps nécessaire à ma reconstitution était assez important. Cela pourrait être tourné à mon avantage, étant donné que les marines ne pouvaient suspecter une malédiction sans avoir d'autre information sur moi. Malheureusement, je ne devais penser à cela aussi tardivement. Tant et si bien que sans réellement laisser le temps aux deux jeunes gens de répondre, j'ajoutais :

-Si vous ne voulez pas d'ennuis, je vous demanderais de sortir d'ici...

Et sans même que je ne le remarque, avec une discrétion étonnante pour un homme de son âge, mon coéquipier commença à remplir les sacs furtivement. Personne ne semblait pouvoir le voir, l'entendre. Il était... Doué. Malheureusement, une bonne femme finit par s'en rendre compte et lui demanda ce qu'il faisait. C'était le moment. Je me mettais en garde avec mon naginata, tenant le jeune homme en respect. Pourquoi lui ? Parce que je n'avais qu'une arme et menacer une demoiselle ne m'enchantait guère. Tenka prit les deux sacs sur ses épaules et hurla sans la moindre discrétion à mon attention :

-On se retrouve tu sais où !

Il sortit de la boutique et se mit alors à courir en direction du port, comme prévu. Je priais pour que tout se passe bien pour lui, et il devait prier pour moi également. L'un sans l'autre, nous ne toucherions pas le pactole... Il ne restait plus qu'à prier.







Récapitulatif :
Tenka dehors, avec deux sacs, et il court en direction d'une ruelle isolée non loin pour pouvoir continuer le chemin plus tranquillement, à l'abri des regards. Noburo dedans, et se charge de retenir Lion.
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Mar 9 Juil - 0:54

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Let's fight !



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Tout semblait se passer à merveille, jusqu'au moment où deux personnes entrèrent dans ma boutique. Il semblait tous les deux assez stressé, ou avait un petit quelque chose à cacher, ce qui n'augurait rien de bon. Juste avant de me poser derrière le comptoir, j'avais pris le temps de placer mes deux épées en dessous de la caisse, dans un endroit que ceux qui se trouvaient de l'autre côté ne puissent pas le voir. On ne sait jamais ce qui peut se passer dans une ville telle que Logue Town. Logue Town qui fut réduit au silence trois fois si mes souvenirs sont bons. L'un des deux hommes était assez imposant et il était assez grand aussi, lorsqu'il est entré, il dut se pencher pour franchir la porte. Mais justement, son masque ne me disait rien qui vaille. Tous les deux se promenaient, d'allée en allée, cherchant je ne sais pas trop quoi. Par mesure de sécurité, j'empoignais l'une dès mes deux armes, question de prévenir la blessure si l'un d'entre eux tentait de venir nous attaquer. Le géant ne semblait pas trop sûr de ce qu'il faisait. Tandis que son acolyte lâchait souvent des soupirs ou des toussements peu rassurants. Si quoi que se soit arriverait, la gérante de mon commerce saurait se défendre.

Dans une mesure à laquelle je ne m'attendais vraiment pas, l'homme masqué s'était approché de moi et de mon employé pour nous poser la question la plus stupide qui soit.

— Bonjour, c'est bien le Chirurgien rugissant, ici ?

De lui répondre gentiment et sarcastiquement avant de rire sournoisement, je lui ai dit ;

— Non, ici nous mettons des pancartes avec le nom de la boutique de nos concurrents. Oui oui, ici c'est bien le Chirurgien rugissant. Héhéhé. D'ailleurs, j'aimerais bien que tu enlèves ton masque, le port du masque est interdit ici, merci.

J'avais des couilles énormes pour lui dire de retirer son masque. Remarque, il aurait pu me sauter à la gorge à tout moment avec cette remarque et mon sarcasme. Mais il n'avait décidé de rien faire. J'étais quand même intimidé par sa taille, c'était la première fois que je voyais un humain de cette taille à Logue Town. Ce qui me troublait aussi, comme c'était pas commun et surtout pas sur les seas blues. D'après ce que l'on m'avait dit, les hommes d'une taille comme ça ne se trouvaient que sur Grand Line, chose que je n'avais toujours pas vue. Il s'était retourné et c'est à ce moment que j'ai commencé à m'inquiéter... Comme s'il voulait seulement une confirmation du lieu. Il revenait vers moi et ma salariée en nous disant d'une voix bien grave des mots que je ne voulais pas entendre...

— Si vous ne voulez pas d'ennuis, je vous demanderais de sortir d'ici...

Je n'ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit que ma gérante empoigna la caisse et lui balança en pleine tronche.

— Et voilà ce qu'il ne fallait pas faire... Bref, toi surveille l'autre pecnot, moi je vais m'occuper de ce géant balafré.

Au même moment, l'accompagnateur du géant lui avait dit d'aller le rejoindre là où il s'était dit. Elle s'est mise à le pourchasser et de mon côté j'ai sonné l'alarme. Cette alarme me permettait d'avertir la base de la marine d'un problème et dès que possible, je verrais des centaines de soldats bloquer la porte de sortie de la boutique. Peut-être même que je verrais mon égal arriver pour m'aider... Par égal, je veux dire le colonel de la base de la marine. Il doit surement être aussi puissant que moi, voir moins dépendamment de ce qu'il a comme moyen de défense.

— Bon, à nous deux mon toutou, j'ai pas envie de me faire chier ici toute la journée.

J'ai pris mes épées le plus rapidement possible et tenta d'aller lui porter un coup directement à la taille. J'aimais pas trop l'idée de décapiter un homme, je préférerais le voir se morfondre sur le sol plus de jambes. Dans mon élan, j'ai eu recours à ma technique Sonic Slash, qui me permettait de donner un coup plus rapidement et presque imperceptible à l'oeil nu. Lui aussi avait une épée et je m'attendais à ce qu'il s'en serve dans cet affrontement qui risquait d'être impitoyable. Derrière ce comptoir, je n'arriverais pas à grand-chose, il était plus que gênant et me privait de quelques mouvements. Bon, je ne voulais pas détruire mon beau comptoir, donc j'ai fait le tour pour aller retrouver mon adversaire.

— Je sais je sais, ce n'est pas à cause que je ne suis pas agile, mais bien parce que j'ai pas envie de... aaaaah puis merde... QUATRIÈME JUGEMENT !

J'ai lancé mon épée au plafond qui s'y incrusta solidement et j'ai foncé en direction du masqué. Le problème, c'est que je me surestime, il peut très bien être plus fort que moi, mais je devais tenter quelque chose. J'avais ouvert mes mains et j'ai expulsé de l'air en direction de ses poumons. Je ne savais pas si j'avais touché mon ennemi avec ma dernière technique, mais je l'espérais.

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TECHNIQUE UTILISÉE
Sonic Slash : (Ichitoryu, Sonikkusurasshu(ソニックスラッシュ)) [Niveau Seize]
Relié au technique Sonic, contrairement à ses variantes, Kirito donne un coup d'épée tout en expulsant de l'air de son bras, afin de donner des coups invisibles à l'oeil nu. Peut même être utiliser comme comme le Sonic Punch, soit comme le Gatling Gun de Luffy. Par contre, il n'utilise que celle-ci avec une épée.

Quatrième Jugement (Niveau Vingt-Cinq)
Contrairement aux versions précédentes, Kirito utilisera le plat de ses deux mains pour exécuter cette technique. Lorsqu’il sera sur son ennemi, il portera deux coups rapides avec ses paumes et expulsera de l’air. Devinez ce qu’il vise… Personne ? Il a pris cible les poumons de sa victime. Lors de l’impact, il perdra l’air de ses poumons et aura de la difficulté à respirer pendant un à deux tours. Tout dépend du niveau de la personne. Les poumons seront « ’ collés »’ dans le dos de la personne, ce qui lui causera de la difficulté à respirer.

Un tour, deux niveaux de plus que Kirito et plus.
Deux tours, tous les niveaux en bas de lui et un seul au-dessus du sien.
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*Note: L'alarme est le signal pour Eibon D. Jagger qui se ferra appeler par le colonel de la base de Logue Town pour intervenir. Après le prochain tour, Eibon devrait rejoindre la bataille ! Peut-être que Kyoryokuna Shizukesa interviendra aussi ^^
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Mar 9 Juil - 2:42

Un petit homme qui court, qui court, qui court ...






Kyoryo se baladait tranquillement dans les rues de Logue Town comme il avait pris l’habitude de le faire depuis son arrivée sur cette île. Il s’était laissé aller à une certaine routine dans ses actes et s’était récemment rendu compte qu’il commençait à s’enliser dans cette routine. Il ne vivait plus beaucoup d’aventures, affrontant quelques pirates fauteurs de troubles de temps à autres mais il ne faisait pas grand-chose pour s’améliorer. A vrai dire il s’était même surpris à passer des semaines entières sans poser le pied au centre d’entrainement de la base. Il n’y avait pas à dire il se laissait aller et il fallait mettre un terme à cette attitude s’il ne voulait pas finir par être un marine qui restait à une base, se reposant juste sur ses acquis et qui à un moment ou un autre serait balayé par un pirate un peu plus fort que les autres. De plus ce n’était pas en restant à ne rien faire qu’il réussirait à rendre justice et à faire prospérer la marine comme il le voulait. Même s’il n’était plus sur Grand Line il y avait encore des criminels à arrêter sur les Blues afin d’augmenter la force du Gouvernement. Il était donc sorti aujourd’hui avec la ferme intention de trouver des malfrats à affronter et à remettre à leur place. Hors-la-loi, pirate ou même révolutionnaire il s’en fichait complétement la seule chose importante était qu’il s’agisse de quelqu’un recherché ou réalisant des méfaits dans la ville. Son seul et unique but en cette journée était de trouver de quoi se remettre en selle, et son instinct lui disait qu’il trouverait largement de quoi se satisfaire.


Il s’apprêtait à rejoindre le port afin de trouver quelques pirates fraîchement arrivés sur l’île qui à leur grande malchance ne verrait certainement jamais la couleur de Grand Line lorsqu’il remarqua un jeune homme à l’air suspect qui courrait à toute vitesse en ne cessant de jeter des coups d’œil derrière lui en portant deux sacs à l’allure pleine sur ses épaules. Au vu de la façon dont il se comportait, bousculant les gens sur son passage et courant comme un dératé il paraissait évident qu’il avait quelque chose à se reprocher. Quand bien même il n’était pas un coupable mais une victime celui que l’on appelé Le Poing Céleste dans son ancienne division se ferait une joie de lui proposer son aide. Il se jeta donc à la poursuite de l’homme, il fut cependant surpris de la vitesse à laquelle progressait le jeune homme puisqu’il fut contraint d’utiliser le Poing Surpuissant pour pouvoir suivre le fuyard. Cependant il ne le fit pas longtemps puisque celui-ci bifurqua d’un coup dans une petite ruelle. Kyoryo s’arrêta alors, pressentant qu’il valait mieux ne pas suivre l’homme ainsi, après tout avec son uniforme de marine dans une ruelle vide il ne passerait certainement pas inaperçu et il semblait qu’il faille qu’il passe inaperçu dans l’immédiat au vu des capacités de fuites de l’homme.


Il utilisa donc sa capacité habituelle pour se propulser en l’air et ainsi atterrir sur le toit d’un des bâtiments qui longeait la ruelle. Il se plaça alors le long du rebord du toit et avança furtivement de manière à suivre le jeune homme qui avait désormais ralenti et continuait de surveiller autour de lui. Visiblement le marine avait bien fait de ne pas débarquer par l’embouchure de la ruelle puisque le garçon semblait la regarder avec insistance, comme s’il s’attendait à en voir surgir quelque chose auquel il devrait échapper. Au bout de quelques secondes il sembla se relâcher et se mit à avancer tranquillement dans la ruelle. Le changement d’attitude était troublant entre un jeune homme qui courrait comme s’il avait la mort aux trousses et celui qui marchait tranquillement dans la ruelle, il ne manquait plus qu’il se mette à siffloter et le portrait aurait été saisissant. Finalement Kyoryo estima qu’il avait suffisamment attendu et il accéléra, dépassant finalement la position de l’homme qu’il suivait il sauta du toit pour atterrir devant le garçon dans un léger nuage de poussière. Il se releva, faisant face au jeune homme il lui dit simplement :

Alors mon garçon tu fuis quelqu’un? Qu’y a-t-il dans ses sacs que tu serres si fort ?

Maintenant il fallait attendre la réaction de l’inconnu, mais plus Kyoryo le regardait et plus il se disait qu’elle ne serait pas de coopérer avec conviction.


Hop je m'incruste pour arrêter notre petit voleur avec ses sacs ^^
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Tadake Kyoshiro
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Sam 13 Juil - 12:52
Tiens, tiens,tiens


Spoiler:
Ils étaient enfin tous réunis après de mois, voire même d’années passées à sillonner les 4 mers pour retrouver tous les disparus et en accueillir de nouveau. Nombreuses furent les déceptions qui survinrent de sa quête de rassemblement, nombreux étaient tous morts ou simplement disparus sans qu’il en ait eu connaissance mais ils étaient presque tous là et c’était bien le principal. La gloire, les richesses, la belle vie, la renommée, le respect, autant de buts que tous avaient acceptés d’embrasser en acceptant la proposition de Lorn, en acceptant la proposition de cet être sorti des ténèbres…cet être que tous pensaient mort. Cet équipage avançait d’une seule voix, en un seul mouvement, et la force de ce groupe était faite de la force de ses individus qui savaient mettre leurs objectifs personnels de côté lorsque leur cause commune l’exigeait. Mais n’était-ce pas le cas de tous les groupes de ce genre ? Comment auraient-ils pu envisager avancer à l’unisson si leurs objectifs personnels allaient en contradiction ceux des uns avec ceux des autres ?
L’aventure ne faisait que commencer pour Lorn et ses camarades, un tout nouveau monde était sur le point de leur offrir ses merveilleuses et ses dangers mais de ce périlleux périple ils ne pourraient qu’en ressortir bien plus grands et forts. N’était-ce pas, dans un sens, le but de tout ça ? Le voyage en lui-même était parfois plus grand que la destination.
La mort, la douleur, le désespoir, la trahison : tout ça faisait partie du lot des risques que Lorn avait accepté de prendre en endossant le rôle de capitaine mais il était déterminé à ne pas faire les mêmes erreurs que le précédent capitaine qu’il jugeait – avec du recul – trop gentil pour le poste qu’il occupait. Il avait donné sa confiance sans jamais douter de personne, cela n’était pas un mal en soi, mais dans ce monde hostile c’était un risque bien trop grand pour être prit. Un risque d’autant plus grand lorsque l’on empruntait la dure voie de la piraterie.

Peu importaient les épreuves qui allaient attendre les Deadly Sins lorsqu’ils débarqueraient sur Grand Line, peu importaient les adversaires qui se mettraient sur leur chemin, le capitaine des Deadly Sins ne pensait pas à tout ça car il n’avait qu’une seule idée en tête : aller à Loguetown. La ville où tout avait débuté et où tout avait fini, celle où Gol D. Roger avait rendu son dernier souffle et incité toute une génération à suivre son exemple. Cette ville était un symbole à côté duquel ce jeune homme ne voudrait passer pour rien au monde. Peut-être aurait-il le temps d’aller sur la place où tout s’était passé mais le simple fait de se trouver dans cette ville était suffisant à ses yeux, il voyait cela comme un pèlerinage ou une bénédiction avant d’entrer dans la cour des grands.

Non aujourd’hui il n’avait pas souhaité se balader habillé comme un prince, il avait opté pour une tenue plus simple en portant un pantalon noir, un t-shirt noir et une veste légère noire et rouge aux coutures couleur d’or. Oh oui, rouge et or ne doivent pas être des couleurs assez sobres pour vous, mais croyez-moi il aurait pu faire bien plus tape-à-l’œil.
Que comptait-il faire dans cette ville ? Rien du tout. Il voulait simplement la visiter, y flâner, la…ressentir pour ainsi dire, même si je doute que vous puissiez comprendre ce que je veux dire par là. Il voulait se mettre à la place de Gold Roger, se mettre à la place de ceux qui étaient présents ce fameux jour, se mettre à la place de tous ses pairs qui étaient tous passé par cette ville avant de plonger dans le grand bain. Peut-être y cherchait-il du réconfort, des conseils ou toute autre chose qui aurait pu l’aider à porter le poids de capitaine qui pesait sur ses épaules, car en vérité il ne savait pas s’il serait à la hauteur. Tout était allé si vite qu’il n’avait pas cherché à s’interroger et savoir s’il serait capable de diriger ses compagnons aussi bien ou mieux que son mentor ne l’avait fait. Il n’était pas devenu capitaine parce qu’il en avait envie mais parce qu’il en avait besoin et parce qu’il pensait que ses camarades dispersés en avaient autant besoin que lui.

Mais trêve de bavardages, aujourd’hui était une journée libre pour tous les membres de l’équipage et Lorn, accompagné de son camarade Ciel, déambulait dans les rues  de cette ville symbolique en ouvrant des yeux fascinés par tout ce qu’il voyait autour de lui comme un enfant le matin de noël. Je vous ai déjà prévenu qu’il était très curieux et facilement fasciné, par nature ? Non ? Donc considéré cela comme fait. Flânant tranquillement dans les rues, les mains dans les poches, l’attention du jeune homme fut soudainement attirée par des bruits de foule à l’attention d’un garçon qui, apparemment trop pressé, ne manqua pas de bousculer le jeune capitaine en herbe qui manqua de tomber. Non mais pour qui se prenait-il ce blanc-bec à ne pas regarder où il allait, avec ses énormes sacs ? Quelque peu agacé, Lorn se retourna et fti signe à son camarade qu’il souhaitait aller dire deux mots à cet individu.
En chemin, le regard ue jeune guerrier fut attiré par un funambule qui semblait aimer se balader sur les toits…ou tout du monde c’était ce que Lorn pensait de lui avant qu’il apparaisse dans un uniforme reconnaissable entre tous, et qu’il tente de s’interposer pour arrêter le voleur. D’ordinaire le capitaine aurait laissé ce blanc-bec se démerder tout seul, mais il s’agissait d’un marine en face de lui et il s’agissait de la ville du roi des pirates : comment aurait-il pu rester les bras croisés à regarder le spectacle de l’arrestation qui n’allait pas tarder ?

Se tournant vers son camarade, Ciel, un début de sourire amusé sur les lèvres, il lui demanda :

« On s’amuse un peu ?  »

Son compagnon avait compris ce que Lorn voulait dire par là car avec le temps il avait appris à connaître sa personnalité plutôt…imprévisible. Si cela avait été un conflit entre pirates, le jeune capitaine en devenir aurait simplement laissé pisser et s’en serait allé sans demander son reste, mais le fait de pouvoir faire un pied-de-nez à l’autorité de cette façon-là était bien trop tentant pour qu’il puisse y résister. Auriez-vous pu ? S’approchant lentement du petit voleur, avec son camarade à ses côtés, Lorn passa  à côté du blanc—bec en posant rapidement sa main gauche sur son épaule droite pour lui faire signe de reculer. Qui était ce marine en face de lui ? Le jeune guerrier s’en fichait éperdument mais avait juste envie de l’empêcher de faire son travail pour que ce blanc-bec puisse s’enrichir avec le contenu de ses sacs. Peut-être après l’avoir aidé, Lorn pourrait-il également en profiter.

« Ce « garçon » est avec moi. Maintenant pousse toi, ou on va devoir être vilains. »

Tadake Kyoshiro
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Sam 13 Juil - 13:02
Les limites de l'insolence s'affaissent, sans fin, face aux rouages de la discorde qui demande son dû.




Il n'y avait, à vrai dire, pas d'émerveillement, pas de naïve quête de gloire et de reconnaissance, pas de trésors rutilants où enfouir son avidité et sa folle hardiesse. Il n'y avait qu'un voyage sans fin, comme un sommeil sans rêve, qui devenait habitude et laissait l'ardeur de leur jeunesse être emportée dans l'air marin. De leurs nouvelles traversées, de leurs voyages qui se multipliaient, il ne retenait qu'une dureté nouvelle, une méfiance qui n'avait, alors, pas lieu d'être. Ils avaient appris la lucidité au prix du sang, la prudence au prix des morts et leur esprit balançait régulièrement sous les souvenirs qui les ramenaient à une époque qu'ils avaient cru disparue.

Il en entrevoit les reliefs, sur les océans, comme des grandes mains d'ombres qui veulent se saisir de la coque du Géhenna. Mais leurs doigts jaloux s'y agrippent, s'y accrochent, ne laissent pas de place à un quelconque présage de mauvais augure reprendre l'espoir qu'ils ont si difficilement trouvé. Ils préfèrent voir des signes partout, comme autant d'encouragements qui leur soufflent qu'ils sont sur la bonne voie.

Loguetown était l'une de ces voies, une certitude inébranlable dans leurs esprits qui revendiquaient, parfois, une nostalgie bien vite étouffée sous une mordante ironie. Ciel n'en fait pas exception, le sourire absent, le visage tiré et sombre, il a cette habituelle flamme dans le regard qui grandit, grandit et s'épanouit quand quelque chose l'intéresse.

Marcher aux côtés de Lorn pour découvrir et regarder et blesser et aider et briser est devenu une activité de choix, une piqure de rappel d'un passé qu'il ne se rappelait pas exactement ainsi. Le lot des trahisons et des douleurs a fait son devoir, a à nouveau réuni les Deadly Sins pour qu'ils redécouvrent la définition de la confiance et d'une équipe soudée. Si ses journées manquent, à nouveau, de la solidité et de la sûreté qu'offre la terre, elles ne sauraient être vide de ce sentiment d'infini et d'étrange satisfaction qui le gagne quand leurs corps sont les proies de l'océan. L'air du large a beau souffler, s'épanouir en un souffle tour à tour brûlant et glacé sur leurs corps innassouvis, il n'en demeure pas moins un rappel cuisant des épreuves à venir. Leurs escales sont un échappatoire doux-amer, peuplés parfois de souvenirs, parfois de lieux inconnus et d'humiliations. Il leur trouve un charme nouveau, un optimisme qu'il ne pensait pas ressentir alors que son esprit tout entier est tourné ailleurs.

Ses yeux s'ancrent dans une réalité un peu lumineuse, bruyante, des mots qui lui ont adressés alors qu'il cligne des yeux. Il échange quelques mots avec Lorn, quelques impressions avant que Loguetown ne les aspire et qu'il assiste, toujours aussi amusé, à l'étrange transformation de son Capitaine. Sa curiosité sans limite semble trouver en cette île un endroit parfois pour s'étendre et Ciel se surprend à penser que peut-être, parfois, ce n'est pas si mal de le voir quitter son amante Folie pour redevenir cet homme qu'il n'a que trop peu connu.

Ses sourcils se froncent face aux cris qui retentissent, la course arrêtée. Il n'empêche pas un léger ricanement de sortir de ses lèvres quand il entend la réaction de son Capitaine. Il n'y a même pas besoin d'acquiescer ou de l'assurer de son soutient, il suit, déjà, ses mains gantées dans les poches, un vif intérêt visible sur son visage marqué.

"Vraiment, Lorn, même s'il se pousse, tu ne seras pas vilain?"
Sa voix est basse, rauque, un filet amusé alors qu'il pose les yeux sur le Marine. Il le jauge du regard, les yeux froids et calculateurs , sans se presser, le maintien un peu raide aux côtés de son Capitaine. L'idée d'un affrontement sans signe avant-coureur le réjouit, déjà, de quoi évacuer la frustration accumulée, de quoi repartir le visage en feu, l'esprit en délire et le sang battant lourdement à ses tempes. Qui serait-il, pour résister à cet appel? Le simple plaisir de se mettre en travers de l'autorité serait suffisant, quoi qu'ils puissent en dire, pour les pousser à se porter protecteurs de ce garçon auquel il ne jette même pas un coup d'oeil. Il préfère, à la placer, continuer à fixer le Marine, un léger sourire étirant ses lèvres.

"Tu ferais mieux de l'écouter, il n'aime pas qu'on touche à ses affaires."

Un reniflement dédaigneux accompagne ses mots, sans qu'il ne montre aucune intention hostile. Il n'en a pas besoin, les mots parlent d'eux-même et il voit, à l'expression de Lorn, qu'il ne s'agit que d'un compte à rebours avant qu'ils ne passent réellement à l'acte.




Hrp: Bonjour, c'est Lorn. Je poste ce texte à la place de Ciel (qui m'a transmis ce texte) du  fait de son indisponibilité pendant les jours à venir, et nous souhaitions poster avant que Naka ne soit plus disponible pour ne pas retarder le tout.
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Dim 14 Juil - 20:08

Malgré mon recrutement au sein du gouvernement je n'ai jamais approuvé le fait que leur justice soit la bonne, à dire vrai, étais-je obligé de penser comme eux ? Comme un marine au service d'un gouvernement qui ne me jugeait que comme une bête de foire, car, autant se dire la vérité en face, j'ai toujours été un outil fait pour tuer, rien d'autre. J'en avais toujours eu conscience, même avec mes précédentes missions où j'avais laissé la bête en moi se réveiller, on m'avait toujours remercié pour mes capacités à traquer, à chasser,  à torturer, à tuer. Alors, sur ce bâtiment du gouvernement je laissais mon regard se reposer sur la mer sur laquelle nous étions, peu de temps après notre départ nous avions été appelés pour Logue Town, le propriétaire étant un des nôtres, nous n'avions pas eu le choix que de répondre à cet appel d'urgence. Bizarrement, cette fois-ci je n'avais pas eu l'appel de mon mentor, pour une fois j'étais libre d'agir sans consignes … ou peut être pas … je n'en avais aucune idée, et je m'en foutais pas mal. La raison pour laquelle j'étais présent ici était qu'il fallait que je navigue un peu afin de me créer une nouvelle identité, celle d'un agent du gouvernement sachant commander, sachant se faire respecter, et malheureusement pas par la crainte. Ce petit voyage me rappelait vaguement Alabasta, nous étions peu nombreux sur le navire, mais cet esprit de camaraderie me faisait penser à ce cher Atsui, que devenait-il d'ailleurs ? Avait-il déjà visité Logue Town ? Ne serait-ce que pour l'histoire de cette île, l'histoire de Gold D. Roger ? Je n'en doutais pas vraiment, il avait toujours aimé se prendre pour un grand pirate, et depuis que j'arpentais certaines mers, je me demandais si je n'allais pas avoir à le combattre ! Ce serait le pied, de combattre mon vieux frère, mais il m'arrivait aussi par moment de douter de sa survie, peut être était-il déjà mort, ou emprisonné, ah … je préférais fuir mes sombres idées, je préférais laisser le Jaguar penser à ma place, c'était plus facile à supporter. Un animal ne pense pas, du moins il ne pense pas à tout ça, il pense à chasser, à tuer, à survivre, à se nourrir de la chair de ses congénères.

Sortant de mes songes, je vis un marine se diriger vers moi, posant une main sur mon épaule, il me sourit en me demandant ce à quoi je pouvais penser avec un tel sourire sur le visage. Cependant, je ne voyais pas de quel sourire il voulait parler avant que je ne le remarque en touchant mes lèvres sur mon visage, depuis quand je souriais moi ?! Tsss … Je n'étais vraiment pas fait pour la nostalgie, mon regard se tourna vers lui, mon sourire s'effaçant, ma main droite vint balayer la sienne de mon épaule, je n'ai jamais aimé que l'on me touche ainsi. Un soupire se fit entendre avant que je ne me retourne, mettant les mains dans mes poches, je vis à son visage que je venais de le surprendre, mais je n'étais pas ici pour faire ami ami dans le fond, je devais remplir une mission.


« Vois-tu petit, il y a des mystères dans ce monde que l'on ne peut résoudre, mon sourire se résume à ça, à un mystère que tu ne perceras jamais ! » ma voix se fit douce sur le moment, simplement pour qu'il soit le seul à m'entendre. Les autres semblaient être à leur poste, moi aussi, du moins à celui que je voulais bien m'octroyer histoire de passer le temps. Lui, sans doute plus jeune que moi d'au moins quatre ans, comprit qu'il ne fallait pas chercher plus loin, qu'il ne fallait en aucun cas me reposer cette question. Non, mon air nostalgique n'était plus qu'un vague souvenir du passé, comme l'ensemble de ma vie, le présent a toujours été bon à savourer, peu importe l'instant présent.

Nous n'allions plus tarder à arriver à Logue Town, nous savions où se situer la pharmacie en question, mais nous n'avions pas trop de détails sur le nombre d'ennemis, et nous étions qu'une dizaine à être disponible sur ce navire. Personnellement je me fichais pas mal de notre nombre, je me doutais que j'allais m'en sortir, même si je n'étais pas fait pour être chef sur ce navire, j'en avais le rôle pour une fois. Lorsque l'on m'avait dit de prendre en charge ce bâtiment, on m'avait expliqué que c'était pour voir si je ferai un bon meneur, du moins un meilleur qu'autrefois. Je n'avais pas de certitudes quant à ma façon de guider des troupes, je ne savais pas comment il fallait procéder avec celles du gouvernement, moi je n'avais fait que guider des armes humaines afin de m'enrichir et de sauver un royaume … Du moins au départ. Voyant alors Logue Town au loin je fis signe à mes compères de se mettre en place, dès que le navire allait amarrer sur l'île, nous allions nous rendre à la pharmacie d'où provenait l'alarme. Souriant à l'idée de me divertir, je pris ma bouteille à l'aide de ma main afin de la porter à mes lèvres. Oh grand jamais je ne pourrais me passer de mon précieux sake, l'ivresse allait m'envahir, et le sérieux allait sans doute me quitter dans peu de temps, je jubilais déjà intérieurement à l'idée de poser un pied sur le sol de cette île remplie d'un beau passé.

hrp : j'arrive donc sur logue town à mon prochain post avec une dizaine d'hommes, je verrais ensuite où je devrais me rendre en premier ^^
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Lun 19 Aoû - 15:07



Let's fight !


Let's fight ! [RP Libre] Onsoku10
The Fight Continues - Musique


Le jeune, qui devait sans aucun doute être le gérant, avait affirmé que je me trouvais bel-et-bien au Chirurgien Rugissant, avec une pointe d'humour. En temps normal, j'aurais peut-être fait un effort pour le prendre positivement, mais là, je n'en avais pas la moindre envie... Après tout, j'étais assez... Tendu. Quand il me demanda de retirer mon masque, je répondis simplement que je ne le ferais pas, pour son intérêt. Cela pouvait paraître assez tordu, mais je me savais clairement intimidant... Par la suite,  je m'étais donc mis face à ces deux jeunes gens, menaçant le premier d'entre eux. Je devais facilement avoir une dizaine d'années de plus qu'eux, et je les supplantais facilement de cinquante ou de soixante centimètres. Je dois avouer que ma carrure assez imposante a toujours été un atout, surtout sur l'archipel Shabondy où les chasseurs de primes et les vendeurs d'esclaves ne sont que des pleutres. Certes, ça ne m'avait pas empêché de tomber une fois dans une embuscade mais généralement, ils se contentaient de me voir passer sans bouger le moindre muscle. En revanche, ici, sur East Blue, les gens semblaient un peu plus... Courageux. En tout cas, c'est que semblait vouloir dire la gamine qui tenta de me balancer la caisse du magasin en pleine tête. Le verbe tenter est bien choisi, puisque ma main libre vint frapper l'objet pour le renvoyer un peu plus loin, sans grande conviction. Sans prendre vraiment la peine d'écouter le premier des mioches, je dis à l'intérêt de la demoiselle, d'une voix calme et rauque qui me caractérisait si bien :

-C'est idiot, d'attaquer ainsi... Un conseil, petite, apprends à réfléchir avant d'agir. A Logue Town, les risques sont relativement bas, mais... Sur Grand Line, tu serais déjà morte.

Et je ne rigolais pas. J'avais croisé des tonnes de pirates, de hors-la-loi plus dangereux et puissants les uns que les autres. Pour certains, bien plus que moi. Et encore, il ne s'agissait que de la première partie de la route de tous les périls... Autrement dit, je soupçonnais le Nouveau Monde d'être encore plus dangereux et imprévisible. Mais ça n'était pas là le sujet, puisque la gamine se mit à courser mon coéquipier qui ne perdit pas plus de temps et s'en alla à son tour. Il semblait être discret et doué pour la fuite, c'était tout à son honneur. Mais il allait devoir faire attention, au milieu d'une foule... Si un homme qui se prenait pour un vaillant défendeur de la justice se mettant en tête de l'arrêter, il allait se retrouver pris en étau. Enfin bref... Je ne m'inquiétais pas plus que nécessaire pour lui : j'avais moi-même à faire. Et puis de toute façon : verra qui vivra. Ainsi, je restais immobile, même quand l'alarme se déclencha, fixant tout simplement l'enfant face à moi. Les marines allaient forcément se ramener, après ça... J'aurais préféré faire tout cela loin d'eux mais visiblement, ça n'était pas faisable. Tant pis. La provocation de mon interlocuteur, par la suite, m'arracha un petit sourire. Il était bien sûr de lui, impétueux... Quel saloperie de gosse. Je n'étais moi-même pas certain de pouvoir le botter, mais dans tous les cas... J'allais lui faire comprendre que parler ainsi sans rien connaître de la force de celui qui nous faisait face, c'était du pur suicide. En bref, lorsqu'il essaya de me couper au niveau de la taille, je fis tourner mon naginata dans ma main. Le choc entre le bâton et la lame du jeunot l'empêcha d'arriver à son but, et je l'observai à nouveau. Qu'allait-il bien pouvoir tenter de faire, cette fois-ci ? Apparemment, il avait sorti ses épées de sous le comptoir... J'avais mal vu cette partie là de l'affrontement, étant donné que tout c'était déroulé hors de mon champ de vision. Mais en fin de compte, c'était la même chose : il se battait avec deux épées. Ce genre d'adversaire était assez chiant, mais je ne m'en faisais pas trop... j'avais mon fruit du démon pour moi, dans le pire des cas. Apparemment, quand j'avais fait tourner mon arme dans mes mains, j'avais bloqué une deuxième tentative, bien plus rapide et brutale que la précédente. Alors ce type n'était pas commun non plus ? Tant mieux. J'allais pouvoir évacuer le stress et l'excitation plus efficacement, de cette manière...

Le responsable de la boutique fit le tour de son comptoir en bredouillant quelques mots, semblant s'emmêler les pinceaux seul. Drôle d'olibrius... Mais j'avais déjà vu pire, au final, donc ça n'était rien d'inédit. Cependant, je commençai vraiment à me méfier quand le jeune lança ses épées dans le plafond, voulant visiblement s'en débarrasser. Il ne comptait quand même pas s'essayer au corps-à-corps ?! Non, quelque chose clochait, j'en étais certain... Et j'avais eu raison. Soudainement, et sans que je comprenne vraiment ce qu'il se passait, il pointa ses deux paumes dans ma direction. Quelque chose fut propulsé, et je sentis mes poumons bouger étrangement. Cela ne me fit pas particulièrement mal, mais suffit à me couper le souffle légèrement. Je fronçai donc les sourcils et plantait mon naginata dans le sol. Puis je pris la parole, avec méfiance et froideur :

-Tu utilises une bien étrange magie... Un fruit du démon, je présume ?

Il était donc temps que je passe aux choses sérieuses. Malheureusement pour le gosse, avoir des difficultés à respirer ne faisait pas de moi un homme mort... D'autant plus que l'un de mes poumons était plus grand que ses deux mains. Autant dire qu'il lui en faudrait plus pour me terrasser... Aussi je décidai d'entrer dans l'affrontement de manière... "fracassante". Je pris de nouveau la parole, levant légèrement mon poing droit :

-Dikaío̱ma gántzo.

Ce n'était pas quelque chose d'incroyable, mais bel-et-bien un crochet qui partit en direction du visage du jeune homme. J'étais beaucoup plus grand que lui, ainsi mes bras étaient aussi plus longs que les siens... Sur un combat au corps-à-corps, j'avais donc l'avantage, au premier abord seulement. Je n'avais pas bien cerné les capacités de sa malédiction... Mais j'allais bien savoir ce dont il était capable d'ici peu.


De son côté, mon coéquipier avait fini par semer la gamine, en courant au travers de la foule avant de partir dans une ruelle sombre et étroite. Visiblement, la fuite et la dissimulation de son propre corps était l'un de ses points forts. Il continua ainsi, reprenant son calme et marchant un peu plus lentement, ne se doutant pas qu'un marine était au-dessus de lui, et que deux pirates le suivaient. Il avança jusqu'à une poubelle. Dans celle-ci se trouvait un sac parfaitement identique à ceux qu'il portait. Il en déposa donc un ici, et prit l'autre avant de reprendre son chemin, toujours aussi calmement. Apparemment, tout se déroulait bien... Il était certain que personne ne l'avait vu poser le sac dans la poubelle : lui et moi-même avions choisi l'endroit pour la seule raison qu'une sorte de porche se trouvait au dessus, et que c'était juste après un virage. Même s'il avait eu des poursuivants, ceux-là n'auraient donc rien pu voir... Tenka, à ce moment-là, s'inquiétait donc un peu plus pour moi que pour lui. Mais cela ne dura pas, puisqu'un homme tomba devant lui, avec une attitude clairement menaçante. Un agent du Gouvernement, un pseudo-justicier... Le garçon serra les dents et se demanda quoi faire, mais deux âmes bienveillantes semblèrent vouloir l'épauler. La main réconfortante de l'un d'entre eux sur son épaule lui fit comprendre qu'il n'avait à s'occuper de rien. Aussi recula-t'il en hochant la tête, camouflant sa surprise tant bien que mal. Il écouta le discours des deux autres hors-la-loi, attendant silencieusement la réponse du marine. Sur le coup, il avait vraiment eu un coup de bol incontestable...






Désolé du temps de réponse et de la qualité !
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Mer 18 Sep - 18:32
À partir de maintenant, le rp sera séparé en deux, comme vous pouvez le voir, un nouveau sujet a été créer. Il se nomme: Let's Fight [Chirurgien]

Comme ce serait le tour de Kyoryokuna, tu créeras le sujet dans logue Town. Comme ça, nous allons pouvoir avancer plus vite. Merci de votre compréhension.

Nakata est au courant
Lorn a donné son accord
J'ai eu l'idée et j'en ai parlé à Nakata avant de prendre cette décision.
Je doute que les autres soit contre l'idée. Dans le pire des cas, veuillez me mp.

Merci de votre compréhension encore une fois ~

Cordialement,
Lion Kirito
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